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Le fil d'Ariane - Page 87

  •  VACCINATION COVID-1984, LE CRIME PARFAIT partie 1

     VACCINATION COVID-1984, LE CRIME PARFAIT
     
    Écrits hérétiques par Olivier Probst - 2021
     
    Audio 1 : 1984 au meilleur de l'immonde 1.mp3
     

    VACCINATION COVID-1984, LE CRIME PARFAIT. LE LIVRE

     


     

     

    Vaccination COVID-1984
    Le crime parfait


     

    Écrits hérétiques
    par Olivier Probst

     

    2021

     

     
    Merci à tous ceux qui ont soutenu et partagé mon travail. Mille mercis à Guillaume Locussol pour avoir prêté sa voix à mon film "Vaccination COVID-1984, Le Crime Parfait", merci à tous ces éveilleurs de conscience qui œuvrent sans relâche sur la toile pour apporter un autre regard sur la situation. Ils sont trop nombreux pour que je puisse tous les citer.

     

     

    Adresse du film de 3h30 sur Odysée :

     


    «Celui qui regarde un crime sans le dénoncer est plus coupable que celui qui le commet.» Albert Camus
     
    «Il y a quelque chose de pourri au Royaume du Danemark» William Shakespeare dans Hamlet
     
    «C’est en gardant le silence quand ils devraient hurler que les hommes deviennent des lâches.» Abraham Lincoln

     

     

     

    AVANT-PROPOS

    Avant toute chose, je tiens à préciser que ce livre n’est pas celui d’un médecin, d’un universitaire, d’un chercheur, d’un sociologue, d’un anthropologue, d’un intellectuel, d’un théologien, d’un théoricien, d’un journaliste ou même d’un écrivain... C’est celui d’un simple être humain, assez curieux de nature et qui s’interroge sur cette crise sanitaire, mais aussi sur l’état actuel du monde et de la société dans laquelle il évolue…

    Pourquoi me suis-je lancé dans l’écriture de ce pamphlet ?

    Et bien à la base, ce n’était pas vraiment prémédité, mon objectif premier était juste de réaliser une petite série de deux ou trois courtes vidéos très synthétiques pour exposer la situation générale de la pandémie et dénoncer les incohérences manifestes de la gestion de cette crise sanitaire par ce gouvernement, que je qualifierai de véritablement criminelle !

     

    Depuis, le projet à grossi et petit à petit, je me suis retrouvé un peu dépassé par son ampleur... Ce livre a donc commencé par l’écriture d’un simple article de blog, pour se poursuivre par un premier montage vidéo qui a été énormément visionné, copié, relayé et commenté sur la toile, avec pour ce que j’ai pu en voir, au moins 1 million de vues.

     

    J’ai été moi-même totalement surpris par l’ampleur virale de cette diffusion. Je pense donc que le contenu est sans doute susceptible d’intéresser et de trouver un écho chez pas mal de monde. Comme beaucoup d’entre-nous suite à cette crise, je me suis retrouvé plongé dans des abîmes d’incompréhension, en quête de sens et avec de profonds questionnements par rapport à ce qui nous arrivait collectivement... Très vite, j’ai instinctivement perçu que quelque chose ne tournait décidément pas rond avec toute cette histoire et que cela cachait sans doute quelque chose de très grave.

    Sans doute, ces confinements à répétition auront été propices à une introspection et ont contribué à une certaine prise de conscience, en nous permettant de nous extirper momentanément du rythme effréné et infernal imposé par la vie contemporaine. Pour certains, il a alors été possible de prendre un peu de recul et de hauteur nécessaires pour comprendre ce que nous étions en train de subir collectivement.

     

    Peut-être que ce livre pourra apporter quelques éléments de réponses, même si je suis sans doute loin d’en avoir cerné toutes les clés, les tenants et les aboutissants.

     

    Cette crise sanitaire inédite de par son ampleur, mais surtout par la démesure disproportionnée de son traitement, cristallise toutes les autres crises qui semblent irrémédiablement converger. Ainsi, bien des dangers semblent nous guetter et rendent notre avenir de plus en plus incertain : de la crise financière sans précédent qui menace d’éclater (et qui remonte à 2008), en passant par la crise alimentaire, un possible effondrement de la civilisation, un probable chaos et une potentielle guerre civile, avec des tensions inter-communautaires exacerbées depuis des années... Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est explosive et que ce Coronavirus est venu à point nommé pour détourner notre attention de ces autres menaces, comme l’arbre en flamme dont l’épaisse fumée cacherait le reste de la forêt en feu.

     

    L’avenir à plus ou moins brève échéance semble malheureusement bien sombre ! Comme si nous étions plongés dans une période de grande turbulences et de tribulations. Nous sommes à l’aube d’une transformation majeure de notre société, d’un profond changement de civilisation et j’ai bien peur que malheureusement, le monde que nous avons connu jusqu’à présent soit bel et bien derrière nous... La société semble avoir basculé dans de plus en plus de folie, elle est en pleine mutation et nous ne reconnaissons déjà plus l’Ancien Monde que nous avons laissé derrière nous depuis la survenue de cette pandémie.

    Ce qui est sûr, c’est qu’avec cette crise, les événements semblent s’accélérer de manière fulgurante, ils nous dépassent. Nos libertés volent en éclats.

    J’ai pleinement conscience que cette lecture ne plaira pas à tout le monde, elle me vaudra sans doute quelques railleries, voir de l’hostilité, car contrairement aux autres documentaires à charge les plus critiques de l’action des gouvernements pendant cette crise sanitaire et qui furent volontiers qualifiés de «Complotistes » par le système, comme "Hold-Up""Mal traité""La Nouvelle Réalité", ou encore "Ceci n’est pas un complot", aucun n’a abordé la crise que nous vivons dans sa dimension spirituelle, voire ésotérique et occulte... Cette approche audacieuse ne fera certainement pas l’unanimité et fera sans nul doute fuir les plus matérialistes d’entre vous, surtout dans un monde de plus en plus sécularisé tel que le nôtre. Certains d’entre vous se rangeront à ma vision des choses, d’autres pas du tout et la rejetteront avec force. Mais qu’importe, ce qui compte pour moi est d’approcher de la vérité autant que possible et je ne veux plus me mentir à moi-même, ni faire la politique de l’autruche.

