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  • Centre Territorial d'Information Indépendante et d'Avis Pharmaceutiques - CENTRE HOSPITALIER DE CHOLET - Docteur Amine UMLIL - Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE -

    vendredi 2 avril 2021

    Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA)

    Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

    Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

    Dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

    Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.

    Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

    La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

    I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »

    L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.

    En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

    Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

    Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.

    II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

    L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

    Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

    À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

    Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

    Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».

    Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

    Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.

    III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

    C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de :

    « juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;

    « juin 2021 » pour Moderna ;

    « juin 2022 » pour Astra Zeneca ;

    « août 2021 » pour Janssen.

    En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :

    Pour le vaccin BioNTech/Pfizer (pages 18-19)

    À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».

    À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

    « compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;

    « renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;

    « fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

    « fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

    Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».

    Pour le vaccin Moderna (page 15)

    Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

    « compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;

    « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;

    « fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;

    « soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine Moderna » (échéance « décembre 2022 »).

    Pour le vaccin Astra Zeneca (pages 14-15)

    Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :

    « fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;

    « fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;

    « soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;

    « fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;

    « soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).

    Pour le vaccin Janssen (page 18)

    Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

    « fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;

    « déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).

    Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

    Conclusion

    Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.

    L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

    D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

    Le changement du nom commercial de l’un de ces vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

    Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.

    Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.

    À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vaccins.

    Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?

    Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

    Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.

    Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

    La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

    Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.

    Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).

    L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».

    Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

    La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la première des pauvretés et des inégalités.

    D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

    Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 - mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

    Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

    D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».

  • Interview du Général Flynn traduite

    Audio : Gl Flynn itv.mp3

    Source : https://canalisations-marie.blogspot.com/2021/

    Hier soir, le général Michael Flynn a rejoint John Michael Chambers et James Grundvig sur American Media Periscope pour dire que la vérité continue de sortir et que la culture d'annulation actuelle que nous avons vue concerne tout autant la censure de la vérité qu'elle l'est. à propos de tout; c'est la censure de la fraude électorale de 2020, c'est la censure de la corruption de la famille Biden, c'est la censure du chantage contrôlant la plupart des membres de notre gouvernement et bien sûr, c'est la censure du CoronaHoax.

    John Chambers a une liste de questions pour le général dont une commençant le président Obama
    Le général Flynn répond qu'en 2014, lorsqu'il a donné un témoignage véridique lors d'une audience publique devant le Congrès au sujet de l'Etat islamique et de la montée de l'Etat islamique et d'Al-Qaïda. Il dit que l'administration Obama n'a pas aimé cela et que la communauté du renseignement non plus. Il était assis à côté de James Comey, James Clapper et John Brennan, qui ont tous juré sous serment que "l'Etat islamique était en diminution". Flynn, au lieu de cela, a dit la vérité: en fait, l'EI était en train de croître et de s'étendre et la menace augmente.
    Il dit que la deuxième chose qu'ils n'ont pas aimé avait à voir avec l'accord nucléaire iranien. Flynn dit qu'il n'aimait pas ça mais qu'il a suivi les ordres du commandant en chef en uniforme. Cependant, une fois qu'il a pris sa retraite de l'armée, il a commencé à faire connaître ses pensées. Il voulait savoir pourquoi nous faisions un accord avec le principal sponsor mondial du terrorisme d'État?

    Flynn dit qu'il avait également des doutes sur ce que l'administration Obama faisait en Libye et aussi sur la façon dont les États-Unis traitaient avec la Chine; déplacer notre base de fabrication là-bas, le transfert de technologie qui l'accompagne, permettant aux Chinois de posséder ~ 30 millions d'acres de terres agricoles et de ranchs de premier ordre, tout en planifiant de dépasser les États-Unis au moyen de la guerre sans restriction.
    Il dit qu'il avait toujours eu une réputation de réformateur et que la communauté du renseignement le savait, alors quand il a été nommé chef de la sécurité nationale de Trump, ils n'étaient pas heureux.

