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  • France : Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé, vient d’être citée dans un grave scandale sanitaire

    France : Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé, vient d’être citée dans un grave scandale sanitaire

    Lien : https://lecourrier-du-soir.com/france-agnes-buzyn-ex-ministre-de-la-sante-vient-detre-citee-dans-un-grave-scandale-sanitaire/

    Audio : Agne Buzyn et le levothyrox.mp3

    Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé, est citée dans un grave scandale sanitaire. En septembre 2017, elle avait approuvé la commercialisation de la nouvelle formule du Levothyrox, médicament utilisé par plus de 3 millions de personnes en France pour stabiliser leur taux de TSH, une hormone qui stimule la thyroïde. 4 ans plus tard, un rapport d’experts conclue que la nouvelle formule du médicament, fabriqué par le laboratoire Merck, avait été approuvé par l’Agence Nationale de Sécurité et du Médicament (ANSM) qui était consciente qu’elle (la nouvelle formule) était très différente de la première et que donc elle comportait des risques pour les consommateurs

    Agnès Buzyn se la coule douce à Genève où elle a été nommée ambassadrice de la France auprès de l’OMS. Mais, l’ex ministre de la Santé, dont le rôle dans la gestion de la pandémie à Coronavirus a été très décrié, est citée dans une grave affaire qui semble intéresser très peu la presse française.

    En effet, ces derniers jours, une expertise judiciaire rendue publique par un groupe d’experts commis par le tribunal de Marseille a mis en cause le laboratoire Merck et l’Agence du Médicament français pour leur rôle dans la commercialisation de la nouvelle formule du Levothyrox, médicament utilisé par plus de 3 millions de personnes en France pour stabiliser leur taux de TSH, une hormone qui stimule la thyroïde.

     

    Le médicament finira par provoquer des milliers d’effets secondaires en France. Pourtant, au tout début de sa commercialisation, les autorités sanitaires, dont Agnès Buzyn, indiquaient qu’il ne représentait aucune menace pour la santé des millions de consommateurs.

    “Il n’y a aucun scandale. C’est une crise liée à un défaut d’information et à un défaut d’accompagnement, qu’il faut entendre. La nouvelle formule est même beaucoup plus stable que la précédente”, disait Agnès Buzyn, à l’époque ministre de la santé, en septembre 2017.

    Pourtant, quelques années plus tard, comme le révèle le journal Le Monde, le rapport d’experts dit tout le contraire. “Révélé par le site Les Jours, leur rapport d’expertise, que Le Monde a pu consulter, liste une série de failles réglementaires et de graves manquements du laboratoire Merck et des autorités sanitaires, tous de nature à expliquer certains des effets indésirables liés au changement de formule”, renseigne Le Monde.

    Et de poursuivre : “pis : selon le rapport, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) était consciente, dès septembre 2017, d’un problème potentiel. Le gendarme du médicament n’a pourtant pris aucune mesure corrective, ni même reconnu, dans les mois suivant, la possible origine pharmacologique des troubles déclarés par les patients.”

    Pour en savoir plus sur cette affaire, intéressons-nous au travail du média Libération qui explique tout. “En 2017, alors que l’ancienne formule fonctionnait depuis des années, sans provoquer d’effets secondaires, le laboratoire Merck a mis sur le marché une nouvelle formule. Il a changé ce que l’on appelle les excipients, cette substance qui entre dans la composition d’un médicament et qui sert à incorporer les principes actifs. En choisissant le mannitol et l’acide citrique plutôt que le lactose… Pour le bien du patient, disaient à l’unisson Merck comme l’Agence du médicament, toutes les deux mettant en avant le souhait d’un produit plus stable. Pourquoi pas ? Mais encore aurait-il fallu faire les études démontrant la neutralité de ces changements. Or – et c’est ce que confirme le rapport des experts – cela n’a pas été fait.”

    En gros, tout était faux. La nouvelle formule qui a été commercialisée en 2017 avec la bénédiction de l’ANSM et de Buzyn était très différente de l’ancienne formule. Et plus grave encore, dans leur rapport, les experts révèlent un véritable scandale, c’est-à-dire que dès septembre 2017, un expert de l’ANSM a reconnu, dans une note, que les génériques de Levothyrox n’étaient pas substituables.

    Il n’y a donc aucun doute que l’idée que la nouvelle formule a été substituable a été imposée. Mais, par qui? Telle est la question à laquelle aucune réponse n’est encore trouvée. Il convient de rappeler que les malades de thyroïde ont eu à subir les conséquences très difficiles de ce changement de formule. Parmi les effets secondaires, il y a eu : dépression, chute de cheveux, perte de mémoire, troubles digestifs…

    Agnès Buzyn sera-t-elle convoquée par la justice française pour rendre des comptes? La probabilité que cela arrive est très faible.

