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  • LE VACCIN : LA SOUPE DU DIABLE

    LE VACCIN : LA SOUPE DU DIABLE

    Audio : la soupe du diable.mp3

    N’attendez pas que cela vous concerne pour être concerné!

    Tout est vrai 
    Ces produits sont dans les vaccins et ne sont pas inoffensifs.

    Ce qui suit est tellement gros qu’on a du mal à y croire.
    ALUMINIUM (adjuvant) :
     Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d’être la cause de la maladie d’Alzheimer, de certaines démences, de comas et d’attaques. Responsable également d’allergies cutanées. Lourdement impliqué dans la myofasciite à macrophages.
    SULFATE D’AMMONIUM :
     Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire.
    BÊTA-PROPIOLACTONE :
     Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens.
    LEVURES GENETIQUEMENT MODIFIEES (OGM),
    ADN BACTERIEN OU VIRAL D’ANIMAUX :

    Substances qui peuvent se combiner à l’ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues.
    LATEX :
     Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital
    GLUTAMATE DE SODIUM:
     Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes- entraînant des malformations et monstruosités- et ses effets sur la descendance. Responsable d’allergies.
    FORMALDEHYDE (formol) :
     Constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d’occasionner des problèmes gastro-intestinaux; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
    MICRO-ORGANISMES
     : Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé ensuite chez les humains dans les os, l’enveloppe des poumons – mésothélium, dans les lymphomes et les tumeurs du cerveau.
    POLYSORBATE 80 :
     Connu pour causer des cancers chez les animaux.
    TRI(N)BUTYLPHOSPHAT E :
     Suspecté d’être un poison pour les reins et les nerfs.
    GLUTARALDEHYDE:
     Poison s’il est ingéré; responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation
    GELATINE:
     Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peau de porcs. Responsable d’allergies.
    GENTAMYCINE ET POLYMYXINE B :
     Antibiotiques toxiques pour les reins et le système nerveux; responsables d’allergies pouvant être mortelles.
    MERCURE (conservateur) :
     Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la mœlle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l’intoxication au mercure sont multiples, et certains sont superposables aux désordres autistiques.
    NEOMYCINE :
     Antibiotique qui perturbe l’absorption de la vitamine B6. Un défaut d’assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d’épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelles. Toxique pour les reins et le système nerveux.
    PHENOL / PHENOXYETHANOL :
     Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire.
    BORATE DE SODIUM (Borax) :
     Utilisé comme insecticide et comme raticide (mort aux rats !) – et contenu dans le très à la mode Gardasil.
    CELLULES HUMAINES ET ANIMALES :
     Des cellules humaines provenant de tissus de foetus; de l’albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton; de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins de chien, du coeur de boeuf, des reins de singe, des embryons de poulets, des oeufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire leucémie des poules, des oeufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc.

    TOUTE LOI MARTIALE ÉCRASE LA CONSTITUTION ET LES DROITS DE L’HOMME

    Notez qu’une loi d’exception ou une loi martiale, suspend «provisoirement» toutes les autres lois, y compris la constitution. .. À noter que la loi française menace déjà de 6 mois d’emprisonnement et de 3.750 € d’amende les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants… Le gouvernement aura-t-il peur d’aller trop loin ? Pas sûr… Voyez plutôt : En novembre 2007 : Le procureur du Maryland a distribué des citations à comparaître à plus de 1600 parents d’enfants qui n’ont pas fourni de certificat de vaccination. Puis il a fait rassembler les enfants comme du bétail dans un palais de «justice», pour des vaccinations forcées, pendant que la police montait la garde avec des fusils d’assaut et des chiens d’attaque. À l’intérieur, les enfants ont été vaccinés de force.

    L’État du Maryland utilise les tactiques de la Gestapo pour imposer sa volonté médicale sur la population, dépouillant ainsi les parents de leurs droits de décider comment ils souhaitent gérer la santé de leurs enfants. Les autorités sanitaires avaient annoncé leur intention d’arrêter les parents, de les jeter en prison, et de leur enlever leurs enfants, s’ils continuaient à refuser de les faire vacciner.