    Humainement, je ne me fais plus trop d’illusions sur la possibilité d’un éveil massif des consciences. Il semble de plus en plus utopique et j’ai bien peur qu’il ne nous reste que bien peu de chance et de temps pour infléchir sur le cours des choses... La machine mondialiste à broyer de l’humain est bien en marche, implacable ! Mais il ne faudrait surtout pas négliger une aide surnaturelle, nous pouvons encore compter sur la Providence.

    Ce livre n’a donc pas la prétention de changer les choses, il a pour seule ambition d’être une petite particule, un infime grain de sable parmi tant d’autres dans cet effroyable et implacable système. Je souhaiterais de tout cœur participer à remettre l’humanité sur de meilleurs rails. Ce livre est ma modeste contribution pour aller dans ce sens, c’est ma petite part de colibri, même si je risque d’y laisser quelques plumes...

    Qu’importe, car au point ou nous en somme, il y a finalement si peu à perdre et comme le disait très justement l’Abbé Pierre : «La responsabilité de chacun implique deux actes : vouloir savoir et oser le dire !» Devant la gravité de ce qui nous arrive, ne rien dire, c’est tout simplement consentir. Il y a donc un impérieux devoir moral à prendre position pour réagir et manifester son désaccord face à l’inacceptable, pour ne pas avoir à un jour dire : «Je savais, mais je n’ai rien fait, ni même dit.» De toute évidence, la période actuelle sera sans doute jugée très durement par les futures générations... Notre passivité, notre lâcheté et notre résignation collective sont sans doute pour beaucoup dans le marasme dans lequel nous nous trouvons maintenant.

    Rappelons-nous aussi du constat d’une grande lucidité d’Etienne de la Boétie dans son discours de la servitude volontaire : «les tyrans de ce monde ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux.», ou bien encore, ce que disait Edmund Burke «La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien.»

    De plus, vu le degré de folie ambiante de la situation, l’écriture de ce texte fut aussi pour moi une nécessité, une sorte de catharsis pour ne pas sombrer et perdre pied.

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    Audio 2 : 1984 au meilleur de l'immonde 2.mp3

    Tout au long de cette crise sanitaire, j’avais un peu l’impression d’être embarqué dans un douloureux et amer voyage, à l’image du Capitaine Willard, du film "Apocalypse Now" qui, à mesure qu’il remonte la rivière sur son embarcation et s’enfonce dans l’impénétrable et hostile jungle, dans les eaux troubles et boueuses, en quête du mystérieux colonel Kurz, remonte le cours des abominations de ce monde et s’enfonce toujours plus loin dans la folie humaine... C’est un peu la perte de l’innocence et celles des illusions perdues.

    Pour moi, cette crise fut aussi une sorte d’Apocalypse, dans le sens de dévoilement puisque paradoxalement, alors que l’on masque les visages dans l’espace public, de plus en plus de masques de notre société tombent pour ceux qui veulent bien se donner la peine de le voir.

    Comment désormais ne plus voir, la lâcheté et l’indifférence de l’écrasante majorité des artistes, la faillite de nos institutions, le dévoiement de la classe politique inféodée au pouvoir financier, ainsi que l’absence de véritables et authentiques contres-pouvoirs avec de faux opposants qui gesticulent en vain pour donnner le change, la servilité et la corruption des médias, le pouvoir de Big Pharma, l’illusion de la liberté d’expression.

    Aussi, comment continuer à avoir une foi aveugle en ce système, qui nous parle d’esprit «Je suis Charlie», mais qui dans le même temps, censure toute parole authentiquement dissidente, supprime la diffusion de documentaires alternatifs, stigmatise les opposants. Ce système qui nous parle aussi d’inclusion à longueur de temps, tout en instaurant un système de ségrégation et d’Apartheid entre bons et mauvais citoyens, qui nous parle de liberté, tout en enfermant les individus à travers des quarantaines prolongées.

    Dans ce nouveau monde, quelles libertés nous restent-elles, à part celle de travailler et de consommer ? Ce système qui nous parle d’égalité comme d’une abstraction, alors que les inégalités n’ont concrètement jamais été aussi abyssales. Ce système, qui nous parle également de fraternité, tout en empêchant les contacts humains et en instaurant des distanciations sociales (ou plutôt en réalité antisociales) tout en encourageant la délation entre citoyens, en entretenant la division entre eux, en alimentant de veines polémiques. Qui nous parle de libéralisme, tout en paralysant l’économie de certains secteurs d’activité et en favorisant systématiquement les multinationales. Qui nous parle de démocratie, sans jamais consulter les peuples tout en détruisant littéralement leur existences. Qui nous parle de justice sociale, tout en ayant un système de passe-droit pour les plus puissants de la société...

     

    Jamais la parole biblique «La vérité vous rendra libre» n’aura eu autant d’écho avec la situation actuelle, car nous sommes littéralement privés de nos libertés les plus fondamentales
    sur la base de nombreux mensonges.

     

    Ce livre se veut donc un cri d’alarme et un cri du cœur, je l’ai écrit avec toutes mes tripes, animé par la révolte et le dégoût profond que m’inspirait la situation. C’est un cadeau du plus profond de mon âme à destination de toutes les autres âmes qui l’accueilleront et le comprendront, je le lance un peu comme une bouteille à la mer dans cet océan tumultueux et à l’approche de cette tempête qui s’annonce.

    Je tiens également à préciser qu’à travers toute cette virulente dénonciation, je n’ai pas pour objectif de nourrir et de déchaîner la colère, ou l’envie de révolte violente. Car pour moi, il est bien possible que ce soit justement l’objectif visé par tout ce système que de nous conduire dans cette impasse pour en réalité qu’il puisse se renforcer. D’ailleurs, n’était-ce pas Jacques Attali qui prédisait une révolution dans notre pays avant 2022... On ne peut éteindre un incendie avec un lance-flammes.