     
  • Les gouvernements vous mentent et préparent le dépeuplement massif

    Transféré de Bon Sens
    Placé dans le compte Telegram de Silvano Trotta
    « LA SEULE CHOSE QUI PERMET AU MAL DE TRIOMPHER EST L'INACTION DES HOMMES DE BIEN »
     
    Edmond Burke
     
    On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. À présent, les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle.
     
    CONSPIRATION ET PAS SEULEMENT OPPORTUNISME CONVERGENT...
     
    Pour mémoire, les propos de l’ancien vice-président de Pfizer, 
     
    « Les gouvernements vous mentent et préparent le dépeuplement massif »
     
    « Mais ce que j’aimerais faire, c’est parler de ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais « l’opportunisme convergent », c’est-à-dire qu’un groupe de différents parties prenantes a réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence. »
     
    « Je pense maintenant que c’est naïf. Il ne fait plus aucun doute dans mon esprit que des organismes très importants dans le monde avaient soit prévu de profiter de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. La preuve est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies. »
     
    La biotechnologie vous offre des moyens illimités, franchement, d’invalider ou de tuer des milliards de personnes.... 
     
    Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer,
    “Les gouvernements vous
    mentent et préparent le dépeuplement massif” 

  • e-mails de Fauci : le COVID est une arme biologique créé à Wuhan

    Les e-mails de Fauci révèlent qu’ils savaient tous que COVID est une arme biologique créé à Wuhan

    En janvier 2020, alors que l’Organisation mondiale de la santé insistait sur le fait que le COVID-19 n’était pas transmissible entre les humains, et que le Dr Anthony Fauci déclarait que le risque que représente le virus pour le public américain était “faible”, les responsables des National Institutes of Health s’efforçaient de limiter les dégâts après qu’une étude controversée – et aujourd’hui retirée – eut suggéré que des “insertions” semblables au VIH étaient incluses dans le SARS-CoV-2.

    L’étude, intitulée “Uncanny similarity of unique inserts on the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag” (“Similitude étrange d’insertions uniques sur la protéine de spicule du 2019-nCoV avec la gp120 et la Gag du VIH-1”), indique que des segments de l’ARN du virus n’ont aucun rapport avec d’autres coronavirus tels que le SRAS, et semblent plutôt se rapprocher du VIH.

    Plus précisément :

    Pour étudier plus avant si ces insertions sont présentes dans un autre coronavirus, nous avons effectué un alignement de séquences multiples des séquences d’acides aminés de la glycoprotéine de pointe de tous les coronavirus disponibles (n=55) [se référer au tableau S.File1] dans NCBI refseq (ncbi.nlm.nih.gov) ; ceci inclut une séquence du 2019-nCoV [Fig.S1]. Nous avons constaté que ces 4 insertions [insertions 1, 2, 3 et 4] sont uniques au 2019-nCoV et ne sont pas présentes dans les autres coronavirus analysés.

    […]


    Nous avons ensuite traduit le génome aligné et constaté que ces insertions sont présentes dans tous les virus 2019-nCoV de Wuhan, à l’exception du virus 2019-nCoV de la chauve-souris comme hôte [Fig.S4]. Intrigués par les 4 insertions hautement conservées uniques au 2019-nCoV, nous avons voulu comprendre leur origine. À cette fin, nous avons utilisé l’alignement local de 2019-nCoV avec chaque insertion comme requête contre tous les génomes de virus et nous avons considéré les résultats avec une couverture de séquence de 100%. Étonnamment, chacun des quatre insertions s’est aligné sur de courts segments des protéines du virus de l’immunodéficience humaine 1 (VIH-1).

    L’article, aujourd’hui retiré, a suscité l’intérêt de plusieurs journalistes, dont Zero Hedge (dont le compte Twitter a été interdit un jour après que nous ayons mis à jour notre couverture de l’article, au motif que nous avions “doxé” un scientifique chinois dans un rapport précédent).

    Grâce à une récente demande en vertu de la loi Freedom of Information Act (FOIA) pour les courriels de Fauci, nous savons maintenant que les National Institutes of Health étaient non seulement au courant du rapport indien, mais qu’ils discutaient activement de la façon de le traiter.

    Dans un courriel du 31 janvier, Issam Ahmed, de l’AFP, demande au Dr Barney Graham, immunologiste des NIH, un commentaire :

    “Un contact m’a dit que vous seriez peut-être prêt à donner votre avis sur cet article qui vient d’être publié. Il suggère que le nouveau coronavirus possède quatre insertions similaires à celles du VIH-1 et que ce n’est pas une coïncidence”, peut-on lire dans ce courriel.

    M. Graham a immédiatement transmis la correspondance au Bureau des communications et des relations gouvernementales (OCGR), en déclarant : “Nous ne voulons pas répondre à cette question sans une contribution de haut niveau, mais nous voulions vous informer de la controverse croissante.”

