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  • 1er juillet, l'Union européenne devient un immense camp de concentration

    C'est officiel : le 1er juillet, l'Union européenne devient un immense camp de concentration

    Le passeport sanitaire devrait être officiellement mis en place à partir du 1er juillet pour circuler à nouveau entre les différents pays de l'Union.

    union nazie
    En effet, un accord vient d'être trouvé entre eurodéputés et états membres sur le pass sanitaire qui permettra à l'aide d'un QR code d'indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu'il a passé un test négatif, ou encore qu'il est immunisé après avoir été infecté par le Covid19.

    Il ne faut pas se leurrer : cet « ausweis » européen n'est rien d'autre qu'une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens.

    Il entérine ainsi la création d'Alpha+ et de bêta-, autrement dit, un gigantesque apartheid européen, selon qu'on aura été vacciné ou non.

    Ce dispositif vient compléter tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimut, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux et last but not least, la propagande des médias et la censure des réseaux sociaux.

    Toute ressemblance entre ce nouveau naziland et son modèle ne serait que pure coïncidence. Alors qui donc peut encore croire qu'aujourd'hui, l'Europe c'est la paix ? Ne serait-ce pas plutôt la guerre ?

    Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.

    Ce scénario de cauchemar n'empêche pas, bien au contraire, l'Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à l'élection d'un pape en tweetant, enthousiaste :
    « Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid. »
    « Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s'est-il félicité.
    C'est vrai qu'il y a franchement de quoi se réjouir de ce « passeport » qui n'est rien d'autre qu'une simple permission de sortie de la prison européenne, prélude à un probable prochain sésame plus sophistiqué, du genre puce numérique sous-cutanée, version schwabienne transhumaniste du bracelet électronique actuel des prisonniers.

    commission
    La Kommissar en chef, Ursula von der Leyen a elle, souligné que ce certificat serait « un élément clé sur la voie d'une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l'UE. »

    Autrement dit, le petit su-sucre entre deux coups de schlague sur le museau.

    Mais laissons le mot de la fin à l'inénarrable porte-serviette au marché intérieur, Thierry Breton, dans un grand élan lyrique :
    « L'Europe avance unie avec le certificat Covid numérique... Un signal fort pour le tourisme et la relance ! »
    C'est sûr, avec tous les restaurateurs au bord de la faillite dont Klaus Schwab a prévu la disparition de 75 % d'entre eux, le tourisme va repartir sur les chapeaux de roues...

    Une seule ombre toutefois à ce tableau mirifique : malgré le pass sanitaire, chaque citoyen pourrait se voir imposer une quarantaine. Car les 27, soulignant que celle-ci reste de l'ordre des compétences nationales, veulent se garder cette possibilité en cas d'apparition d'un variant.

    Or, c'est bien connu, les variants ignorant les frontières, les quarantaines risquent fort d'être encore au menu européen malgré ce soi-disant pass pour la liberté. Le diable se cache dans les détails...

    Ce pass sanitaire qui, rappelons-le, n'est rien d'autre qu'un acte de coercition caché à se faire vacciner est au menu du sommet des dirigeants européens des 24 et 25 mai à Bruxelles. L'accord devra être approuvé par le parlement à la prochaine session plénière du 7 au 10 juin à Strasbourg.

    « Ce qui permettra une entrée en vigueur le 1er juillet » a confirmé l'eurodéputé espagnol Juan Fernando Lopez Aguilar, négociateur du parlement, lors d'une conférence de presse.

    Nul doute que tous les kapos de cette désormais Union de l'Enfermement voteront tous le bras levé à l'unanimité pour valider cet ausweis avec enthousiasme.

    Nul doute, pensent-ils, que tous les Européens vont accepter d'arrêter de vivre pour éviter de mourir.

  • Vaccins Covid-19 : environ 4.000 déclarations d'effets secondaires en Limousin

    Vaccins Covid-19 : environ 4.000 déclarations d'effets secondaires en Limousin

    Vaccins Covid-19 : environ 4.000 déclarations d'effets secondaires en Limousin
    Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l'activité du centre. © stephane Lefèvre

     

    Depuis début 2021, c'est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d'effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l'injection du vaccin AstraZeneca.

    Au deuxième étage du Centre de biologie et de recherche en santé (CBRS), à deux pas du CHU de Limoges, le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) est submergé par les signalements post-vaccination Covid-19 depuis janvier dernier.

    Plus précisément 4.000 en quatre mois et demi (sur 283.000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).

    Plus de la moitié des déclarations en attente

    « En temps normal, on en reçoit environ 1.200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le professeur Marie-Laure Laroche, la responsable du centre.

    Sur les 4.000, le CRPV a pu en saisir 1.200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

    Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations

    Ici, un quart des 1.600 déclarations déjà prises en compte concerne des effets dits « graves ». Une proportion semblable au niveau national.

    « Cette notion de gravité est vaste, nuance le professeur Laroche. Elle englobe aussi bien les effets inattendus qu'attendus avec un caractère particulier : par exemple les syndromes grippaux causés par AstraZeneca. L’intensité des symptômes et l’ampleur du nombre de personnes touchées, avec beaucoup d’arrêts maladie, ont justifié qu’ils soient médicalement significatifs et classés “graves”. »

    Un cas de thrombose de localisation atypique

    Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique (cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès.