    John Chambers demande au général ce qu'il a appris de son baptême par le feu par le Deep State?
    Il dit que cela peut être résumé dans une lettre qu'il a écrite après le rejet de son cas, ce qui, selon lui, était une grande lettre de remerciement au peuple américain. Il dit que les principales leçons qu'il a apprises concernaient sa foi et celle de sa famille en Dieu. Il dit qu'il a pris à cœur les paroles du Psaume 23 . Il dit avoir beaucoup appris sur sa foi et la force de sa famille et de ses véritables amitiés.

    John l'interroge ensuite sur la corruption au sein du gouvernement UD et la militarisation de la communauté du renseignement à des fins politiques?
    Flynn répond, la politisation des agences de renseignement pour des raisons personnelles pour exercer un pouvoir sur les citoyens de ce pays n'est pas ce que ce pays est censé être et que ces gens du FBI et de la CIA savent exactement de quoi il parle.


    John dit que les Américains ont versé du sang dans d'autres pays afin qu'ils puissent avoir des élections libres et justes encore, nous n'avons pas cela en Amérique, maintenant. Les preuves sont là, les données médico-légales et scientifiques sont là. Donald Trump a remporté l'élection dans un glissement de terrain et il y a eu une attaque nationale et étrangère massive contre l'élection et cette dernière n'en fait-elle pas un acte de guerre?
    Flynn fait référence à «Absolute Proof» de Mike Lindell , qui expose définitivement la preuve du Digital Pearl Harbor qui était la cyberattaque et le vol de l'élection et comment nous devons revenir aux bulletins de vote papier. Il dit également que si nous voulons respirer l'air frais de la liberté et si nous voulons cela pour nos petits-enfants, nous devons devenir des participants à notre gouvernement. Notre système, tel que présenté par nos pères fondateurs est un système participatif et nous allons soit continuer cette expérience américaine en démocratie, soit nous allons passer au socialisme et au communisme, comme le voudraient les gens actuels du bureau ovale. voir.

    John demande ensuite que, puisque le peuple américain n'a pas reçu sa journée au tribunal pour le vol de la nation, comme il appelle la fraude électorale de 2020, puisque la Cour suprême a refusé d'entendre les affaires, les tribunaux militaires et militaires ne sont-ils pas les derniers recours dans cette situation?
    Flynn fait référence à des cas dans le comté d'Antrim, dans le Michigan, à New York, dans le New Hampshire et qui se produisent actuellement dans le comté de Maricopa, en Arizona. Et à l'exception de ce dernier, qui est en cours, chaque cas a été renversé en faveur de Trump.

    Il affirme que nous, le peuple, sommes la dernière ligne de défense. Il dit que ce que les militaires peuvent faire, ce n'est pas quelque chose qu'il commenterait, mais qu'ils respectent leurs serments et les ordres juridiques et moraux qui leur sont donnés. Il dit que l'armée est subordonnée aux dirigeants politiques que nous avons et qu'il est très contre l'idée que l'armée renverse quelqu'un qu'elle n'aime pas, c'est pourquoi nous, le peuple, sommes la dernière ligne de défense. Oui, certains champions, comme Sidney Powell, Lin Wood, Patrick Byrne et d'autres se battent en notre nom, c'est très, très coûteux.

    Flynn mentionne le prochain film de Mike Lindell, `` Absolute Interference '', qui entre dans l'ingérence étrangère dans l'élection de 2020 et comment a eu l'occasion de rencontrer les deux généraux chinois qui ont écrit le livre de 1999, `` Unrestricted Warfare: China's Master Plan to Destroy America '' . Il dit que la doctrine chinoise comporte six éléments principaux et que les cinq premiers impliquent la guerre de l'information, la guerre économique et la façon de faire les choses sans dépenser les ressources nécessaires pour se lancer dans la guerre physique.
    Flynn dit que ce qui s'est passé le 3 novembre n'était pas simplement un hasard; il était planifié depuis des décennies. Il dit que pendant qu'il était dans l'armée, il a étudié la doctrine chinoise et il est continuellement étonné de voir à quel point les Chinois l'ont exercée.

