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  • Les injections géniques anticovid 19 ont de nombreux effets délétères méconnus des candidats

    Les injections géniques anticovid 19 ont de nombreux effets délétères méconnus des candidats

    Lien : https://ripostelaique.com/candidat-a-linjection-attention-danger-informez-vous.html

    Audio : delepine article du 11 aout 2021.mp3  

                 delepine article du 11 aout 2021 p2.mp3

    Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

    L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

    Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

    LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.

    L’Etude d’Enzololo de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

    « La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

    Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes

    Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

    Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

    Selon la VAERS :

    La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

    Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.

    Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

    139 millions de doses du vaccin de Moderna

    193 millions de doses de Pfizer

    13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

    Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4]

    Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..).

    Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

    LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

    L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

    « La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

    Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes

    Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

    Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

    Selon la VAERS :

    La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

    Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

    Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

    139 millions de doses du vaccin de Moderna

    193 millions de doses de Pfizer

    13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

    Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.

    Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..).

    Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

    EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

    Les données américaines pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

    • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

    « Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

    • Parmi les autres décès, deux garçons de 13 ans décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna , trois jeunes de 15 ans cinq jeunes de 16 ans et trois jeunes de 17 ans.
    • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

    ont été attribués au vaccin de Pfizer.

    • 406 cas de myocardite et de péricardite avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
    • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

    RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

    Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

    Selon les CDC les chiffres sont comparables 

    Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

    Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

    L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

    Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.

    Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

    Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

    Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

    Selon l’étude des CDC, en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

    Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

    Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

    Réactions les plus courantes liées à la myocardite

    Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine, une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2

    Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

    Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

    RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

    Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

    La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

    ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

    Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

    On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

    Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

    Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832 sur twitter.

    FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

    Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

    Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.

    « Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

    Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

    Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

    Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse“… 

    Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

    LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

    « La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

    L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

    1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
    2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
    3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
    4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

    Les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. ». Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

    Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

    VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

    Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

    En Israël, “85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés” à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !

    En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

    LE REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

    Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

    La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations

    Nicole Delépine

  • Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

    Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

    Audio : dr smith comp vaccins.mp3

    Source : https://news.newsletter.drschmitz.com/mirror.php?platform=livedata&env=1&email=abochis%2540gmail.com&sid=160245Mon cœur s’est serré, ma gorge s’est nouée. En me documentant sur l’article qui suit, j’ai pris peur pour beaucoup de gens que j’aime.

    Je me suis dit : ça ne peut pas être vrai ; et encore maintenant, quand je vous l’écris, j’espère, contre toute attente, que ce n’est pas vrai.

    Car il y a une question qu’on devrait tous se poser : qu’est-ce qu’ils ont bien pu mettre dans ces vaccins ?

     

     

     

    Tout va bien, madame la marquise, tout va très bien

    A écouter les autorités, il n’y aurait pas à vous inquiéter, ni pour vous, ni pour vos proches qui se sont fait vacciner.

    Du moins est-ce que les laboratoires nous assurent, notamment Pfizer-BioNTech.

    Avant toute autre chose, les « vaccins » ARN contiennent la désormais célèbre technologie ARN.

    Si nous devons en croire ses créateurs, elle donne aux cellules immunitaires le message de fabriquer des protéines spike grâce auxquelles elles reconnaîtraient les cellules du coronavirus.

    Mais contrairement aux questions que posent d’affreux complotistes, l’impression de ce message ARN n’impliquerait pas de modification définitive des cellules immunitaires.

    De même, la protéine spike, que l’on retrouve dans les vaccins ARN mais aussi dans l’Astra Zeneca ne serait pas une toxine, même si l’inventeur de la technologie ARN, Robert Malone, défend mordicus le contraire(1)…

    Toutefois, une chose sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est le fait que la technologie ARN (ou la partie opérante des autres vaccins) prend une place minuscule dans l’injection qui vous est faite.

    Le reste, ce sont ce que l’on appelle des excipients, des éléments qui aident le « remède » à passer dans le sang.

    Dans un document officiel(2), on trouve la liste de ces éléments neutres, qui accompagnent les molécules agissantes dans le sang.

    Il y a du PEG, un plastique qui sert de solvant, c’est-à-dire de diluant(3).

    On y trouve également d’autres éléments, qui ne sont pas dangereux a priori(4).  

    Alors, comment cela se fait-il que nombre de vaccinés soient devenus « magnétiques » ? Comme vous pouvez le voir sur tant de vidéos sur internet, et peut-être même avec vos proches, chez vous.

    Cela, les laboratoires sont bien en peine de vous l’expliquer. C’est là que nous devons trouver des explications qui gênent BEAUCOUP les médias dominants.

     

     

     

    Un Zorro nommé Delgado ?

    Il se trouve qu’un chercheur de l’université d’Almeida nommé Ricardo Delgado, biostatisticien de son état, a réussi à mettre la main sur un flacon et à l’analyser.

