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  • Formation jeunesse dans les murs et hors les murs : comment mémoriser efficacement ?

    Formation jeunesse dans les murs et hors les murs : comment mémoriser efficacement ?

    Conférence donnée par Odile Collinot et transmise

    pdf : https://drive.google.com/file/d/1i6YFgAGAu1RTmMJKqTY5-l7Kor2x38kl/view?usp=sharing

    vidéo : https://youtu.be/nV4knCYx5vI

    Sites de soutien scolaire :

    sites de formation.JPGsite orientation.JPG

    Et le site de soutien scolaire de la Maif :

    https://www.assistancescolaire.com/

  • Atelier chants Journée d'ateliers

    Atelier chants

    Journée d'ateliers

    Dimanche 17/9/2023
    Chanson "Et Mon Père !" chanson de  Nicolas Peyrac

    Et mon père !

    Quand vous dansiez en ce temps-là,
    Pas besoin de pédale wah-wah.
    C'était pas la bossa nova
    Mais ça remuait bien déjà.
    Les caves étaient profondes
    Et la ronde ne s'arrêtait pas.
    Un vieux piano bastringue
    Et les dingues
    Tournoyaient déjà.
     
    Et Juliette avait encore son nez.
    Aragon n'était pas un minet.
    Sartre était déjà bien engagé.
    Au Café de Flore, y avait déjà des folles
    Et mon père venait de débarquer.
    Il hantait déjà les boutiquiers.
    Dans sa chambre, on croquait du café.
    Il ignorait qu'un jour, j'en parlerais.
     
    Quand vous flirtiez en ce temps-là,
    Vous vous touchiez du bout des doigts.
    La pilule n'existait pas.
    Fallait pas jouer à ces jeux-là.
    Vous vous disiez "je t'aime",
    Parfois même
    Vous faisiez l'amour.
    Aujourd'hui, deux salades,
    Trois tirades
    Et c'est l'affaire qui court.
     
    L'oncle Adolf s'était déjà flingué.
    Son Eva l'avait accompagné,
    Des fois qu'il aurait voulu draguer:
    Qui sait si, là-haut, il n'y a pas des folles
    Et mon père allait bientôt planter
    Cette graine qui allait lui donner
    Ce débile qui essaie de chanter.
    Il ignorait que viendraient mes cadets.
     
    Quand vous chantiez en ce temps-là,
    L'argent ne faisait pas la loi.
    Les hit parades n'existaient pas,
    Du moins, ils n'étaient pas de poids.
    Tu mettais des semaines
    Et des semaines,
    Parfois des années.
    Si t'avais pas de tripes,
    Ta boutique, tu pouvais la fermer
     
    Et Trenet avait mis des années,
    Brassens commençait à en baver
    Et Bécaud astiquait son clavier.
    Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles
    Et mon père venait de débarquer
    Là où restait quelque humanité,
    Là où les gens savaient encore parler
    De l'avenir... même s'ils sont fatigués.
     
    Et Juliette avait encore son nez.
    Aragon n'était pas un minet.
    Sartre était déjà bien engagé.
    Au Café de Flore, y avait déjà des folles
    Et mon père venait de débarquer
    Il hantait déjà les boutiquiers.
    Dans sa chambre, on croquait du café.
    Il ignorait qu'un jour, j'en parlerais.
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    Mon amant de Saint-Jean

    Je ne sais pourquoi j’allais danser
    À Saint-Jean, au musette,
    Mais il m'a suffit d'un seul baiser
    Pour que mon cœur soit prisonnier.
     
    Refrain :
            Comment ne pas perdre la tête,
            Serrée par des bras audacieux
            Car l’on croit toujours
            Aux doux mots d’amour
            Quand ils sont dits avec les yeux.
            Moi, qui l’aimais tant,
            Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
            Je restais grisée,
            Sans volonté
            Sous ses baisers.
     
    Sans plus réfléchir, je lui donnais
    Le meilleur de mon être.
    Beau parleur, chaque fois qu’il mentait,
    Je le savais, mais je l’aimais.
     
            {au Refrain}
     
    Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
    Un serment n’est qu’un leurre,
    J’étais folle de croire au bonheur
    Et de vouloir garder son cœur.
     
            Comment ne pas perdre la tête,
            Serrée par des bras audacieux
            Car l’on croit toujours
            Aux doux mots d’amour
            Quand ils sont dits avec les yeux.
            Moi qui l’aimais tant,
            Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
     
    Il ne m’aime plus,
    C’est du passé,
    N’en parlons plus. (bis)
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