Vaccins contre le Coronavirus et utilisation de cellules de fœtus avortés : état des lieux

 

 ILien : https://www.ieb-eib.org/fr/actualite/recherche-biomedicale/recherche-medicale/vaccins-contre-le-coronavirus-et-utilisation-de-cellules-de-ftus-avortes-etat-des-lieux-1922.html

 Audio : vaciin et cellules foetales ou en sommes nous.mp3

Thématique : Recherche biomédicale / Recherche médicale

 Actualités

 Publié le : 24/11/2020

 Auteur / Source : C. du Bus (IEB) ; Charlotte Lozier Institute

A l'heure du développement accéléré de vaccins contre la Covid-19, il est important d'être bien informé sur la façon dont ces vaccins sont conçus puis produits et testés. Le discernement éthique s'impose en particulier quant à l'utilisation potentielle, à l'une ou l'autre étape du processus, de lignées cellulaires issues de foetus avortés. L'Institut Charlotte Lozier aux Etats-Unis propose, sur base d'une analyse rigoureuse de la littérature scientifique et de résultats d'essais cliniques, un relevé précis des sociétés pharmaceutiques qui utilisent ou n'utilisent pas de telles lignées éthiquement controversées. Son but est d'ainsi permettre au lecteur de poser des choix éclairés concernant les vaccins contre le Coronavirus.

 

Rappelons d'abord en quoi consiste une lignée de cellules foetales. Celle-ci s'obtient en prélevant une cellule sur un foetus (en l'occurrence, avorté) et en multipliant cette cellule en plusieurs cellules identiques. Ces cellules peuvent être cultivées et multipliées pendant plusieurs décennies, créant ainsi des "lignées cellulaires", souvent utilisées dans le cadre d'expériences scientifiques. Certaines lignées de cellules foetales remontent à plusieurs dizaines d'années et sont utilisées dans l'élaboration de nouveaux vaccins. Il s'agit en particulier des lignées HEK293 et PER.C6. L'utilisation de ces cellules ne requiert donc pas de nouveaux avortements. Elle tire son origine d'avortements qui ont eu lieu dans les années '60, '70 et '80, indépendamment d'un objectif pharmaceutique.

 

La question se pose de savoir si ces lignées de cellules foetales sont absolument nécessaires à l'élaboration de vaccins, et plus particulièrement du vaccin contre la Covid-19. La réponse est non ; il est possible de développer des vaccins de façon éthique sans cellules ou sur base de cellules d'animaux, d'oeufs de poules ou de levure. C'est d'ailleurs ce que font plusieurs sociétés pharmaceutiques.

 

Il faut ensuite comprendre les différentes étapes de l'élaboration d'un vaccin dans lesquelles peut intervenir l'utilisation de lignées cellulaires issues de foetus avortés.

 

1. Phase de conception : il s'agit de la conceptualisation, des expériences préparatoires, des spécifications quant à la façon dont le vaccin va être produit.

Sociétés pharmaceutiques et instituts de recherche ayant utilisé dans cette phase des lignées de cellules issues de foetus avortés :

- Altimmune (Etats-Unis) 

- Astra Zeneca & University of Oxford (R-U, Etats-Unis)

- CanSino Biologics, Inc. Beijing Institute of Biotechnology, Academy of Military Medical Sciences, PLA of China (Chine)

- Gamaleya Research Institute (Russie)

- ImmunityBio et NantKwest (Etats-Unis)

- Janssen Research & Development, Inc. Johnson & Johnson (Etats-Unis)

- Vaxart (Etats-Unis)

- Anhui Zhifei Longcom Biopharmaceutical/Institute of Microbiology, Chinese Academy of Sciences (Chine)

- University of Pittsburgh (Etats-Unis)

- Institut Pasteur et Themis et Merck (Etats-Unis, France)

 

 

2. Phase de production: le vaccin final est produit.

Sociétés pharmaceutiques et instituts de recherche utilisant à ce stade des lignées de cellules issues de foetus avortés :

- Altimmune (Etats-Unis)

- Astra Zeneca University of Oxford (R-U, Etats-Unis)

- CanSino Biologics, Inc. Beijing Institute of Biotechnology, Academy of Military Medical Sciences, PLA of China (Chine)

- Gamaleya Research Institute (Russie)

- ImmunityBio et NantKwest (Etats-Unis)

- Janssen Research & Development, Inc. Johnson & Johnson Vaxart (Etats-Unis) 

- Vaxart (USA)

- University of Pittsburgh (Etats-Unis)

 

3. Phase de test du vaccin en laboratoire, avant qu'il ne soit largement distribué.

Sociétés pharmaceutiques et instituts de recherche utilisant à ce stade des lignées de cellules issues de foetus avortés :

- Altimmune (Etats-Unis)

- Astra Zeneca University of Oxford (R-U, Etats-Unis)

- CanSino Biologics, Inc. Beijing Institute of Biotechnology, Academy of Military Medical Sciences, PLA of China (Chine)

- Gamaleya Research Institute ("Sputnik V") (Russie)

- ImmunityBio et NantKwest (Etats-Unis)

- Sinovac Biotech Co., Ltd. (Chine)