    D’ailleurs dans ce sens, on aura remarqué que le système ne cesse de jouer sur de grossières provocations, comme par exemple Emmanuel Macron semble s’en être fait la spécialité depuis le début de son mandat. Ce dernier a ainsi multiplié les affronts et les déclarations méprisantes à l’égard du petit peuple en traitant les français tour à tour de «Gaulois Réfractaires», de «procureurs»«d’Amishs», de fainéants, d’illettrés, ou encore de gens qui ne sont rien, voir même de connards !

    Il est fort probable que le système cherche à utiliser cette colère montante contre les gouvernements qui ne sont en réalité que l’interface d’un pouvoir plus profond.

    Toute révolte violente serait alors le prétexte idéal pour accélérer la chute programmée des États-nations et de ces gouvernements qui auraient faillis afin de mettre en place une "Gouvernance Mondiale". Cela ne ferait sans doute que renforcer la tyrannie qui se met en place.

    Bonne lecture, et que Dieu nous vienne en aide !

     

     

     

    Extrait d’un dialogue tiré du film "My Dinner with André" de Louis Malle (1981)

    «Oui, on s’emmerde, on s’emmerde tous ! Mais ce processus, qui conduit à cette morosité que l’on observe désormais, alimente peut-être une entreprise inconsciente de lavage de cerveau, mise en place par un Gouvernement Mondial totalitaire dirigé par le fric ! C’est plus dangereux qu’on ne croit ! Ce n’est pas une question de survie individuelle, Wally, c’est que si on s’emmerde, on dort, et l’homme qui dort, ne sait plus dire non. Ces gens, j’en vois partout !

    Il y a quelques jours, j’ai vu cet homme que j’admire beaucoup, ce physicien suédois Gustave Bjornstrand et il m’a dit, qu’il ne regardait plus à télévision, ne lisais plus les journaux, ni aucun magazine. Il a arrêté complètement ! Parce qu’il est persuadé qu’on vit dans un cauchemar à la George Orwell et tout ce qu’on entend contribue à nous changer en robots.

    Et à Findhorn, j’ai rencontré ce formidable expert en arbres, qui a voué sa vie à la protection des arbres. Revenant de Washington pour y défendre les Redwoods ! À 84 ans, il voyage avec un sac à dos, il ne sait jamais où il sera demain ! À Findhorn, il m’a demandé : «D’où êtes-vous» ? J’ai répondu, «New-York». Il a dit : «Ah, c’est intéressant, New-York ! Vous connaissez des New-yorkais qui rêvent de partir, mais ne le font jamais ?» Et j’ai dit : «Oh oui !» Il a dit : «Pourquoi, d’après vous ?» J’ai répondu des banalités. «Ce n’est pas ça du tout.»

    «New-York est le nouveau prototype du camp de concentration... Bâti par les détenus eux-mêmes, ces détenus qui sont leurs propres gardiens. Ils sont fiers d’avoir bâti leur propre prison ! Ils vivent en état de schizophrénie à la fois gardien et détenus. Il en résulte qu’ils le voient pas, qu’ils sont lobotomisés, donc incapables de quitter leur prison, ni même de voir que c’est une prison !» Il a fouillé dans sa poche et après une graine en disant : «C’est un pin.» Il me l’a donné en disant : «Filez, avant qu’il ne soit trop tard !» En fait, tu vois... Depuis 2 ou 3 ans, Chiquita et moi, on a ce sentiment inconfortable que nous devrions partir !

    On se sent comme des Juifs allemands en 36. Il faut fuir ! Mais la question, c’est : où aller ? Car il semble évident que le monde entier va dans la même direction ! Je pense qu’il est très possible que les années 60 aient vu l’ultime manifestation de l’homme avant l’extinction finale. Et que c’est le début d’une ère nouvelle. Et que désormais, nous ne serons plus que des robots marchand en tous sens, ne ressentant rien, ne pensant à rien... Il ne restera presque personne pour se souvenir qu’il existe à jadis une espèce appelée «race humaine» douée de sentiments et de raison... L’histoire et la mémoire sont d’ores et déjà effacés, et bientôt, personne ne se souviendra que la vie a existé sur cette planète.»

    « La plupart des gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu’un citoyen reconnaît que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrompu, il doit décider de ce qu’il compte faire. Poser des actions face à un gouvernement corrompu représente des risques d’atteintes à sa vie ou à celle d’êtres chers. D’un autre coté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie personnelle de «défense de ses principes. « La majorité des gens n’ont pas le courage de faire face à ce dilemme. Par conséquent, la plupart de la propagande n’est pas conçue pour tromper l’esprit critique, mais simplement pour donner aux lâches d’esprit une excuse pour ne pas penser du tout. » Michael Rivero

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    Audio 3 : 1984 au meilleur de l'immonde 3.mp3

    CHAPITRE 1
    UNE GESTION DE CRISE SANITAIRE CATASTROPHIQUE, VOIR CRIMINELLE !

     
     
     
    «C’est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.» William Shakespeare
     
    «Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire.» George Orwell"1984"

     

     

     

    Créer le problème, pour offrir les solutions ?

     

    Pourquoi n’avoir pas pris dès le début de cette crise sanitaire toutes les mesures qui s’imposaient pour endiguer l’épidémie à la racine, alors qu’il y avait pourtant tout le recul nécessaire pour le faire, le virus étant arrivé dans notre hémisphère bien après la Chine ! Étrangement, le gouvernement n’avait alors dans cette période charnière et décisive, rien mis en œuvre pour contenir la propagation du virus, alors qu’il était pourtant, à en croire les édifiantes et larmoyantes confessions de l’ex ministre de la Santé, Agnès Buzyn, parfaitement au courant de la gravité de la situation, de la dangerosité et de la virulence de cette maladie, et ce depuis le début de la propagation. Elle aurait même la première, alerté le gouvernement et le directeur général de la santé des risques potentiels, elle qui était si concernée par la situation qu’elle avait fort opportunément démissionné juste avant la tempête de la COVID-19. Pourtant, cette même ministre s’était fendue d’un communiqué ultérieur, affirmant le 20 janvier 2020 avec aplomb que je cite : «Le risque d’importation depuis Wuhan est quasi nul. Le risque de propagation du Coronavirus dans la population est très faible !» Soit, tout et son contraire, un comble pour une dame qui a le toupet de se présenter ainsi : «Moi, je suis transparente et sincère, comme un livre ouvert. Mes convictions me portent au-delà de mes émotions.»