    Comme de plus en plus de parents sont informés des dangers des vaccinations et de leurs liens avec l’autisme et autres maladies neurologiques redoutables, les autorités sanitaires des États se tournent de plus en plus vers la médecine «à la pointe du fusil», afin de forcer les gens à se soumettre. Même l’Association des médecins et des chirurgiens (AAPS) a annoncé en novembre 2007 sa très forte opposition à la campagne de vaccination de la médecine «à la pointe du fusil».

  • Du Dr Denis Agret cas covid19 sans précision = cas covid confirmé

    Article France soir du 16/04/2021 : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-avec-dr-agret-un-point-important-sur-la-vaccination-avec-436-deces

    diapos : https://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/202100416_fs_docteur_denis_agret.pdf

     

    Lecture audio de l'extrait ci-dessous : cas covid sur évalués.mp3

    Du Dr Denis Agret

    Médecin depuis 15 ans aux urgences et également en santé publique, médecin  pour une fondation de 7 200

     EHPAD en France

    Lien : https://twitter.com/AgretDenis/status/1396844614716383232

    "Les certificats contenant un terme Covid-19 sans précision mais sans terme négatif seront également comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé »."

    Il faut comprendre quoi??

    Un covid sans précision = un covid confirmé...

    Franchement y a pas 1 problème ???

    Article : https://www.cepidc.inserm.fr/causes-medicales-de-deces/identification-automatique-des-cas-de-covid-19

    Identification automatique des cas de Covid-19

    Le CépiDc publie les statistiques de mortalité par Covid-19 en France, pour l'instant fondées uniquement sur la certification électronique des décès, sur un site dédié.

    Le site sera progressivement enrichi par les données issues des certificats médicaux de décès papiers, suivant la dynamique de leur transmission et de leur traitement, soit au minimum deux mois après le décès.

    Les statistiques de mortalité par Covid-19 se fondent sur le texte saisi par le médecin certificateur. Les libellés des causes de décès sont analysées et un algorithme décisionnel a été élaboré pour identifier les cas de covid-19 suspectés ou confirmés pour lesquels une infection à covid-19 est mentionnée sur le certificat.

    Analyse des certificats de décès

    Covid-19 confirmés

    Les certificats contenant un terme Covid-19 et un terme « confirmé » seront comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé ».

    Les certificats contenant un terme Covid-19 sans précision mais sans terme négatif seront également comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé ».

    Covid-19 suspectés

    Les certificats contenant un terme Covid-19 et un terme « suspecté » seront comptabilisés comme décès par « Covid-19 suspecté ».

    Autre causes

    Les certificats contenant un terme Covid-19 accompagné d’un terme négatif ou sans terme Covid-19 seront comptabilisés comme décès « Autres Causes ».

    Méthode et définitions

    L’identification des cas de mortalité en présence du Covid-19 dans la base de données du CépiDc est faite à partir de l’analyse des libellés présents dans les causes brutes saisies par le médecin sur le certificat de décès. Sont considérés uniquement les décès ayant eu lieu après le 23 Janvier 2020, date d'identification, sur le territoire français, du premier cas de contamination par Covid-19 selon les autorités.

    Au début de la crise sanitaire, les libellés évoquant le terme « Covid-19 » ont été définis à partir d’une expertise médicale et enrichis au fur et à mesure de l’analyse des certificats de décès.

    Les termes évoquant une négativité (non Covid-19) ont été définis grâce à l’analyse quotidienne exhaustive des certificats contenant un terme Covid-19 pendant tout le mois d'avril, puis au fur à mesure de l'analyse des certificats.

    Seul le codage expert des causes médicales de décès permettra d’ajuster l’identification des décès par Covid-19.

    Termes utilisés

    Pour en savoir plus sur les termes utilisés pour identifier les cas de covid-19 et leur statut (confirmé ou suspecté), un fichier a été établi contenant le détail des libellés.

