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Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

Audio : dr smith comp vaccins.mp3

Source : https://news.newsletter.drschmitz.com/mirror.php?platform=livedata&env=1&email=abochis%2540gmail.com&sid=160245Mon cœur s’est serré, ma gorge s’est nouée. En me documentant sur l’article qui suit, j’ai pris peur pour beaucoup de gens que j’aime.

Je me suis dit : ça ne peut pas être vrai ; et encore maintenant, quand je vous l’écris, j’espère, contre toute attente, que ce n’est pas vrai.

Car il y a une question qu’on devrait tous se poser : qu’est-ce qu’ils ont bien pu mettre dans ces vaccins ?

 

 

 

Tout va bien, madame la marquise, tout va très bien

A écouter les autorités, il n’y aurait pas à vous inquiéter, ni pour vous, ni pour vos proches qui se sont fait vacciner.

Du moins est-ce que les laboratoires nous assurent, notamment Pfizer-BioNTech.

Avant toute autre chose, les « vaccins » ARN contiennent la désormais célèbre technologie ARN.

Si nous devons en croire ses créateurs, elle donne aux cellules immunitaires le message de fabriquer des protéines spike grâce auxquelles elles reconnaîtraient les cellules du coronavirus.

Mais contrairement aux questions que posent d’affreux complotistes, l’impression de ce message ARN n’impliquerait pas de modification définitive des cellules immunitaires.

De même, la protéine spike, que l’on retrouve dans les vaccins ARN mais aussi dans l’Astra Zeneca ne serait pas une toxine, même si l’inventeur de la technologie ARN, Robert Malone, défend mordicus le contraire(1)…

Toutefois, une chose sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est le fait que la technologie ARN (ou la partie opérante des autres vaccins) prend une place minuscule dans l’injection qui vous est faite.

Le reste, ce sont ce que l’on appelle des excipients, des éléments qui aident le « remède » à passer dans le sang.

Dans un document officiel(2), on trouve la liste de ces éléments neutres, qui accompagnent les molécules agissantes dans le sang.

Il y a du PEG, un plastique qui sert de solvant, c’est-à-dire de diluant(3).

On y trouve également d’autres éléments, qui ne sont pas dangereux a priori(4).  

Alors, comment cela se fait-il que nombre de vaccinés soient devenus « magnétiques » ? Comme vous pouvez le voir sur tant de vidéos sur internet, et peut-être même avec vos proches, chez vous.

Cela, les laboratoires sont bien en peine de vous l’expliquer. C’est là que nous devons trouver des explications qui gênent BEAUCOUP les médias dominants.

 

 

 

Un Zorro nommé Delgado ?

Il se trouve qu’un chercheur de l’université d’Almeida nommé Ricardo Delgado, biostatisticien de son état, a réussi à mettre la main sur un flacon et à l’analyser.

Le sujet est tellement épineux que l’université espagnole s’est immédiatement désolidarisée de l’étude, même si, ayant été faite avec son matériel, elle n’a pas pu ne pas être citée.

Vous pouvez retrouver l’étude ici.

Dans d’une interview pour la télévision espagnole, lors de l’émission El gato al agua(5), Delgado a affirmé que 98 à 99% du contenu du flacon scellé sur lequel il a fait son étude, est de l’oxyde de graphène.

La chose, bien sûr, a été démentie par tous les « facts checkers » qui ne trouvent rien d’autre à dire que la traçabilité du flacon n’est pas établie.  

Évidemment, aucun laboratoire n’a laissé « échapper » de fiole ou n’a laissé quiconque faire des analyses. Les flacons ont donc été obtenus sous le manteau, et c’est vrai, sa traçabilité ne peut pas être révélée.

Toutefois l’oxyde de graphène est un matériau qui jusqu’ici restait extrêmement cher à fabriquer et impossible à élaborer « artisanalement ».

On peut bien évidemment croire que Delgado a menti effrontément, mais pourquoi, s’il est passé à la télévision espagnole, n’a-t-il pas été attaqué en justice ? Pourquoi, pour toute réfutation, il n’obtient qu’un entrefilet sur Google ?

Parce que si on traînait cette affaire devant les tribunaux, on se rendrait peut-être compte que Pfizer et d’autres ont menti sur le contenu des vaccins.