     

     

    C’est beau comme l’antique...

    Un tel degré d’amateurisme, d’inconséquence et de légèreté laisse pantois. Enfin, en tout état de cause, il serait dans le présent cas, manifestement bien plus adapté de parler de mensonges calculés et délibérés, portés par un culot et un cynisme abyssal !

    Mais de toute manière, dans notre merveilleux monde, un tel degré de duplicité et de mensonge ne peut que finir par être rétribué à la hauteur de la félonie. Ce qu’on n’aura d’ailleurs pas manqué de vérifier quelques mois plus tard, puisqu’à la demande expresse de l’Elysée, la dame Buzyn vient maintenant de se voir propulser à "l’Organisation Mondiale de la Santé" en tant qu’ambassadrice auprès de "La Fondation Bill & Melinda Gates", ce qui lui confère au passage une immunité diplomatique bien pratique et une paye confortable de 15.000 euros mensuels. De quoi acheter le silence de la dame sur les compromissions du gouvernement. Comme quoi en "Macronie", ce n’est pas la roue de la justice qui tourne, mais uniquement les portes tournantes qui s’activent...

     

    Aussi, pourquoi ne pas avoir fermé de toute urgence les frontières ? Pourquoi avoir déplacé des malades contaminés dans d’autres régions, où personne ne l’était encore, alors même que des cliniques privées étaient disponibles pour les prendre en charge ? Pourquoi même avoir autorisé, en dépit du bon sens des rassemblements sportifs avec une rencontre de foot France/Italie regroupant plus de 60.000 spectateurs, alors même que l’Italie était déjà plongée dans une crise sanitaire aiguë, qu’elle était à ce moment-là le principal foyer européen actif et donc un vecteur à haut risque pour la propagation de la pandémie ? Ou encore, pourquoi avoir maintenu envers et contre tout des élections qui auraient pu être reportées ? Le vote Républicain passerait-il avant la santé des Français ?

    S’agissait-il là en réalité d’une inavouable stratégie pour laisser pourrir délibérément la situation et générer de nouveaux foyers de contamination ?

    À ce moment-là, au tout début de la pandémie, il n’y avait presque aucun matériel de disponible : ni masques, ni surblouses, ni gels, ni respirateurs, ni même test de dépistage. Dans l’urgence, les soignants devaient même s’improviser des combinaisons de protection à base de sacs-poubelles... Une honte pour un pays soi-disant développé !

    Pourtant, force est de constater que dans d’autres domaines, lorsqu’il s’agit par exemple de fracasser et de brimer le petit peuple, comme avec le mouvement de contestation sociale des Gilets Jaunes, la pénurie ne se fait jamais ressentir, même après plus d’une année ininterrompue d’intenses manifestations ! Le gouvernement était alors capable de prévoir et d’anticiper de larges stocks de munitions, 4 ans à l’avance, en faisant l'implacable démonstration d’une gestion rigoureuse et exemplaire ! Serait-ce donc à croire que le gouvernement est plus prompt à taper et à éborgner ses citoyens qu’à les soigner, ou à les guérir ?

    D’autre part, pourquoi juste après la première vague, ne pas avoir renforcé le nombre de lits disponibles, alors qu’à les écouter, ils s’attendaient tous à la venue d’une seconde vague. Pourtant, à en croire de nombreux spécialistes, un tel scénario de seconde vague était des plus improbables, voire totalement inédit en matière de virologie... Le 27 août 2020, le gouvernement avait pourtant promis, 12.000 lits supplémentaires pour faire face à l’afflux des malades. Pire que cela, d’après ce que rapporte le journal du "Canard Enchaîné", le nombre de lits en réanimation en Île-de-France serait passé en pleine pandémie de 2.500 à 1.700  ! Il n’y aurait que 5.000 lits de réanimation pour une population vieillissante de 67 millions de Français. C’est proprement délirant !

    Il faut bien avoir conscience que la problématique de la saturation des services hospitaliers ne date certainement pas de l’épisode de la COVID-19, mais remonte à des dizaines d’années. En effet, cette intolérable situation est récurrente depuis la destruction progressive du système de santé publique liée aux politiques ultra-libérales mises en place par les différents gouvernements qui se sont succédés. Il y a eu une suppression de plus de 60.000 lits d’hôpitaux en 25 ans sous les mandats de Sarkozy, Hollande et Macron. Et d’après les chiffres de l’OCDE, depuis les années 70, il y aurait eu une suppression de 9 lits sur 10 dans le service hospitalié public. Cette problématique a été régulièrement rapporté par les journaux télévisés, avec des scènes surréalistes de patients honteusement entassés dans les couloirs des hôpitaux, par manque de place et qui doivent parfois attendre des heures durant avant d’espérer êtres  pris en charge, quelques fois trop tard ! L’argument avancé de ne surtout pas chercher à saturer le système de soin est donc un sommet d’hypocrisie et est nul et non avenu.

    En outre, pourquoi serait-ce de la responsabilité du citoyen d’assurer et d'endosser la bonne viabilité de l’hôpital public et la continuité des soins ? Il me semble que nous payons amplement assez d’impôts pour cela, nous devrions avoir un service à la hauteur de nos investissements, avec 330 milliards d’euro en budget pour la Sécurité Sociale  ! Il faudrait par exemple, surtout moins gaspiller l’argent public par les fenêtres, en remboursant à prix d’or des médicaments et des traitements parfois totalement inefficaces à Big Pharma... D’après la Revue prescrire, il existerait une liste d’au moins 90 médicaments qui ne servent strictement à rien, voir qui sont dangereux.

    Par ailleurs, comment les autorités sanitaires peuvent-elles, des mois à l’avance, anticiper le comportement d’un virus inconnu, parler avec assurance de deuxième et de troisième vague, prévoir une fin de crise à l’horizon de 2025 pour la Banque Économique Mondiale, voire même anticiper jusqu’à six vagues pour Neil Ferguson de "l’Imperial College of London", fort de ses modélisations mathématiques hasardeuses ? Quelle est cette science miraculeuse, qui permet de se projeter de la sorte dans le temps, tel un dieu omniscient ou un oracle, pour établir de telles projections ?