    Il soutient que nous allons rester sur la voie de la démocratie constitutionnelle, de la vie, de la liberté et de la poursuite du bonheur; que nous ne pouvons avoir d'autre résultat que de nous impliquer dans notre communauté et d'arrêter de nous plaindre des politiciens - de s'en débarrasser, de les élire - ou de se présenter aux élections.

    John passe ensuite le sujet à la censure et à quel point les Big Tech et les médias grand public sont-ils dangereux?
    Flynn parle des Digital Warriors qui ont afflué à sa défense, analysant son cas. Il plaisante: «J'avais probablement le plus grand cabinet d'avocats au monde». Il dit que le même effort qu'ils ont déployé pour lui devrait être déployé pour contrer la culture d'annulation que nous voyons aujourd'hui. Il exhorte les futurs soldats numériques à vérifier leurs sources, à obtenir plusieurs sources et à se souvenir que «le premier rapport est toujours faux».

    Il dit que les socialistes-communistes sont très coordonnés dans leurs messages et que "nous ne le sommes pas. Nous devons être plus coordonnés" face à toutes leurs distractions. Et ce dont ils nous distraient, c'est le 3 novembre. "Nous avons été attaqués par un adversaire étranger avec des infiltrés nationaux et ils ont volé cette élection."
    Il dit que plus de preuves vont sortir, mais ce qui lui arrive et ce qui est fait à ce sujet reste à voir et "Il faudra que des décisions soient prises par des personnes sérieuses dans les mois à venir à ce sujet parce que nous ne pouvons pas avoir cela dans ce pays. Nous ne sommes pas l'Irak. Nous ne sommes pas la Chine. Nous ne sommes pas une dictature. Nous ne sommes pas une monarchie. Nous sommes une République constitutionnelle, où notre vote compte et nos élections doivent être libres et équitables. Ils doivent être transparents.

    "Pourquoi tant de cabinets d'avocats travaillent-ils pour la gauche? Se battent-ils pour cacher la vérité au public américain? Hé, si Joe Biden a gagné, d'accord ... nous rentrerons chez nous mais pourquoi se battent-ils bec et ongles pour nous empêcher de voir la vérité?

    John fait ensuite peser le général sur les événements du Capitole le 6 janvier.
    Flynn dit qu'il s'attend à ce qu'au fur et à mesure que de nouvelles choses en sortiront, cela sera révélé comme un faux drapeau pour détourner l'attention du crime du siècle, qui est le vol des élections de 2020.


    John demande alors au général de nous donner une évaluation de la menace des Chinois et ce qu'il ferait pour gérer la menace si elle était en fonction.
    Flynn dit que la Chine surpasse les États-Unis «De bien des façons, militairement, économiquement ... Nous devons considérer la Chine comme une menace majeure, un adversaire majeur ... Nous avons maintenant une administration qui va répondre à la Chine. "

    John l'interroge ensuite sur les affadavits sous serment du témoin de Lin Wood avec des allégations de pédophilie au sujet du juge John Roberts, Mike Pence et du juge Emmett Sullivan.
    Flynn répond que la vérité finira par sortir et que quiconque est compromis et pense s'en tirer, en particulier les représentants du gouvernement, cela sera révélé et il y a une place spéciale en Enfer pour les agresseurs d'enfants.


    Il nous rappelle qu'il y a des choses que nous pouvons changer et que lorsque nous le pouvons, nous devons le faire. Nous devons nous impliquer et apporter les changements que nous voulons voir.

  • La vérité du STOP ANd GO des vaccins britanniques

    Audio : le stop and go des vaccins britanniques.mp3

    Article : https://www.marcotosatti.com/2021/04/08/vacunacion-obligatoria-estupida-inmoral-irresponsable-carta-al-british-medical-journey-bmj/