Or le graphène peut expliquer beaucoup des résultats de l’étonnante étude luxembourgeoise sur le magnétisme(6), et surtout pourquoi, plus une personne a été vaccinée il y a longtemps, et plus elle est « magnétique ».

 

 

 

Le graphène, dangereux pour les poumons, mais pas seulement

Le graphène a déjà fait parler de lui il y a quelques jours. Or ce n’est pas n’importe quel matériau ; c’est le matériau de l’avenir, et ses usages sont aussi prometteurs qu’effrayants.

En effet, le graphène ce n’est que du carbone pur (comme le graphite de la roue de votre vélo ou de la mine de votre crayon), mais en feuilles de taille infinitésimale : il n’est pas plus épais que les atomes qui le composent.

Ce matériau est extrêmement résistant, cent fois plus que l’acier, et peut accumuler l’électricité mieux qu’aucun autre.

Un des petits inconvénients est qu’il est extrêmement toxique pour les poumons. Or on l’a retrouvé dans des quantités importantes dans les masques obligatoires.

Le Canada a demandé l’interdiction et le retrait immédiat des masques contenant du graphène(7).

La DGCCRF a fait la même chose en France en mai, en interdisant au fournisseur mis en cause de vendre ses masques (Shandong Shenquan New Materials Co.) et l’Espagne aussi a pris les mêmes mesures dès le mois d’avril(8).

Comment se fait-il qu’on trouve un matériau aussi onéreux (100€ le gramme en 2017(9)) dans des objets aussi anodins ? Pour l’instant, seuls les « complotistes » osent avancer des réponses.

 

 

 

Un matériau libérateur, ou esclavagiste ? 

Car aujourd’hui, on imagine dans les universités des « pansements au graphène » connectés(10) ou des tests salivaires au graphène développés en France(11).

Or de nombreux articles scientifiques récents attestent du magnétisme inhérent aux tubes de graphène(12), ce qui serait, jusqu’ici la seule explication plausible au magnétisme post-vaccinal.

Mais serait-il possible de créer des nano-machines qui s’assembleraient d’elles-mêmes dans le corps où elles ont été injectées ?

En tout cas, une étude très récente prétend en donner toutes les preuves(13). Elle a été publiée en janvier dernier dans la revue de biotechnologie Aggregate.

La technologie des machines qui s’assemblent directement dans le corps est une réalité, et non pas de la science-fiction.

Or ceci pose un léger problème, comme le souligne la déclaration en mars dernier, d’une entreprise de pointe espagnole appelée INBRAIN Technologies.  

Cette dernière prétend pouvoir agir directement sur le cerveau avec l’aide des feuilles de graphène, créant une interface électronique(14)…

 

 

 

On a les moyens de pirater votre cerveau 

Non pas, bien sûr, que l’entreprise INBRAIN ou que les chercheurs qui prétendent créer les nano-robots auto-assembleurs soient liés à l’industrie vaccinale.

Mais voudrait-on aujourd’hui agir directement sur votre cerveau grâce à des nanomatériaux, il est possible de le faire, techniquement parlant.

Voilà pourquoi le Chili n’est pas inutilement en pointe du droit international lorsqu’il fait rentrer dans sa constitution l’inviolabilité du cerveau humain.

Il invoque l’existence de « neuro-droits », notamment la perte de « privauté mentale »(15).  

Reste à savoir si le contenu des vaccins correspond effectivement à cette violation de la privauté physique et cérébrale, à ces nano-robots appelés SPIONS(16) dont on veut nous faire croire qu’ils sont l’avenir de la médecine.

Rappelons simplement que devant les tribunaux, aucun des laboratoires n’est responsable des dommages que causent ses « vaccins ».

Même si au moment où je vous écris, une plainte vient d’être déposée suite à la mort d’un trentenaire après la deuxième dose de vaccin(17).

 

 

 

 

 

Une révolution technologique si odieuse que les médias vous la cachent

Dès que vous tapez sur votre moteur de recherche préféré : nanoparticules et 5G, vous tombez sur des articles qui dénoncent les fantasmes « complotistes ».

En revanche, je vous invite à taper sur ces mêmes barres de recherche, « rf nanotechnology graphene », car RF (pour radiofréquence), est le petit nom scientifique des ondes utilisées par la 5G.