     Comment peut-on réduire la complexité du vivant à de telles équations  ? Il est à relever que ce Neil Ferguson qui est responsable de notre confinement, a été arrosé avec 79.000.000 de dollars par Bill Gates pour réaliser ces rapports. Vous savez, le milliardaire qui compte bien vacciner les presque 8 milliards d’individus que compte la population mondiale... Ferguson est donc en conflit d’intérêt manifeste et qui plus est, il a la particularité de se tromper de manière spectaculaire presque systématiquement dans ses prédictions Apocalyptiques, qui nous annoncent à chaque fois des catastrophes de grande ampleur. Ce fut déjà le cas lors de la crise de la vache folle, ou celle du H1N1, où il s’était déjà magistralement planté, avec l’anticipation de milliers de morts, alors qu’il n’en fut rien ! Ses modèles mathématiques étant systématiquement surévalués, avec un taux d’erreur allant de un à cent. Pour cette crise de la COVID, ce Ferguson avait tout de même pronostiqué une hécatombe de 62,5 millions de morts dont 2 millions aux États-Unis et 510 millions en Grande-Bretagne !

     

    Pour la petite anecdote au passage, il est aussi des plus cocasses de savoir que ce Ferguson a été pris la main dans le sac, en train de passé outre les mesures sanitaires de confinement pour aller batifoler avec sa maîtresse, une affaire qui a fait scandale et les choux gras de la presse britannique. Sous la pression populaire, Ferguson a été contraint de démissionner.

    «Confiner les gens sains, c’est du jamais-vu.» Dr. Violaine Guérin

    Le confinement mondial est un événement sans précédent : jamais toute l’économie d’un ou plusieurs pays n’avait été paralysé et jamais une atteinte à une liberté aussi fondamentale que celle d’aller et de venir n’avait été limitée de la sorte, même dans les pires dictatures. Cette privation de liberté a été imposée au prétexte de ne pas surcharger les unités COVID... Mais, n’aurait-il pas été beaucoup plus judicieux et économique de financer ces quelques lits supplémentaires, plutôt que de paralyser tout le pays, en lui imposant un confinement désastreux à tout point de vue, en ruinant l’économie, en massacrant l’éducation, en sacrifiant les jeunes générations tout en tuant à petit feu les petits commerçants et entrepreneurs ? Combien de "dommages collatéraux", de suicides, de troubles psychiatriques de divorces, de violences au sein des foyers, de traumatismes, de maladies non prises en charge, etc. par la faute de ces criminels !

     

    À ce propos, Klaus Schwab du "Forum Économique Mondial", le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages affirme avec aplomb et grand cynisme dans son livre "COVID-19, la Grande Réinitialisation" que je cite : «Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée.» Mais aussi que «Jusqu’à 75 pourcents des restaurateurs indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale.» Soit un véritable carnage bel et bien délibéré.

    Aussi, pourquoi ne pas avoir tout simplement réquisitionné toutes ces cliniques, avec 115.000 lits de disponibles ? Aussi, pourquoi ne pas avoir eu recours aux médecins réservistes et aux étudiants de fin de cycle pour éviter d'avoir à bloquer l'entièreté du pays ? En effet, en temps de guerre, si guerre il y a, comme le pantin qui nous sert de Président n’a eu de cesse de le scander d’un ton martial à six reprises : On Réquisitionne !

    De plus, pourquoi ne pas avoir concentré tous les efforts sur les plus exposés au virus dans la société, à savoir, les plus faibles et les plus âgés, au lieu de saborder de manière suicidaire, voir méthodique le pays tout entier ?

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    Audio 4 : 1984 au meilleur de l'immonde 4.mp3

    On achève bien les petits vieux !

     
     

    Au lieu de cela, qu’a-t-on pu observer : l’abandon total de la prise en charge des anciens, quand ce n’est pas pour les euthanasier tout court, par le biais de brigades d’intervention rapide GIR, à grand coup de protocole de "Rivotril" et sans même en avoir informé les familles au préalable ! Ces pauvres âmes furent ainsi laissées, livrées à elles-mêmes, enfermées, cloîtrées dans leur chambre. Elles furent totalement isolées de leurs proches pour quitter ce bas-monde. Beaucoup d’anciens ne sont pas morts du COVID-19, mais de désespoir et de solitude. Les familles ont juste eu le privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur...

    En 2020, les prescriptions de "Rivotril" ont explosées avec 25.000 de plus par rapport aux autres années. Autant dire que l’euthanasie active, le géronticide a dû battre son plein  ! 

    Voilà qui devrait faire grandement plaisir à Jacques Attali, lui qui déclarait en 1981, dans "l'avenir de la vie" : «Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures.» 

    Comme le rapporte le docteur Gérard Delépine, le décret "Rivotril" a été un assassinat programmé des anciens, quelques fois sur la base de simples suspicions COVID liées à la présence de problèmes respiratoires. Les pensionnaires des EPHAD ne bénéficiant d’aucuns tests de dépistages pour le confirmer, car ils étaient réservés au personnel soignant. Dans le cas de l’apparition du moindre symptôme respiratoire, ils étaient d’office considérés comme atteints de la COVID. Une seringue était alors préparée pour être injectée par le premier aide soignant venu, s’il pensait que la maladie s’aggravait, sans même l’expertise et le diagnostic d’un médecin. Avec cet abjecte décret, il s’agit donc d’une mort par ordonnance légalisée. Le "Rivotril" est fatal en cas d’insuffisance ou de détresse respiratoire, ce cas de figure fait précisément parti des contre-indications majeures de cet anxiolytique. Tout cela est encore plus cynique sachant que le gouvernement a axé toute sa communication de prévention COVID vis à vis du reste de la population et des jeunes, en les culpabilisant qu’ils mettraient en péril les personnes âgés et vulnérables au virus, s’il ne respectaient pas les gestes barrière... Mais de son côté, qu’a fait ce gouvernement pour nos anciens, si ce n’est de les abandonner lâchement à leur triste sort, ou de les euthanasier sans le moindre état d’âme ?