- ImmunityBio et NantKwest (Etats-Unis)

- Janssen Research & Development, Inc. Johnson & Johnson Vaxart (Etats-Unis) 

- Rega Institute, KU Leuven (Belgique)

- Anhui Zhifei Longcom Biopharmaceutical/Institute of Microbiology, Chinese Academy of Sciences (Chine)

- Medicago (Canada)

- Novavax (Etats-Unis)

- Vaxart (Etats-Unis)

- Moderna, Inc. avec le National Institute of Health (Etats-Unis)

- Pfizer et BioNTech (Etats-Unis, Allemagne)

- Sanofi Pasteur et Translate Bio (Etats-Unis, France)

- Inovio Pharmaceuticals (Etats-Unis)

- Arcturus Therapeutics (Etats-Unis)

- Institut Pasteur et Themis et Merck (Etats-Unis, France)

- Clover Biopharmaceuticals, Inc. (Chine)

- COVAXX et United Biomedical (Etats-Unis, Taiwan)

- University of Pittsburgh (Etats-Unis)

 

Les sociétés pharmaceutiques ne faisant usage de lignées de cellules foetales dans aucune des trois étapes sont (au jour du 3 mars 2021, tenant compte du stade de développement des vaccins):

- Beijing Institute of Biological Products/ Sinopharm (Chine)

- Wuhan Institute of Biological Products/ Sinopharm (Chine)

- Barath Biotech/ Indian Council of Medical Research (Inde)

- Institute of Medical Biology, Chinese Academy of Medical Science

- John Paul II Medical Research Institute (Etats-Unis)

- Valneva et Dynavax (France, R-U, Etats-Unis)

- Shenzhen Geno-immune Medical Institute (Chine)

- Merck et IAVI (Etats-Unis)

- Federal Budgetary Research Institution State Research Center of Virology and Biotechnology “Vektor”

- Sanofi et GSK Protein Sciences (Etats-Unis, France)

- Sorrento (Etats-Unis)

- University of Queensland and CSL Ltd. (Australie)

- CureVac (Allemagne)

- Genexine (Corée)

- Kentucky BioProcessing, Inc. (Etats-Unis)

- Symvivo Corporation (Canada)

- Providence Therapeutics (Canada)

- Israel Institute for Biological Research (Israël)

- Osaka University, AnGes, Takara Bio (Japon)

- Zydus Cadila (Inde)

NB : plusieurs sociétés pharmaceutiques n'ont pas encore franchi toutes les étapes du processus. En vert dans cette partie : les vaccins ayant franchi les trois étapes de développement.

 

Le discernement éthique concernant les vaccins proposés peut s'appuyer sur différents éléments :

- L'existence ou non d'alternatives aux vaccins élaborés sur base de ces lignées cellulaires issues de foetus avortés : si des vaccins élaborés de façon éthique existent et sont accessibles, il faut y donner priorité.

- Le degré d'éloignement, dans le temps mais surtout dans la responsabilité, entre l'avortement en question et le patient qui se fait vacciner. Par exemple, la responsabilité du patient qui se fait vacciner est faible par rapport à celle du chercheur qui utilise ces lignées cellulaires et encourage ainsi la production de lignées similaires.

- Les phases du processus d'élaboration du vaccin auxquelles ont été utilisées des lignées de cellules foetales : si le vaccin que reçoit le patient a été produit sur base de ces lignées cellulaires foetales (phase 2), son utilisation alimente la reproduction de cellules foetales. La coopération est cependant plus éloignée lorsque la société pharmaceutique n'a fait que tester certaines copies de ce vaccin sur des cellules foetales (phase 3).

 

 

Remède naturel et bon marché contre le cancer

Big Pharma ne veut pas que vous sachiez la vérité sur ce remède naturel et bon marché contre l’une des maladies les plus mortelles

4 septembre 2015

Audio : traitement du cancer.mp3

Lien : https://www.sante-nutrition.org/big-pharma-ne-veut-pas-que-vous-sachiez-la-verite-a-propos-de-ce-remede-naturel-et-bon-marche-contre-lune-des-maladies-les-plus-mortelles/

En quelques années, un grand nombre de fraudes médicales et pharmacologiques ont été révélées au public, mais à chaque fois, ces révélations ont été considérées comme étant de ridicules théories du complot.

 

Récemment, le British Medical Journal a publié une étude mettant en lumière l’un des plus grands désastres pour la santé qui a tué des gens de la manière la plus horrible. Oui, il s’agit de la chimiothérapie.

Il est effarant de penser que les valeurs humaines ont disparu même du monde de la médecine et de la pharmacie. Ces deux branches scientifiques étaient censées aider les gens dans la douleur, en particulier les patients diagnostiqués avec des maladies mortelles. Au lieu de le faire et aider les gens à lutter contre le cancer, leur but principal est d’affaiblir l’organisme en utilisant l’outil le plus toxique possible : les médicaments.

Nous avons évoqué cette question à maintes reprises, et nous avons déjà écrit à propos du Dr Hardin B. Jones, professeur principal de physique médicale et de physiologie à l’Université de Californie, Berkeley. Il fait une recherche approfondie sur l’espérance de vie des patients du cancer depuis plus de 25 ans.