Vous tomberez alors sur plusieurs articles parfaitement scientifiques qui vous expliquent de façon très détaillée à quel point les nanorobots (de l’ordre d’un millionième de mètre) en graphène sont les « transistors » de l’avenir[(18,19).

Mais en particulier, je vous recommande cet article-ci, intitulé « Graphene Nanomaterials-Based Radio-Frequency/Microwave Biosensors for Biomaterials Detection » qui explique bien le piratage de votre intimité la plus profonde.

Il détaille la création de biocapteurs en graphène qui fonctionnent grâce aux radiofréquences pour tout savoir de vous. Or les ondes surpuissantes de la 5G sont idéales pour cet usage, et pour arriver à ces fins prétendument médicales.

Ce dispositif révolutionnaire est vraisemblablement devenu la violation la plus profonde et la plus radicale de l’intimité humaine jamais conçue.

Les pouvoirs publics devraient en répondre IMMÉDIATEMENT, plutôt que d’insister de façon aussi fanatique que coupable pour l’inoculation généralisée de « vaccins ».

 

 

 

Micro-ondes : nous ne comprenons pas l’ampleur du risque

Je ne cesserai de le répéter, nous sommes devant une révolution technologique qui promet, non pas de transformer le monde, mais de détruire l’humain, parce qu’aucun garde-fou n’y est mis.

Répétons également, comme je l’ai déjà publié(20), que la 5G – le « carburant » de cette nouvelle révolution industrielle – est un désastre biologique et écologique.

Elle promet de faire augmenter radicalement la stérilité, les cancers infantiles, et d’accélérer l’extinction des insectes pollinisateurs et de la faune sauvage. 

Car la technologie 5G (les ondes millimétriques), est utilisée depuis la seconde guerre mondiale. Et c’est avec cela que marchent les fours à micro-ondes !

Simplement, elle est aujourd’hui utilisée pour la télécommunication, elle va très bientôt saturer l’air que vous respirez, et aucune porte de four ne vous en protégera.

Pourquoi cette révolution technique qui n’a RIEN à nous proposer– hormis une surveillance totale et odieuse – nous est-elle imposée ?

Les pouvoirs publics laisseraient-ils des acteurs privés, ou même des puissances étrangères, avoir accès à votre intimité la plus profonde, ou même agir sur elle directement ?

Avec les éléments que je vous ai livrés aujourd’hui, c’est à nos gouvernements d’en répondre, et surtout de vous prouver que les vaccins sont sûrs, plutôt que de vous contraindre à vous les inoculer par tous les moyens disponibles.

 

 

 

Vous libérer du graphène, c’est possible

Le 27 janvier dernier a été publiée une étude fort intéressante, dans une revue inconnue du grand public, ACS applied materials and interfaces(21).

Elle atteste de l’importance de l’oxyde de graphène dans l’avenir de la médecine, spécialement dans « l’inoculation des médicaments, la photothérapie et la biosensitivité ».

Le seul problème, reconnu par cette étude internationale, c’est l’endommagement des cellules

Les auteurs craignent nommément le stress oxydatif (cause de vieillissement et de cancers), l’empoisonnement des cellules (cytotoxicité), et la réduction de la reproduction cellulaire…

Contre cela, que préconisent-ils ? Le glutathion.

Et pourquoi, si le glutathion fait tant de bien, nous ne leur laisserions pas leurs technologies d’apprentis-sorciers, pour nous contenter de l’antidote ?

Car le glutathion, malgré son nom un peu curieux, vous l’utilisez et vous le fabriquez tous les jours.

En effet, vos cellules s’endommagent sans arrêt : c’est un des principes de la vie. Les antioxydants permettent de parer à cela, notamment la vitamine C, indispensable à notre organisme.

Mais aucun antioxydant n’est aussi efficace que le premier d’entre eux, celui que fabrique notre foie – et dont l’ibuprofène inhibe la production…

Cet antioxydant fondamental, c’est le glutathion.

Je recommande évidemment le glutathion liposomé, c’est-à-dire encapsulé dans la même composition que les parois de vos cellules, pour une absorption parfaite.

En ce moment, où les craintes d’intoxication au graphène vont bon train, et où l’impression générale de vieillissement accéléré est prégnante, il est très demandé.

Toutefois, je connais une petite entreprise qui en vend encore quelques flacons de la meilleure qualité. Le glutathion est d’origine naturelle, sans OGM et sans sucre ajouté.

Portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz

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