     

    Quant au confinement, on peut sérieusement douter de son efficacité étant donné que les pays qui n’ont pas confiné comme la Suède ont eu tout de même d’excellents résultats en misant tout sur l’immunité collective... Avec à l’arrivée, un taux de mortalité inférieur à la France, à l’Allemagne, à l’Italie ou à l’Espagne et sans la moindre  imposition de mesures drastiques de confinement ou de couvre-feu.

    L’éminent chercheur et professeur de médecine, John Ioannidis de l’Université Stanford, un grand ponte de l’épidémiologie a publié une large étude dans "l’European Journal of Clinical Investigation" comparant les résultats entre les différents pays appliquant ou non certaines mesures sanitaires. Elle démontre que les mesures de restrictions comme le confinement n’ont en réalité aucun effet sur le nombre de cas de COVID-19. John Ioannidis déclare au sujet de cette crise sanitaire, que «les données collectées jusqu’à présent sur le nombre de personnes infectées et l’évolution de l’épidémie ne sont absolument pas fiables», en référence aux modèles prédictifs qui prévoyaient des millions de morts aux États-Unis» et n’hésite pas à qualifier la gestion de crise de «fiasco de preuves unique dans un siècle.»

    De même, une récente étude publiée dans la grande Revue scientifique Nature démontre que les confinements n’ont aucune incidence véritable sur l’évolution du virus...

    D’ailleurs, si toutes ces mesures sanitaires de distanciation sociale étaient vraiment efficaces, et bien alors pourquoi faudrait-il les renouveler sans cesse sur des mois, alors que pour le moment, elles ont été scrupuleusement suivies et respectées à la lettre par l’immense majorité de la population ? À la base, il était question, faut-il le rappeler de faire un effort national concentré sur deux semaines et on se retrouve un an après dans la même situation. Par conséquent, aucune des mesures mises en place et imposées par les gouvernements n’arrivent à contrôler le virus. En revanche, elles arrivent très bien à contrôler les populations... Coïncidence ?

    Il faut aussi savoir qu’à Monaco, qui n’a mis en place aucune mesure de confinement drastique, pour la période de décembre, on a eu seulement 3 morts attribués au COVID-19, alors même que la densité et l’âge de la population monégasque est élevé. Ce virus, serait-il comparable au nuage de Tchernobyl, incapable de traverser certaines frontières  ?

    De plus, combien de pathologies n’ont pas étés diagnostiquées et traitées pendant ce temps-là. Rien que pour le cancer, on parle de 93.000 cas qui n’auraient pas étés signalés pour un bilan estimé à 6.000 morts supplémentaires... Et on ne parle même pas des autres maladies non prises en charge. Soit encore des milliers de morts à venir ! Mais bon, après tout, il faut croire que ça ne doit pas avoir tant d’importance, puisqu’ils ne sont pas morts de la COVID-19... Enfin plutôt si, mais de manière collatérale !

     

     

     

    Le cas des tests RT-PCR en question, une épidémie de cas ?

     
     

     

     

    Par ailleurs, que penser des tests RT-PCR, si peu fiables avec des faux positifs très nombreux.

    Ainsi, John Magufuli, le Président de la Tanzanie par exemple, qui était méfiant, avait trompé l’OMS en faisant tester en laboratoire des animaux et fruits, sous couvert de fausses identités humaines. Bilan des courses, une chèvre, une papaye et d’autres exemples improbables étaient revenus positifs ! Ce dernier est depuis-lors mort dans d’étranges circonstances, après avoir été porté disparu pendant deux semaines.

    Encore plus incroyable, certains tests seraient même contaminés dès le départ comme l’a rapporté l’Agence de la santé publique du Canada avec pas moins de 7.000 écouvillons défectueux, tandis qu’au Manitoba, se serait 8.800 tests de dépistages en provenance du Laboratoire national de microbiologie qui étaient pré-contaminés. Le Nouveau-Brunswick a aussi reçu 6.400 trousses de dépistages contaminées. Tandis qu’en Otario, le Premier ministre Doug Ford a également rapporté une livraison de 100.000 écouvillons en provenance d’Asie souillés avec la présence de moisissures.

     

    Le biochimiste Kary Mullis, ayant gagné un prix Nobel pour son invention du procédé PCR disait lui-même que ce test constituait un excellent outil pour rendre visible à l'œil humain des choses qu'il ne pourrait pas voir, mais qu'il ne peut en aucun cas déterminer si une personne est malade ou infectée, car il ne peut faire la distinction entre de la matière morte et vivante.

    Même le CDC américain reconnaît que ces tests RT-PCR ne sont pas assez fiables pour un diagnostic. Les tests RT-PCR sont des interprétations, qui devraient être systématiquement mises en relation avec des observations cliniques ultérieures, ce qui n’a jamais été le cas dans cette crise. Ces tests n’ont jamais étés mis sur le marché pour diagnostiquer une maladie, on en a donc dévoyé l’usage initial. Le test RT-PCR n’est pas validé par la communauté scientifique, ce n’est pas un outil pour faire un pilotage épidémiologique. Ce test n’aurait d’intérêt qu’à titre individuel, pour confirmer le diagnostic chez quelqu’un de symptomatique, mais reste non pertinent en dépistage de masse. Le confinement n’a donc aucune base scientifique véritable.

    En outre, le document qui a établi le test RT-PCR de Drosten n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Il a pourtant été accepté dans la plus grande précipitation par cette revue, dont Drosten était membre du commité de rédaction, en étant donc juge et parti : «L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.» Dès le 17 janvier, l’OMS s’est précipité, soit avant même la publication de l’article, pour reconnaitre officiellement ce protocole, comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus.

    Pour la petite anecdote, il faut aussi savoir que l’inventeur allemand de ces tests RT-PCR, le Dr. Christian Drosten serait un fraudeur ayant usurpé sur son CV son titre de doctorat en médecine, car on ne trouve aucune trace de sa thèse, ce qui lui avait tout de même permis de prendre la tête de l'Hôpital de la Charité à Berlin. Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires pour un titre de doctorat frauduleux.

