Lettre du Dr Smitz : les nouvelles de la vaccination sont mauvaises
Lien vers le site du Dr Smitz : https://www.drschmitz.com/blog/le-blog-du-dr-schmitz-1 Audio : lettre du dr Smitz.mp3 Au moment où j’écris ces lignes, le passe vaccinal vient d’être adopté en France par le sénat1. C’est une terrible nouvelle pour le « pays des droits de l’Homme ». Cela veut dire qu’il y a aujourd’hui, en France, un crime d’opinion, et une stigmatisation d’Etat d’une catégorie de Français visée en tant que telle. Pire encore, un blanc-seing est donné pour la persécution médiatique d’une minorité dans son bon droit. Car les non-vaccinés n’ont pas l’intention de renoncer au seul progrès humain issu de la seconde guerre mondiale. Je parle ici du droit à refuser des traitements médicaux (article 1111-4 du code de la santé publique2) et en particulier, des traitements expérimentaux3. Et pourtant, chez les non-vaccinés que je connais, c’est la compassion qui l’emporte. Souvent, ils s’inquiètent plus pour les autres que pour eux-mêmes. Les non-vaccinés que je connais se battent pour ceux qu’ils aimentIls craignent pour leurs frères, leurs sœurs, leurs parents et leurs intimes, convaincus ou contraints de prendre la thérapie génique expérimentale.Car malgré tout ce que vous pouvez entendre, les vaccins sont encore expérimentaux, dixit le Monde du 8 juillet dernier4. Et les persécutions, elles, finissent par passer. Comme nous l’enseignait Epictète, elles ne brisent pas ceux qui s’y préparent dans leur tête et dans leur corps5. Et l’histoire regorge de conseils pour celles et ceux qui trouvent en eux assez de courage pour résister. Emmanuel Macron fait preuve d’une malveillance particulière en assurant vouloir « e**erder les non-vaccinés »6, et en les traitant en « non-citoyens »7 — donc prêt à les déchoir des droits qui les protègent. Mais cette malveillance est pour moi une constance politique dans cette crise sanitaire, et non le trait de caractère d’un seul personnage. Hélas, dans une perspective de compassion et d’espérance, je vous supplie de considérer que le pire n’est pas ce qui est fait aux non-vaccinés mais aux vaccinés. Car les nouvelles de la vaccination sont mauvaises, et elles ne vont faire qu’empirer. Encombrement des hôpitaux ? Rien à voir avec les non-vaccinésC’est devenu un leitmotiv chez nos politiques : les non-vaccinés sont des irresponsables, des méchants qui ne pensent pas aux autres et dont il est juste de leur « pourrir » la vie. Pourtant, c’est accepté même par les médias subventionnés : à la fin décembre, 63% des morts du Covid étaient vaccinés8. À quoi peut bien servir ce vaccin qui « évite les formes graves » selon ses partisans, mais n’empêche pas qu’on en meure ? En fait, la 2e dose aurait évité un surcroît statistique d’hospitalisations à ceux qui l’ont prise, par rapport à ceux qui avaient seulement pris la première — entre décembre 2020 et juillet 20219. Voilà qui justifie cette formule périmée depuis plus de 6 mois. Mais qu’est-ce qu’un « vaccin » qui nécessite d’être pris 4 fois par an, d’après l’exécutif ?10 N’est-ce pas un vaccin qui admet qu’il ne fonctionne pas, et donc n’est pas un remède absolu – un vaccin au sens naguère rigoureux du terme ? Il y a lieu de poser la question, surtout quand l’Organisation Mondiale de la Santé dit que la multiplication des « rappels » n’est pas une « stratégie viable »11. Quant au mythe selon lequel les non-vaccinés encombrent les hôpitaux, c’est de la pure propagande : sur 100 hospitalisés, 12 sont admis pour cause de Covid, moitié vaccinés, moitié non-vaccinés12. Et sur l’année 2020, celle de l’explosion pandémique, il a été officiellement relevé par l’ATIH (Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation) que le Covid n’avait occupé que 2% des lits. Un chiffre qui « ne reflète pas la réalité » selon France Info13. On s’en serait douté… Pourtant, la réalité qui commence à apparaître, c’est le caractère contreproductif du vaccin, ce phénomène des anticorps facilitants dont les médias n’arrivent pas à faire taire la rumeur. Le prix Nobel de médecine Luc Montagnier avait de nouveau sonné l’alerte il y a quelques semaines14, de même que le Professeur Raoult, depuis les premiers jours de l’année15. La vaccination entraîne-t-elle une surmortalité ?Donc, au lieu de protéger, le vaccin attaque la fonction immunitaire, du moins en ce qui concerne la pandémie. Mais ses dégâts pourraient être beaucoup plus importants.Ainsi, une compagne d’assurance vie de l’Indiana, OneAmerica, a remarqué que la mortalité des adultes actifs aux Etats-Unis (entre 18 et 64 ans) avait augmenté de 40% par rapport aux années pré-covid.16 Ceci rend l’entreprise en question particulièrement soucieuse, car cette statistique pourrait la mener à la faillite. Or cette surmortalité ne s’explique malheureusement QUE par la campagne d’injection massive des vaccins. De dangereux complotiste ont fait le calcul de cette surmortalité et arrivent à plus d’un million de morts supplémentaires par an aux Etats-Unis17, ceci alors que les chiffres des morts de la pandémie se sont effondrés, avec l’arrivée du variant peu mortel omicron. Les journalistes du Daily Exposé (qui subissent beaucoup de pressions ces derniers temps), ont encore ont cru remarquer, d’après les statistiques de OneAmerica, quelque chose d’encore plus grave. C’est que les adultes actifs avaient 50% de risques en plus de mourir vaccinés que non-vaccinés18 sur les deux premiers trimestres 2021. Ces chiffres ont fait réagir l’un des inventeurs de la technologie vaccinale ARN, Robert Malone, pourtant notoirement pro-vaccin. Il s’est interrogé sur les motivations derrière la promotion à grande échelle de traitements dont la dangerosité devient chaque jour plus évidente19. Il se demande si le docteur Reiner Fuellmich n’a pas eu raison de soutenir la plainte devant le tribunal international de la Haye pour crime contre l’humanité20, contre tous les promoteurs de la campagne vaccinale. Mais les chiffres de OneAmerica ne sont pas les seuls à inquiéter. La piqûre ne marche pas ? Reprenez-en !L’université d’Oxford avait déjà trouvé en décembre que la double vaccination ne donnait pas assez d’anticorps efficaces contre le variant omicron21.De même, dans les premiers jours de l’année, le très officiel institut allemand Robert Koch a montré que sur les 4206 cas d’omicron étudiés, 186 seulement étaient non-vaccinés22. 95,58% des infectés étaient donc vaccinés et moins de 5% non-vaccinés. Heureusement que ce variant n’est pas mortel ! Ces chiffres ont été « révisés » par la suite, sans que la moindre explication ne soit donnée, ce qui prouve à quel point ils étaient gênants23. Ce genre de contrefaçons de dernière minute explique pourquoi 57% des Allemands n’ont aucune confiance dans les chiffres de la pandémie, et que seulement 32% croient le gouvernement « crédible »24. Hélas, la vaccination censée protéger du virus ne semble tout simplement pas protéger. Pire encore, elle rendrait malade. C’est ce qu’a indiqué le professeur Didier Raoult, et qui est visible avec les statistiques de l’Ontario analysées dans le New England Journal of Medicine : Ils nous montrent une très nette augmentation des cas de Covid après vaccination – précisément dans cette période de 2 semaines après injection. Or c’est cette période que les statisticiens ont décidé arbitrairement de ne pas prendre en considération dans leurs études, comme le souligne Didier Raoult lui-même25. Ici, sur la partie en bleu26: |
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La question est de savoir si le vaccin est seulement peu efficace, comme le reconnaît le professeur Caumes27, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière à Paris, ou si son administration quasi-obligatoire est même criminelle. Ces médecins ont sacrifié leur carrière en cherchant la véritéJ’ai jusqu’ici mentionné des professionnels d’institutions encore en place. Ils font preuve d’autant de réserve que possible afin de pouvoir conserver assez d’autorité pour accéder à la parole médiatique. D’autres médecins, plus révoltés par les méthodes à l’œuvre dans tous les pays soumis aux diktats des industries pharmaceutiques, ne s’embarrassent pas de ces précautions. Même censurés par l’ensemble des médias traditionnels et par la plupart des réseaux sociaux, ils sonnent l’alarme de toutes leurs forces, et les titres qu’ils ont accumulés au cours de leurs longues carrières, font qu’ils méritent d’être écoutés. Ainsi, le médecin Reiner Füllmich, en analysant soigneusement les lots avec plusieurs collègues, dont le docteur Wodarg, a remaqué que les effets secondaires les plus nocifs se concentraient sur environ 0,5% des lots28. Ce qui est étonnant, pour les docteurs Füllmich et Wodarg, après observation des statistiques des effets secondaires selon les lots, c’est la disparité de la dangerosité entre les différents lots. Selon eux, ces importantes différences statistiques donneraient à penser que les entreprises pharmaceutiques se seraient organisées pour mener des expériences distinctes. Quoi qu’il en soit, le fait que ces expériences dangereuses soient menées « dans l’intérêt