    Le sujet est tellement épineux que l’université espagnole s’est immédiatement désolidarisée de l’étude, même si, ayant été faite avec son matériel, elle n’a pas pu ne pas être citée.

    Vous pouvez retrouver l’étude ici.

    Dans d’une interview pour la télévision espagnole, lors de l’émission El gato al agua(5), Delgado a affirmé que 98 à 99% du contenu du flacon scellé sur lequel il a fait son étude, est de l’oxyde de graphène.

    La chose, bien sûr, a été démentie par tous les « facts checkers » qui ne trouvent rien d’autre à dire que la traçabilité du flacon n’est pas établie.  

    Évidemment, aucun laboratoire n’a laissé « échapper » de fiole ou n’a laissé quiconque faire des analyses. Les flacons ont donc été obtenus sous le manteau, et c’est vrai, sa traçabilité ne peut pas être révélée.

    Toutefois l’oxyde de graphène est un matériau qui jusqu’ici restait extrêmement cher à fabriquer et impossible à élaborer « artisanalement ».

    On peut bien évidemment croire que Delgado a menti effrontément, mais pourquoi, s’il est passé à la télévision espagnole, n’a-t-il pas été attaqué en justice ? Pourquoi, pour toute réfutation, il n’obtient qu’un entrefilet sur Google ?

    Parce que si on traînait cette affaire devant les tribunaux, on se rendrait peut-être compte que Pfizer et d’autres ont menti sur le contenu des vaccins.

    Or le graphène peut expliquer beaucoup des résultats de l’étonnante étude luxembourgeoise sur le magnétisme(6), et surtout pourquoi, plus une personne a été vaccinée il y a longtemps, et plus elle est « magnétique ».

     

     

     

    Le graphène, dangereux pour les poumons, mais pas seulement

    Le graphène a déjà fait parler de lui il y a quelques jours. Or ce n’est pas n’importe quel matériau ; c’est le matériau de l’avenir, et ses usages sont aussi prometteurs qu’effrayants.

    En effet, le graphène ce n’est que du carbone pur (comme le graphite de la roue de votre vélo ou de la mine de votre crayon), mais en feuilles de taille infinitésimale : il n’est pas plus épais que les atomes qui le composent.

    Ce matériau est extrêmement résistant, cent fois plus que l’acier, et peut accumuler l’électricité mieux qu’aucun autre.

    Un des petits inconvénients est qu’il est extrêmement toxique pour les poumons. Or on l’a retrouvé dans des quantités importantes dans les masques obligatoires.

    Le Canada a demandé l’interdiction et le retrait immédiat des masques contenant du graphène(7).

    La DGCCRF a fait la même chose en France en mai, en interdisant au fournisseur mis en cause de vendre ses masques (Shandong Shenquan New Materials Co.) et l’Espagne aussi a pris les mêmes mesures dès le mois d’avril(8).

    Comment se fait-il qu’on trouve un matériau aussi onéreux (100€ le gramme en 2017(9)) dans des objets aussi anodins ? Pour l’instant, seuls les « complotistes » osent avancer des réponses.

     

     

     

    Un matériau libérateur, ou esclavagiste ? 

    Car aujourd’hui, on imagine dans les universités des « pansements au graphène » connectés(10) ou des tests salivaires au graphène développés en France(11).

    Or de nombreux articles scientifiques récents attestent du magnétisme inhérent aux tubes de graphène(12), ce qui serait, jusqu’ici la seule explication plausible au magnétisme post-vaccinal.

    Mais serait-il possible de créer des nano-machines qui s’assembleraient d’elles-mêmes dans le corps où elles ont été injectées ?

    En tout cas, une étude très récente prétend en donner toutes les preuves(13). Elle a été publiée en janvier dernier dans la revue de biotechnologie Aggregate.

    La technologie des machines qui s’assemblent directement dans le corps est une réalité, et non pas de la science-fiction.

    Or ceci pose un léger problème, comme le souligne la déclaration en mars dernier, d’une entreprise de pointe espagnole appelée INBRAIN Technologies.  

    Cette dernière prétend pouvoir agir directement sur le cerveau avec l’aide des feuilles de graphène, créant une interface électronique(14)…

     

     

     

    On a les moyens de pirater votre cerveau 

    Non pas, bien sûr, que l’entreprise INBRAIN ou que les chercheurs qui prétendent créer les nano-robots auto-assembleurs soient liés à l’industrie vaccinale.

    Mais voudrait-on aujourd’hui agir directement sur votre cerveau grâce à des nanomatériaux, il est possible de le faire, techniquement parlant.

    Voilà pourquoi le Chili n’est pas inutilement en pointe du droit international lorsqu’il fait rentrer dans sa constitution l’inviolabilité du cerveau humain.