    Le cas limousin n’a pas été mortel. « Cette réaction auto-immune, se manifestant par la production d’anticorps qui attaquent les plaquettes, est rare, développe la responsable du centre. On a eu d’autres déclarations de thrombose avec embolie, mais en menant notre enquête, c’est la seule situation où le vaccin était en cause. »

    Zona, paralysie faciale...

     

    À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

    « Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

    Jusqu'à une journée d'enquête pour un seul cas

    Un travail de longue haleine. « Il faut entre une demi-heure et une heure pour gérer et valider une déclaration simple », indique le professeur Laroche.

    « Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

    Un appel à des déclarations plus ciblées

    Pour effectuer cette mission, le CRPV de Limoges dispose d’un peu moins de trois équivalents temps plein de médecins et pharmaciens, d’un mi-temps de technicien de recherche clinique et d’une secrétaire à temps plein. Quelques étudiants viennent aider.

    « D’ordinaire, nous prenons le temps d’envoyer un courrier de remerciement pour chaque envoi, mais là, on ne peut plus se le permettre. »

    Si Marie-Laure Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

    (*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM.

    Les déclarations dans le détail


    Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

    Répartition par vaccin : 78 % des 1.600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

    Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

    Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration.

    Hélène Pommier

  • Recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination de Gérard Délépine

    USA : le recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination

    Audio : épidémie fin pas à cause de la vaccination.mp3
    Publié le 25 mai 2021 - par  - 43 commentaires - 1 453 vues
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    Ne pouvant plus nier le succès des Etats-Unis contre le Covid depuis maintenant près de six mois, les médias et des experts proches des laboratoires tentent de nous faire croire qu’il serait dû à la vaccination pour nous inciter à accepter ces traitements expérimentaux inutiles et dangereux.

    Il s’agit d’une contre-vérité totale : la décrue des infections aux USA a commencé en janvier 21, alors que personne n’avait reçu deux doses et le taux actuel de vaccinés est trop faible pour atteindre l’immunité collective.

    La baisse des contaminations se confirme chaque jour depuis 6 mois

    La courbe des contaminations publiée par l’OMS est démonstrative : la chute des contaminations a commencé début janvier 2021

     

    La chute des contaminations a précédé la vaccination

    Début janvier 2021, moins de 2% des Américains avait été vacciné et aucun n’avait reçu une vaccination complète. La vaccination ne pouvait donc exercer aucune action efficace. Le recul de l’épidémie est vraisemblablement spontané, lié à la saisonnalité comme la grippe ou à d’autres facteurs environnementaux.

    La couverture vaccinale faible ne peut expliquer le recul de l’infection

    Pour inciter les Français à se vacciner, les apôtres de ces traitements expérimentaux nous répètent à chaque instant qu’il faut atteindre une couverture vaccinale d’au moins 70% pour obtenir l’immunité collective.

    Actuellement aux USA, le taux de vaccinés plafonne autour de 40%. Les vaccinolâtres cohérents avec leurs croyances ne peuvent donc pas prétendre que la vaccination a joué un rôle dans l’évolution épidémique favorable des USA.

    Les prétendues mesures sanitaires ne servaient à rien

    Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé début mars, par décret, toutes les restrictions prétendument sanitaires [1].

    Greg Abbott s’est ainsi attiré les foudres des experts dont Fauci qui lui a prédit une catastrophe sanitaire et les injures des covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

    Depuis l’évolution favorable dans cet état a démontré qu’elles ne servaient à rien et que tous ces covidoterroristes se sont trompés.

    Au Texas, la vie est redevenue normale sans aucune restriction, et l’usage du pass sanitaire est interdit et passible d’amende.

    L’exemple du Texas a fait tache d’huile. Les restrictions prétendument sanitaires ont été abolies dans une large majorité d’états dont l’obligation des masques à l’intérieur sans que l’épidémie ne reparte.

    La vie a donc repris presque normalement aux USA sauf dans quelques états gouvernés par des démocrates têtus qui ne parviennent pas à d’admettre leurs erreurs. Mais l’opinion publique s’en désolidarise de plus en plus comme à New York.

    Quelles conséquences pour la France ?

    L’épidémie régresse depuis début avril 21 comme chez nos amis américains, mais avec 3 mois de retard.

    En France, comme aux USA, cette régression ne peut pas être en relation avec la vaccination puisque chez nous, le taux de couverture vaccinale complète ne dépasse pas 16%.

    Après deux mois de régression continue de l’épidémie, nous sommes exactement dans la situation du Texas lorsque son gouverneur Greg Abbott a libéré son état avec succès.

    Au lieu de continuer à baser leur politique sur une propagande mensongère terrorisante et des mesures coercitives antidémocratiques pour nous imposer des pseudo-vaccins expérimentaux dangereux et inefficaces, nos gouvernants devraient suivre l’exemple des USA pour que les Français puissent enfin revivre, nos enfants apprendre et la France pouvoir retravailler.

    Gérard Delépine