 

 

Son étude suggère que, contrairement à ce que l’on essaie de nous faire croire, la chimio ne marche tout simplement pas et n’a rien de bon. Il explique que la plupart des patients atteints de cancer et qui ont reçu un traitement de chimiothérapie sont morts dans d’atroces souffrances à cause de complications médicales. Il a également averti que les patients traités avec la chimio meurent beaucoup plus vite que les patients qui reçoivent un autre traitement.

Après de longues recherches, le médecin a conclu que la chimiothérapie réduit la durée de vie et tue les patients plus rapidement. Ce qui est encore pire, c’est que cela est fait consciemment parce que « l’industrie du cancer » vaut des milliards.

Pour faire des profits, l’industrie néglige la volonté de certains de trouver un remède pour le cancer et préfère s’enrichir et accroître son pouvoir.

Il existe une solution simple au cancer, mais les gens devront d’abord réaliser et accepter le fait que le cancer est guérissable et qu’il y a beaucoup de remèdes naturels et peu coûteux. Ces recours ont aidé de nombreuses personnes qui ont refusé de faire la chimio.

 

 

Selon une étude qui a été publiée, mais encore très peu connue, les remèdes naturels sont efficaces et sans effets secondaires. Les médias ne se focalisent que sur les articles concernant la chimio et « l’industrie de la mort », négligeant ceux sur les remèdes accessibles et révolutionnaires qui tuent des cellules cancéreuses en un jour, même dans les cas de cancers avancés.

Un groupe de chercheurs de l’Université du Kentucky a fait une étude sur l’extrait de pépins de raisin. Ils ont découvert que l’extrait de pépins de raisin déclenche la mort de 76% des cellules de leucémie et de cancer en seulement 24 heures. Cela a été prouvé dans des conditions de laboratoire.

Cette recherche a été publiée dans la revue de l’American Association for Cancer Research et révèle que l’extrait de pépins de raisin détruit la leucémie, car il contient la protéine JNK, responsable de la destruction des cancers.

La chimio est moins efficace dans le cas de cancers avancés. Cependant, les dernières études ont révélé l’effet inverse de l’extrait de pépins de raisin. Il est plus rapide et agit d’une manière plus efficace lorsque le cancer est agressif et qu’il s’est propagé sur une grande partie du corps.

Cette découverte révolutionnaire a également prouvé que l’extrait de pépins de raisin cible les cellules cancéreuses résistantes aux médicaments de chimiothérapie, sans endommager les cellules saines.

Ces études suggèrent que la chimiothérapie est totalement inutile, parce que l’extrait de pépins de raisin est beaucoup plus puissant que la chimiothérapie et contrairement à cette dernière, il ne porte pas atteinte à l’organisme.

 

Molly Derry est une doctorante du laboratoire de l’Université du Colorado. Elle a également confirmé que l’extrait de pépins de raisin détruit cancer. Voici ce qu’elle a révélé:

« Il faut moins de la moitié de la concentration de l’extrait de pépins pour contrôler la croissance des cellules cancéreuses et pour détruire plus de 50% des cellules dans le stade 4, moins que ce qui était nécessaire pour obtenir des résultats similaires dans le stade 4. Les cellules cancéreuses du côlon peuvent avoir plus de 11 000 mutations génétiques, ce qui est différent de l’ADN des cellules saines.

La chimiothérapie traditionnelle peut cibler une mutation spécifique, mais plus le cancer se propage, plus il se produit de mutations. Ces modifications peuvent conduire à une résistance du cancer à la chimiothérapie.

En revanche, de nombreux composés bioactifs de l’extrait de pépins de raisin sont capables de cibler plusieurs mutations. Plus il y a de mutations, plus l’extrait de pépins est efficace. »

« Depuis un certain temps, la médecine sait que les substances bioactives provenant du pépin de raisin peuvent détruire de manière sélective de nombreux types de cellules cancéreuses.

Cette étude montre que de nombreuses mutations qui permettent aux cellules cancéreuses, telles que celles du cancer du côlon, de métastaser et de résister aux thérapies traditionnelles, deviennent particulièrement sensibles à un traitement avec de l’extrait de pépins de raisin et l’extrait tue ces cellules immédiatement, dans les 24 heures », expliquent les scientifiques.

 

Il est choquant de voir comment l’industrie du cancer insiste sur le fait que le cancer est incurable, qu’elle a pris tant de vies et qu’elle propage de manière aussi malveillante la peur de la mort.

La science reste ferme et décrit le cancer comme étant la maladie la plus dangereuse et la plus mortelle qui existe. Ce qui est vrai, mais cela ne vaut que si le cancer n’est traité qu’avec des thérapies agressives et inefficaces. Le traitement du cancer nécessite des méthodes naturelles et efficaces qui, malheureusement, restent encore cachées aux personnes qui en ont le plus besoin!

Sources:
eddenya.com
healthyfoodhouse.com

Document envoyé par le MI6 décrivant les prochaines étapes prévues dans leur fausse campagne de vaccination contre la pandémie.