    Pour faire suite au commentaires du Dr Yeadon, le témoignage d’une médecin britannique: « Chers Stilumcuriales, alors que le ballet ondulant des «vaccins» se poursuit, avec des arrêts et des avances [stop and go], des alarmes et des verrous, généralisés ou par âge, une preuve de plus, s’il en faut, que le matériel injecté peut être dangereux ou inefficace, ou inefficace et dangereux à la fois, le gouvernement souhaite promouvoir l’inoculation obligatoire de certaines catégories. À cet égard, nous attirons votre attention sur une lettre parue dans le British Medicine Journal. Il est signé par Katya Polyakova, médecin et directrice médicale expérimentée d’un hôpital du Kent (Angleterre) avec un solide programme concernant, en particulier, les soins psychiatriques des adolescents et des familles et de nombreux autres domaines. Bref, une personne interne au système de santé britannique. Bonne lecture. » « Cher directeur, J’ai eu plus de vaccinations dans ma vie que la plupart des gens et je viens d’un lieu d’expérience personnelle et professionnelle significative par rapport à cette pandémie, ayant dirigé un service pendant les 2 premières vagues et affronté toutes les imprévus qui les accompagnaient. Malgré cela, ce vers quoi je lutte actuellement, c’est le signalement inexistant de la réalité de la morbidité causée par notre programme de vaccination actuel au sein du service de santé et de la population du personnel. Les niveaux de maladie après la vaccination sont sans précédents et le personnel devient très malade et certains présentent des symptômes neurologiques, ce qui a un impact majeur sur le fonctionnement du service de santé. Même les jeunes en bonne santé ont froid pendant des jours, certains pendant des semaines et certains nécessitent un traitement médical. Des équipes entières sont éliminées parce qu’elles sont allées se faire vacciner ensemble. Dans ce cas, la vaccination obligatoire est stupide, immorale et irresponsable lorsqu’il s’agit de protéger notre personnel et la santé publique. Nous sommes dans la phase volontaire de vaccination, et nous encourageons le personnel à prendre un produit non autorisé qui a un impact sur leur santé immédiate, et j’ai l’expérience directe que le personnel a contracté la Covid APRÈS la vaccination et l’a probablement transmis. En fait, il est clairement indiqué que ces produits vaccinaux n’offrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. Dans ce cas, pourquoi les appliquons-nous? Les données de sécurité longitudinales ne sont pas disponibles (au plus quelques mois de données d’essai) et ces produits sont uniquement sous licence d’urgence. Qu’est-ce que cela signifie qu’il n’y a pas d’effets indésirables longitudinaux auxquels nous pouvons remédier et qui pourraient mettre en danger l’ensemble du secteur de la santé? La grippe est un grand tueur annuel, elle inonde le système de santé, elle tue les jeunes, les personnes âgées et les comorbides, et pourtant les gens peuvent choisir de se faire vacciner ou non (qui était déjà en circulation depuis longtemps). Et vous pouvez énumérer une foule d’autres exemples de vaccins qui ne sont pas obligatoires, mais qui protègent contre des maladies importantes. La coercition et l’imposition de traitements médicaux à notre personnel, aux membres du public, surtout lorsque les traitements sont encore expérimentaux, sont fermement dans le domaine d’une dystopie totalitaire nazie et se précipitent bien au-delà de nos valeurs éthiques en tant que gardiens de la santé. Toute ma famille et moi avons eu un la COVID. C’est comme la plupart de mes amis, ma famille et mes collègues. J’ai récemment perdu un parent relativement jeune avec une comorbidité due à une insuffisance cardiaque, due à une pneumonie causée par la COVID. Malgré cela, je ne baisse jamais les bras et je ne suis pas d’accord pour dire que nous devrions abandonner nos principes libéraux et notre position internationale sur la souveraineté corporelle, le libre choix éclairé et les droits de l’homme, et maintenir une coercition sans précédent sur les professionnels, les patients et les individus pour qu’ils subissent des traitements expérimentaux avec données de sécurité limitées. Ceci et les politiques qui l’accompagnent représentent un danger pour notre société plus que tout ce à quoi nous avons été confrontés l’année dernière.. Qu’est-il arrivé à « mon corps, ma décision »? Qu’est-il arrivé au débat scientifique et ouvert? Si je ne prescris pas d’antibiotique à un patient qui n’en a pas besoin parce qu’il est en bonne santé, suis-je un anti-antibiotique? Ou un denier d’antibiotiques? Il est peut-être temps que les gens réfléchissent vraiment à ce que nous allons faire et où tout cela nous mène ? »