    Le caractère % qui encadre un libellé permet de dire "contient le libellé"

    Si le caractère % est à gauche : "le texte finit par le libellé"

    Si le caractère % est à droite : "le texte commence par le libellé"

    Libellés Covid-19.txt

    Traitement des doublons et des volets médicaux complémentaires

    Les décès pour lesquels la date de décès, la date de naissance, le sexe, et le code postal de décès sont identiques sont identifiés comme doublons (2 certificats pour un décès). Ils sont arbitrés selon la règle suivante : si un des certificats correspond à un volet médical complémentaire, ce sont les données de ce dernier qui sont prises en compte. Sinon, ce sont les données du certificat reçu le plus tard au CépiDc.

  • OSHA: Les employeurs peuvent être tenus responsables de `` toute réaction indésirable '' s'ils imposent des vaccins COVID

    20/05/21

    OSHA: Les employeurs peuvent être tenus responsables de `` toute réaction indésirable '' s'ils imposent des vaccins COVID

    Audio : employeurs tenus responsables de vaccination forcée.mp3

    Les nouvelles directives de l'OSHA tiennent les employeurs responsables des effets indésirables s'ils exigent que les employés soient vaccinés contre le COVID comme condition d'emploi, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur la cote de sécurité de l'employeur.

     

    Les nouvelles directives de l'Administration de la sécurité et de la santé au travail ( OSHA ) incitent les employeurs à réfléchir à deux fois à leurs exigences en matière de vaccin COVID .

    Le 20 avril, les entreprises ont été informées qu'elles seraient responsables de tout effet indésirable si elles exigeaient que leurs employés soient vaccinés avec un vaccin COVID.

    Dans la section Foire aux questions du site Web de l'OSHA concernant la conformité à la sécurité COVID, une question a été posée si une réaction indésirable à un vaccin COVID devait être enregistrée si un employeur imposait la vaccination comme condition d'emploi.

    OSHA a déclaré :

    «Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d'emploi (c'est-à-dire pour des raisons professionnelles), alors toute réaction indésirable au vaccin COVID-19 est liée au travail. L'effet indésirable est enregistrable s'il s'agit d'un nouveau cas sous 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d'enregistrement dans 29 CFR 1904.7. »

    En général, une réaction indésirable au vaccin COVID est enregistrable si la réaction est: (1) liée au travail, (2) un nouveau cas et (3) répond à un ou plusieurs des critères généraux d'enregistrement dans 29 CFR 1904.7 (par exemple, jours d'absence du travail, travail restreint ou transfert à un autre emploi, traitement médical au-delà des premiers soins).

    Selon l'OSHA, les exigences d'enregistrement des blessures et maladies graves liées au travail peuvent laisser les employeurs avec des demandes d'indemnisation des travailleurs et avoir un impact sur leur dossier de sécurité.

    Inversement, l' OSHA déclare qu'il exercera son pouvoir discrétionnaire et n'exigera pas que les effets indésirables soient enregistrés lorsqu'un employeur «recommande» seulement que les employés reçoivent le vaccin, tout en notant que pour que cette discrétion s'applique, le vaccin doit être vraiment volontaire.

    Pour déterminer si un vaccin est «volontaire», indique le site Web , «le choix d'un employé d'accepter ou de rejeter le vaccin ne peut affecter [sa] performance ou son avancement professionnel» et qu'un «employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir aucune répercussion de ce choix. »

    Si les employés ne sont pas libres de choisir de recevoir ou non le vaccin sans craindre un recours négatif, le vaccin est alors requis et les employeurs doivent se référer à la section sur les vaccins COVID comme condition d'emploi.

    En réponse à la nouvelle selon laquelle les réactions indésirables au vaccin COVID subies par les travailleurs sont des incidents à signaler ou des incidents qui comptent dans le dossier de sécurité d'une entreprise, plusieurs grands entrepreneurs ont déclaré qu'ils avaient changé ou changeraient leur politique de vaccination pour ne recommander - pas exiger - un vaccin.