    Mais, le plus extravagant au sujet de ces tests RT-PCR reste encore le fait que leur sensibilité a été considérablement amplifiée, ce qui les rends beaucoup plus facilement positifs. Ils se comportent comme des zooms qui à mesure qu’on les amplifie deviennent de plus en plus flous. En France, ils montent jusqu’à 50 cycles. Hors, tous les spécialistes s’accordent à dire qu’à 60 cycles, absolument tout le monde aurait le Coronavirus. Tous les tests RT-PCR effectués avec un seuil d’amplification CT de 33 cycles ou plus sont donc invalides et tous les soi-disant "cas positifs" confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois seraient par conséquent erronés. Ces tests sont aussi tellement sensibles qu’ils détectent des particules de virus inactives ! Selon de nombreux virologistes, il serait impossible de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Jusqu’à 90 % des testés positifs ayant nécessité 40 cycles d’amplification n’auraient ainsi pas étés désignés positifs si la limite d’amplification avait été de 30 cycles. D’après les équipes de l’IHU de Marseille, il y aurait avec cette méthode de dépistage jusqu’à 44 pourcents de faux positifs, ce qui est absolument considérable !  Le Dr Mike Yeadon, l'ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a déterminé que pour un seuil de 35 pourcents d'amplification, on arrive à 97% de faux positifs. Autant dire que si on casse le thermomètre, on ne peut plus mesurer la température avec précision... Qui plus est, d’après le Dr. Ian Davis dans le "Offguardian", le test RT-PCR n’est même pas spécifique au SARS-COV2 et pire encore, l’amorce du test réagirait sur 90 autres microbes et 92 autres partie du génome !

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    Audio 5 : 

    D’ailleurs, on comprend mal pourquoi il faut s’infliger une telle torture pour se faire tester, avec des écouvillons qui s’insèrent si profondément à proximité du cerveau pour récolter quelques prélèvements à analyser, alors qu’à les croire, le moindre postillon aurait le potentiel de contaminer la moitié du village. Un simple test salivaire, ne devrait-il pas faire l’affaire ? Ce test RT-PCR Naso-pharyngé est si intrusif, qu’il peut même blesser occasionnellement les parois internes des narines, avec certains témoignages d’enfants ou d’adultes qui rapportent des saignements du nez et des démangeaisons de la narine prolongés pendant 24 heures. Même "L'Académie de médecine" rapporte que ces écouvillons qui servent à réaliser les tests nasopharyngés peuvent provoquer, je cite : «des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite». Malgré cela, on poursuit inlassablement ce mode de tests avec déjà plus de 70 millions de tests réalisés en France.

    Ces tests si peu précis, ne seraient-ils pas plutôt en réalité un moyen détourné, un excellent prétexte pour mettre en place des prélèvements massifs de matériel génétique, de l’ADN des populations pour le placer dans des bases de données ? Car, il faut bien savoir que curieusement, nos génomes semblent les intéresser au plus haut point. Ainsi, dès 2016, l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine avait affirmé qu’ils avaient pour objectif de cartographier le génome de chaque individu : «Demain, pour soigner de manière adaptée au capital humain de chacun, nous avons besoin de connaître aujourd’hui le génome de chaque individu.» Depuis, ils ont mis dans le cadre d’un plan appelé  "Médecine France Génomique 2025", jusqu’à douze plateformes de séquençage à haut débit capables d’analyser l’ADN de 18.000 personnes chaque année. Chacune de ces machines coûte la bagatelle de 100.000 euros pièce. En outre, le prix de ces tests RT-PCR est aussi considérable avec un coût qui oscille de 100 à 150 euros par test, des milliards d’euros ont étés dépensés. C’est proprement délirant ! Autant dire que pour la sécurité sociale et le système de soin, c’est un véritable gouffre. C’est dire qu’il doit y avoir un vrai enjeu caché là derrière.

     

    On nous annonce que le but de ces séquençages serait de progresser dans le traitement des maladies comme le cancer, mais ce qui est sûr, c’est que ce serait surtout un excellent moyen d’associer dans l’avenir ce génome aux futurs dispositifs d’identification et de contrôle des populations, comme l’identité numérique à des fins de fichage infalsifiable. En outre, nos informations génétiques sont précieuses, elles sont une matière première et dans un futur proche, elles pourront être exploitées par des compagnies d’assurances pour déterminer les personnes à risque et ceux qui ne méritent pas d’êtres assurés. Dans le monde radieux de demain, malheur aux plus faibles  ! Il faut aussi bien garder à l’esprit que nos données de santé seront dans les mains du géant "Microsoft", stockées sur leurs serveurs, la même société qui travaille à la mise en place de cette identité numérique avec Bill Gates. D’ailleurs, la Fondation de Bill Gates a justement financé une entreprise de génomique, "BGI Genomics" qui est liée à la Chine et au Parti communiste chinois pour exploiter les données ADN grâce aux tests du COVID-19. En septembre 2012, la fondation du fondateur de "Microsoft" a signé un protocole d’accord pour former une collaboration sur la santé mondiale. Le cofondateur de BGI a fait l’éloge de cet accord, célébrant les prochaines «percées scientifiques dans les domaines de la génomique humaine, végétale et animale.» Il a également révélé que les efforts de collaboration étaient axés sur le séquençage des génomes.

    En outre dans une conférence de 2014, Laurent Alexandre a aussi affirmé que pour lire dans les cerveaux dans les années qui viennent, cela requiert de se servir du séquençage ADN, qui donne des informations extrêmement importantes sur notre structure mentale. Lire dans l’ADN permettrait de connaître nos patterns psychanalytiques et psychologiques et ainsi, de mieux nous manipuler.