    Il invoque l’existence de « neuro-droits », notamment la perte de « privauté mentale »(15).  

    Reste à savoir si le contenu des vaccins correspond effectivement à cette violation de la privauté physique et cérébrale, à ces nano-robots appelés SPIONS(16) dont on veut nous faire croire qu’ils sont l’avenir de la médecine.

    Rappelons simplement que devant les tribunaux, aucun des laboratoires n’est responsable des dommages que causent ses « vaccins ».

    Même si au moment où je vous écris, une plainte vient d’être déposée suite à la mort d’un trentenaire après la deuxième dose de vaccin(17).

     

     

     

     

     

    Une révolution technologique si odieuse que les médias vous la cachent

    Dès que vous tapez sur votre moteur de recherche préféré : nanoparticules et 5G, vous tombez sur des articles qui dénoncent les fantasmes « complotistes ».

    En revanche, je vous invite à taper sur ces mêmes barres de recherche, « rf nanotechnology graphene », car RF (pour radiofréquence), est le petit nom scientifique des ondes utilisées par la 5G.

    Vous tomberez alors sur plusieurs articles parfaitement scientifiques qui vous expliquent de façon très détaillée à quel point les nanorobots (de l’ordre d’un millionième de mètre) en graphène sont les « transistors » de l’avenir[(18,19).

    Mais en particulier, je vous recommande cet article-ci, intitulé « Graphene Nanomaterials-Based Radio-Frequency/Microwave Biosensors for Biomaterials Detection » qui explique bien le piratage de votre intimité la plus profonde.

    Il détaille la création de biocapteurs en graphène qui fonctionnent grâce aux radiofréquences pour tout savoir de vous. Or les ondes surpuissantes de la 5G sont idéales pour cet usage, et pour arriver à ces fins prétendument médicales.

    Ce dispositif révolutionnaire est vraisemblablement devenu la violation la plus profonde et la plus radicale de l’intimité humaine jamais conçue.

    Les pouvoirs publics devraient en répondre IMMÉDIATEMENT, plutôt que d’insister de façon aussi fanatique que coupable pour l’inoculation généralisée de « vaccins ».

     

     

     

    Micro-ondes : nous ne comprenons pas l’ampleur du risque

    Je ne cesserai de le répéter, nous sommes devant une révolution technologique qui promet, non pas de transformer le monde, mais de détruire l’humain, parce qu’aucun garde-fou n’y est mis.

    Répétons également, comme je l’ai déjà publié(20), que la 5G – le « carburant » de cette nouvelle révolution industrielle – est un désastre biologique et écologique.

    Elle promet de faire augmenter radicalement la stérilité, les cancers infantiles, et d’accélérer l’extinction des insectes pollinisateurs et de la faune sauvage. 

    Car la technologie 5G (les ondes millimétriques), est utilisée depuis la seconde guerre mondiale. Et c’est avec cela que marchent les fours à micro-ondes !

    Simplement, elle est aujourd’hui utilisée pour la télécommunication, elle va très bientôt saturer l’air que vous respirez, et aucune porte de four ne vous en protégera.

    Pourquoi cette révolution technique qui n’a RIEN à nous proposer– hormis une surveillance totale et odieuse – nous est-elle imposée ?

    Les pouvoirs publics laisseraient-ils des acteurs privés, ou même des puissances étrangères, avoir accès à votre intimité la plus profonde, ou même agir sur elle directement ?

    Avec les éléments que je vous ai livrés aujourd’hui, c’est à nos gouvernements d’en répondre, et surtout de vous prouver que les vaccins sont sûrs, plutôt que de vous contraindre à vous les inoculer par tous les moyens disponibles.

     

     

     

    Vous libérer du graphène, c’est possible

    Le 27 janvier dernier a été publiée une étude fort intéressante, dans une revue inconnue du grand public, ACS applied materials and interfaces(21).

    Elle atteste de l’importance de l’oxyde de graphène dans l’avenir de la médecine, spécialement dans « l’inoculation des médicaments, la photothérapie et la biosensitivité ».

    Le seul problème, reconnu par cette étude internationale, c’est l’endommagement des cellules

    Les auteurs craignent nommément le stress oxydatif (cause de vieillissement et de cancers), l’empoisonnement des cellules (cytotoxicité), et la réduction de la reproduction cellulaire…

    Contre cela, que préconisent-ils ? Le glutathion.

    Et pourquoi, si le glutathion fait tant de bien, nous ne leur laisserions pas leurs technologies d’apprentis-sorciers, pour nous contenter de l’antidote ?

    Car le glutathion, malgré son nom un peu curieux, vous l’utilisez et vous le fabriquez tous les jours.

    En effet, vos cellules s’endommagent sans arrêt : c’est un des principes de la vie. Les antioxydants permettent de parer à cela, notamment la vitamine C, indispensable à notre organisme.