    Deux jours plus tard, Jennifer Routh de l’OCGR a répondu, disant à Graham : “L’OCGR va envoyer une note au journaliste pour qu’il la décline, en précisant que l’article n’est pas évalué par les pairs. Veuillez nous faire savoir si vous recevez des demandes similaires.”

    Ce même dimanche matin, Fauci s’est empêtré – avec Sir Jeremy Farrar transmettant l’article de Zero Hedge après avoir mentionné comment le directeur de l’Organisation mondiale de la santé Tedros Adhanom et le chef de cabinet de l’organisation étaient en “conclave” – apparemment sur la façon de gérer le récit – notant “S’ils tergiversent [des conn*ries au public], j’apprécierais un appel avec vous plus tard ce soir ou demain pour réfléchir à la façon dont nous pourrions aller de l’avant”.

    “Vous avez une minute pour un appel rapide ?” a répondu Fauci, après avoir qualifié le journal indien de “vraiment farfelu”.

    Bien sûr, l’article indien a été rapidement retiré par ses auteurs, et l’idée que le COVID-19 ait pu être créé par l’homme est devenue radioactive – pendant un certain temps.

    En avril dernier, le Dr Luc Montagnier – lauréat du prix Nobel de médecine en 2008 pour avoir “découvert” le VIH comme cause de l’épidémie de sida – affirmait que le SARS-CoV-2 est un virus manipulé, qui s’est échappé accidentellement d’un laboratoire de Wuhan, en Chine.

    “Avec mon collègue, le bio-mathématicien Jean-Claude Perez, nous avons soigneusement analysé la description du génome de ce virus à ARN”, explique Luc Montagnier, interrogé par le Dr Jean-François Lemoine pour le podcast quotidien de Pourquoi Docteur, ajoutant que d’autres ont déjà exploré cette piste :

    Des chercheurs indiens ont déjà tenté de publier les résultats des analyses qui montraient que le génome de ce coronavirus contenait des séquences d’un autre virus, … le VIH (virus du sida), mais ils ont été contraints de retirer leurs conclusions, la pression des médias dominants étant trop forte.

    L’intrigue s’est encore épaissie lorsqu’une étude de scientifiques chinois publiée en mai 2020 a révélé que le nouveau coronavirus utilise la même stratégie que le VIH pour échapper aux attaques du système immunitaire humain.

    Puis, en juin dernier, l’ancien chef du MI-6, Sir Richard Dearlove, a déclaré qu’il pensait que le COVID-19 était un virus fabriqué par l’homme, contenant des sections “insérées” qui se sont accidentellement échappées d’un laboratoire chinois, selon le Telegraph.

    Mais Sir Richard, 75 ans, a attiré l’attention sur un article scientifique publié cette semaine par une équipe de chercheurs norvégiens et britanniques qui affirment avoir découvert des indices dans la séquence génétique du COVID-19, suggérant que des éléments clés ont été “insérés” et pourraient ne pas avoir évolué naturellement.


    Intitulée “A Reconstructed Historical Aetiology of the SARS-CoV-2 Spike” (“Une reconstitution de l’étiologie historique de la flambée du SRAS-CoV-2”), la nouvelle étude, consultée par The Telegraph, suggère que le virus est “remarquablement bien adapté à la coexistence avec l’homme” et qu’il est probablement le résultat d’une expérience menée par le laboratoire de Wuhan pour produire des “virus chimériques très puissants“.

    L’article conclut :

    “Désormais, ceux qui soutiennent que la pandémie de Covid-19 est née d’un transfert zoonotique doivent expliquer précisément pourquoi ce compte rendu plus parcimonieux est erroné avant d’affirmer que leurs preuves sont convaincantes, surtout lorsque, comme nous le montrons également, il y a des erreurs déroutantes dans leur utilisation des preuves.” –Le Telegraph

    Le gouvernement australien a annulé la poursuite du développement d’un vaccin COVID-19 en décembre 2020 après que plusieurs participants aux essais aient eu des tests faussement positifs pour le VIH.

    Plus récemment, deux virologues européens ont déclaré avoir trouvé des “empreintes” génétiques qui prouvent que le COVID-19 a été créé par l’homme.

    Le professeur britannique Angus Dalgleish, connu pour avoir créé le premier “vaccin contre le VIH” au monde, et le virologue norvégien Birger Sorensen, président de la société pharmaceutique Immunor, qui a publié 31 articles évalués par des pairs et détient plusieurs brevets, ont écrit qu’en analysant des échantillons de virus l’année dernière, ils ont découvert des “empreintes digitales uniques” sous la forme de “six insertions” créés par la recherche sur les gains de fonctions à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine.

    Ils concluent également que le SARS-Coronavirus-2 n’a “aucun ancêtre naturel crédible” et qu’il est “au-delà de tout doute raisonnable” que le virus a été créé par “manipulation en laboratoire”.

    On ne peut qu’imaginer ce que les NIH et Fauci disent de cette théorie à présent.

    Traduction de Zero Hedge par Aube Digitale