    La société de construction Clayco s'est retirée d'un mandat de vaccination précédemment annoncé à l'échelle de l'entreprise en réponse à la récente directive fédérale.

    «Malheureusement, nous avons dû renoncer à notre mandat [de vaccination des employés] parce que l'OSHA a fait quelque chose que je ne comprends pas du tout», a déclaré Bob Clark, fondateur et président exécutif de Clayco dans un récent podcast ENR Critical Path . «Je suis souvent du côté de l'OSHA, nous sommes dans son programme VIP, mais là-dessus, ils ont tout simplement tort. C'est une décision terrible qu'ils ont prise et je pense qu'elle sera annulée.

    «Ce qu'ils proposent pourrait potentiellement décourager les employeurs d'aider leurs travailleurs à obtenir le vaccin», a déclaré Kevin Cannon , directeur principal des services de sécurité et de santé chez Associated General Contractors of America (ACG).

    ACG ne soutient aucun mandat de vaccination, mais la société a participé à la semaine de sensibilisation aux vaccins en avril et a hébergé des cliniques de vaccination sur un chantier actif et dans ses bureaux.

    Cannon a déclaré que certains entrepreneurs auraient peut-être changé leur approche à l'égard de ces événements s'ils avaient su, à l'époque, qu'ils pourraient potentiellement «être obligés d'enregistrer ces effets indésirables potentiels».

    Toutes les entreprises et institutions seront très réticentes à imposer des vaccinations si l'OSHA déclare que les effets indésirables sont à signaler par rapport au «taux de modification de l'expérience» d'une entreprise. C'est honnêtement ridicule, a déclaré Clark .

    Un taux de modification de l'expérience, ou DME, est une cote de sécurité que les assureurs utilisent pour calculer l'indemnisation des accidents du travail. Une partie du calcul comprend les incidents à signaler - un nombre plus élevé d'incidents à signaler endommage les cotes de sécurité de l'entreprise et pourrait faire grimper le prix de l'assurance, a rapporté le St. Louis Business Journal .

    Clark a noté que Clayco veut montrer l'exemple et prévoit de contester les directives en faisant du lobbying et en sensibilisant les sénateurs, et ce n'est pas le seul dans cet effort. L'entreprise continuera également à encourager fortement les employés à se faire vacciner, à enregistrer ce que les employés font et à envisager des zones «vaccinées uniquement» dans son espace de travail.

    Selon le National Law Review , les employeurs peuvent vouloir indiquer clairement dans leurs communications aux employés si les vaccins COVID sont obligatoires ou volontaires.

    Les employeurs peuvent également envisager des circonstances dans lesquelles l'OSHA enquêtera sur les pratiques de tenue de registres d'un employeur. Si le programme de vaccination d'un employeur est volontaire, un employeur peut ne pas avoir d'entrées résultant d'effets indésirables. Dans ces circonstances, l'OSHA devra interroger l'employeur sur le programme de vaccination et si un employé a subi une réaction indésirable.

    Les employés peuvent être plus susceptibles de déposer une plainte auprès de l'OSHA lorsqu'ils se sont vu refuser un congé pour une maladie qu'ils considèrent comme liée au travail, ce qui signifie que les congés payés après la vaccination peuvent être utiles.

    Bien que l'OSHA soit soumis à un examen minutieux pour ses conseils, il est conforme à l' autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la Food and Drug Administration des États-Unis , qui exige que tout produit portant cette désignation soit volontaire. Actuellement, Pfizer , Moderna et Johnson & Johnson ne sont approuvés que pour une utilisation d'urgence.

    Comme rapporté par The Defender , cela a été réitéré en août 2020 lors d'une réunion publiée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation, où sa secrétaire exécutive, le Dr Amanda Cohn, a déclaré:

    «Je voulais juste ajouter que, je voulais juste rappeler à tout le monde, qu'en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence, une EUA, les vaccins ne sont pas autorisés à être obligatoires. Ainsi, au début de cette phase de vaccination, les individus devront être consentis et ils ne pourront pas être mandatés.