public » pour une maladie dont la létalité reste extrêmement faible (moins de 1% dans tous les cas), est sérieusement sujette à caution. Comme le dit le proverbe : l’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique. Il existe d’ailleurs un site, intitulé « how bad is my batch » (ai-je tiré le mauvais lot ?), qui prétend vous informer sur l’association entre le lot de vaccination auquel vous êtes relié et les effets secondaires qui lui ont été associés (ou pas)29. Devant le grand nombre des données, difficile de vérifier la véracité du site… Mais il est l’œuvre de Michaël Yeadon, ancien directeur (« repenti ») de chez Pfizer. Ce dernier est également à l’initiative de la plainte déposée devant le tribunal de la Haye pour crime contre l’humanité. ARN et maladies auto-immunes, un scandale mondial ?Je dois vous présenter le Professeur de microbiologie Sucharit Bhakdi. Aujourd’hui à la retraite, il a exercé en Allemagne et a obtenu l’équivalent du Nobel de l’immunologie, le prix Aronson. Engagé contre la politique sanitaire à l’œuvre en Occident, il a écrit une lettre ouverte à Angela Merkel pour critiquer sa gestion de la pandémie. Il participe régulièrement à un site de référence des médecins qui mettent en exergue l’irrationnalité de la politique sanitaire30. Le Professeur Bhakdi, avec le Pr. Arne Burkhardt présente ces jours-ci une première étude, malheureusement sur trop peu de cas (15), où il estime que 93% des morts actuelles sont désormais dues au vaccin31. Si le papier est encore à l’état d’ébauche, la vidéo explicative du Pr.Bhakdi – seulement en anglais, hélas — est bouleversante32. Lui qui avait été l’un des premiers à expliquer les ravages cardiovasculaires de la protéine spike, développe encore un peu plus le sujet, surtout en ce qui concerne les problèmes immunitaires qui en découlent. Rappelons que les vaccins ARN consistent à faire produire par les cellules du corps pendant un temps limité (quelques dizaines d’heures) des « becs » de virus de la pandémie – les protéines spike ou spicules. Le but est que le système immunitaire apprenne à cibler ces « becs » et puisse donc détruire les virus de la pandémie en cas d’infection. Comme nous l’explique le Professeur Bhakdi :
Car cette prolifération toucherait jusqu’aux ganglions lymphatiques, qui sont à la fois des casernes pour nos défenses immunitaires, mais aussi un centre de tri pour les déchets de ces mêmes défenses. C’est ce qui explique, pour le professeur Bhakdi, le dérèglement du système immunitaire d’une forte proportion de personnes, vaccinées avec la méthode ARN. Les conséquences qu’il en tire sont difficiles à entendre. Ainsi, le « covid long » serait favorisé par cette dépression immunitaire. Il serait une résurgence, chez les personnes atteintes par la protéine spike, d’une forme de mononucléose causée par le virus d’Epstein-Barr36, un type d’herpès. Mais l’effondrement de nos défenses induirait aussi la résurgence des tumeurs, habituellement détruites en grand nombre et quotidiennement, ainsi que de maladies que nous portons en nous, mais qui sont tenues à chaque instant en respect, telles que la tuberculose. Une récente résurgence des cas de tuberculose donnerait-elle raison au professeur Bhakdi ? En tout cas, les statistiques 2021 sur cette question ne sont pas encore disponibles. Mais le fait d’être privé de vie sociale pendant quelques mois doit-il être mis en balance avec les risques dont parle cet éminent professeur ? Car il ne s’agit pas ici que d’arrêts cardiaques, comme les 5 consécutifs qu’a subi ce présentateur télé brésilien de 36 ans, si fier d’inciter à la vaccination, et tombé au champ d’honneur télévisuel37. Il s’agit de maladies particulièrement déplaisantes et dont les chances de s’en sortir, une fois le système immunitaire détraqué, est assez faible. Un message d’espoirAlors, oui, souvent je me dis que ce ne sont pas les non-vaccinés qui sont les plus à plaindre, si tant est qu’ils aient encore le ventre plein et un toit sur la tête. Cette période est extrêmement difficile, mais je ne doute pas que nous la surmonterons tous, vaccinés et non-vaccinés, dans l’entraide et la solidarité. Il y a encore 300 ans, et ce n’est qu’une seconde dans l’histoire de l’humanité, la vie était plus brève et beaucoup plus violente. Pourtant, nos ancêtres ont triomphé de l’adversité, et au fond de nous, nous sommes de la même étoffe qu’eux. Sinon, nous ne serions pas là. Aujourd’hui, l’hiver est sur nous. Mais tous les hivers passent. Marc Turenne Sources :
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