    Mais aucun antioxydant n’est aussi efficace que le premier d’entre eux, celui que fabrique notre foie – et dont l’ibuprofène inhibe la production…

    Cet antioxydant fondamental, c’est le glutathion.

    Je recommande évidemment le glutathion liposomé, c’est-à-dire encapsulé dans la même composition que les parois de vos cellules, pour une absorption parfaite.

    En ce moment, où les craintes d’intoxication au graphène vont bon train, et où l’impression générale de vieillissement accéléré est prégnante, il est très demandé.

    Toutefois, je connais une petite entreprise qui en vend encore quelques flacons de la meilleure qualité. Le glutathion est d’origine naturelle, sans OGM et sans sucre ajouté.

    Portez-vous bien,

    Dr. Thierry Schmitz

  • L'exécutif utilise une méthode comportementale : le nudge : le harcélement incitatif

    L'exécutif utilise une méthode comportementale ? Nathan Devers jette un froid en parlant du passe-sanitaire

    Audio :  nudge stratégie comportementale.mp3

    L'auteur Nathan Devers était l'invité de l'émission «L'Heure des pros» diffusée ce vendredi 6 août 2021 sur CNews.

    «Il n'y a pas eu de consultation des Français»

    Nathan Devers: «C'est tout à fait normal qu'il y ait des gens qui n'aient pas envie de se soumettre à cette logique du passe sanitaire.» Julien Pasquet: «J'ai l'impression qu'il y a une adhésion des gens quand même assez grande et que la voix des réfractaires est plus forte, se fait plus entendre, mais est loin d'être majoritaire. Franchement.» Nathan Devers: «Comme vous l'avez dit, il n'y a pas eu d'élections, il n'y a pas eu de référendum, il n'y a pas eu de consultation des Français. Il y a des sondages, peut-être que les Français sont majoritaires, Je ne remets pas forcément en question ces sondages. Mais qu'il y ait des gens qui soient contre, c'est tout à fait normal. Je pense qu'avec le temps, il y en aura de plus en plus.»

    «C'est la pratique du nudge, c'est-à-dire le harcèlement incitatif»

    Julien Pasquet: «Ah bon ?» Nathan Devers: «Parce que c'est une sorte de cheval de Troie. Ça veut dire que là, on est en train d'ouvrir la porte à une restriction des libertés et ça ouvre une boîte de Pandore vers d'autres situations qui peuvent s'aggraver de plus en plus. Et juste une chose, puisqu'on parlait tout à l'heure de la différence entre incitation et obligation. Quoi qu'en dise le gouvernement, ce passe sanitaire est une incitation à se faire vacciner. Il obéit à une logique néo-libérale, c'est-à-dire d'un Etat très fort qui se comporte comme une entreprise. Avec des méthodes, non pas des méthodes politiques de souveraineté avec une loi, mais des méthodes d'entreprises. Et plus précisément, c'est la pratique du nudge. Le nudge, c'est-à-dire le harcèlement incitatif.»

    «On n'est pas obligé d'avoir ce passe mais on est incité par le harcèlement»

    Julien Pasquet: «D'où ça vient ça, le nudge ?» Nathan Devers: «C'est une notion qui a été théorisée par l'économie comportementale et qui désigne la manière dont certaines entreprises font en sorte de harceler les individus pour qu'ils se comportent de telle ou telle manière.» Julien Pasquet: «Les français sont harcelés ?» Nathan Devers: «Oui. Je vous donne juste un exemple : dans certaines compagnies de VTC, si un chauffeur refuse deux ou trois fois de suite une course, et bien son application va être bloquée pendant X minutes. Et donc, comme ça, il est harcelé et incité à travailler tout le temps. Et bien là c'est la même chose, c'est-à-dire qu'on n'est pas obligé d'avoir ce passe mais on est incité par le harcèlement. c'est-à-dire que si on ne l'a pas, on a une vie qui va se dégrader de plus en plus.»

    «On ne vous lâche pas tant que vous n'avez pas le comportement que nous désirons que vous ayez»

    Julien Pasquet: «J'ai un peu de mal avec le mot harcelement.» Nathan Devers: «Vous comprenez ce que je veux dire ?» Julien Pasquet: «Oui j'entends mais vous qui êtes un amoureux des mots...» Nathan Devers: «C'est ce que j'ai appelé précisément un harcèlement incitatif. Ça veut dire que l'on ne vous lâche pas tant que vous n'avez pas le comportement que nous désirons que vous ayez. C'est ça, c'est un harcèlement incitatif. Et c'est ça qui est en train de se mettre en place dans le passe sanitaire et c'est en cela que l'incitation est beaucoup plus perverse et dangereuse que l'obligation qui relèverait de la politique ou de la souveraineté.»