    Une pandémie classique se caractérise normalement par un nombre de patients hospitalisés et de morts conséquents, avec un taux de mortalité au-delà de 12 pourcents... Force est de constater que même lors du pic épidémique, nous en avons été très loin. Rappelons que dans le discours médiatique de peur ambiant, nous sommes passés du nombre de morts égrainé, à celui du nombre de réanimations, puis celui des hospitalisations, pour poursuivre avec l’épidémie des cas, c’est-à-dire des gens non-malades qui sont juste rentrés en contact avec le virus. Par ailleurs, si l’on prête attention au vocabulaire utilisé dans les médias suite à ces tests de dépistage, on nous parle de "cas possible", "probable" ou "confirmé", de "cas contact à risque" ou à "risque négligeable", ou encore de "cas asymptomatiques"... Or en médecine, on ne parle habituellement pas de "cas", mais bien de malades, il s’agit là d’un glissement sémantique qui a toute son importance... La deuxième vague tant annoncée reposait essentiellement sur ces faux positifs et les mesures sanitaires liberticides aussi. C’est donc avant tout une épidémie de tests plus que de malades. On peut véritablement parler de manipulation de masse à ce sujet.

     

    D’après une énorme étude réalisée par la Chine et publiée dans la revue Nature, deux mois après l’incident de Wuhan et portant sur une base de test de dix millions de personnes, les asymptomatiques ne peuvent être considérés comme malades, car ils ne sont pas contagieux ! Donc pourquoi terroriser tout le monde sur cette base dans les médias, si ce n’est pour plonger l’ensemble de la population dans une forme de paranoïa aiguë, en postulant que tout le monde représenterait une menace et un danger potentiel pour sa santé...

    Mais ce n’est pas tout, il est maintenant de plus en plus question de l’introduction de tests de prélèvement rectaux qui seraient plus fiables que les naseaux... Ces écouvillonements rectaux seraient aussi pour les enfants, avec une pénétration au niveau de l’anus, sur 3 à 5 cm ! Là aussi, pourquoi ne pas tout simplement faire des prélèvements dans les selles ? Ne faut-il pas y voir comme une inavouable volonté d’humiliation des individus qui doivent maintenant littéralement baisser leur pantalon et leur froc afin d’ouvrir leurs fesses pour se faire tester ?

     

    Une pandémie de peur médiatique ?

     

     

     
     

     

    «Dans ce moment de panique, je n’ai peur que de ceux qui ont peur.» Victor Hugo

    «La peur de la mort finit par l’emporter sur toutes les autres émotions humaines.» Klaus Schwab

    «N’ayez jamais peur ! La peur n’empêche pas la mort, elle empêche la vie. Tant que vous craindrez la mort, vous ne serez pas vivants !» Naguib Mahfouz

     

     

    Et que dire encore de tous ces morts abusivement attribués au COVID-19, alors qu’ils étaient atteints d’une toute autre pathologie ? Au passage, il est des plus curieux que "l’Organisation Mondiale de la Santé" ait recommandé de ne pas procéder à des autopsies, alors que cela aurait été un excellent moyen d’en savoir plus sur la nature du virus et sur son mode d’action...

    Par ailleurs, comment se fait-il aussi que les critères pour définir une pandémie aient étés assouplis par "l’Organisation Mondiale de la Santé" ? En effet, depuis le 27 avril 2009, l’OMS avait ainsi modifié les termes de la définition de pandémie. À partir de cette date, pour déclencher un plan pandémique, il suffit qu’une maladie soit identifiée seulement dans deux pays d’une même zone OMS. Le critère de la mortalité n’est même plus un facteur déterminant !

    Gardons aussi bien à l’esprit que les effroyables chiffres de la mortalité pronostiqués à l’origine par les instances officielles se sont révélés au final parfaitement faux, avec 500.000 morts brandis pour la première vague, qui se sont révélés à l’arrivé n’être que 35.000... Quand aux 400.000 morts annoncés pour la seconde vague, ils se sont soldés au final par 25.000 ! Il est bien aisé de brandir de tels astronomiques chiffres afin de justifier des mesures sanitaires exceptionnelles et d’affirmer par la suite que les mesures prises ont étés efficaces, car elles auraient évité l’hécatombe tant annoncée. Nous sommes face à un pouvoir terroriste, qui gouverne et impose ses mesures par la peur. D’ailleurs, une étude des chercheurs d’Oslo démontre qu’en réalité, il n’y a même pas eu en 2020 de surmortalité notable observable suite au COVID-19, ce qui contraste singulièrement vis-à-vis du discours de peur ambiant. Dans ces conditions, peut-on dès lors encore raisonnablement parler de pandémie  ? En outre, la faible surmortalité relevée s’explique aussi par l’effondrement de la prise en charge de tous les autres soins.

    Autre point particulièrement suspect avec les chiffres rapportés suite à cette pandémie : il se trouve que les données remontés par "le réseau Sentinelle" donnent des chiffres bien différents que ceux si alarmants qui sont quotidiennement bombardés dans les médias. Ce réseau de veille sanitaire est spécialisé dans le suivit des maladies transmissibles et est directement fondé sur des données cliniques irréfutables, car remontées directement du terrain par des médecins en première ligne. Depuis une trentaine d’années, "le réseau Sentinelle" est l’outil fiable par excellence pour suivre l’évolution des épidémies. Pourtant, cette fois-ci, pour la toute première fois, depuis l’apparition du COVID-19, il n’est plus utilisé comme référence  ! Pour une mystérieuse raison, on a changé d’indicateur, pour privilégier une positivité aux tests RT-PCR, dont la fiabilité est plus que contestable, comme nous l’avons précédemment signalé... Il se trouve que depuis des mois, les données communiqués par ce "réseau Sentinelle" sont extrêmement stables et basses, contrairement aux chiffres rapportés par les tests RT-PCR, ce qui implique que les médecins généralistes de toute la France ne voient en réalité que très peu de malades.

     

    Par ailleurs, d’après un article du 7 février 2021 paru dans le journal allemand "Die Welt", le gouvernement allemand aurait même commandé à des scientifiques de "l'Institut Robert Koch" et d'autres institutions des projections alarmistes basées sur un faux modèle de calcul visant à justifier la mise en place par le ministère de l'Intérieur, Horst Seehofer de mesures préventives et répressives ! Ainsi, le ministère de l’Intérieur allemand aurait soudoyé des scientifiques pour qu'ils établissent de faux rapports avec des projections de mortalité allant jusqu’à 1 million de morts. Encore une fois, quel est l’objectif visé qui se cache derrière ces scandaleuses manipulations. Quel est l’occulte dessin recherché par ces mensonges répétés qui manifestement vont tout-à-fait à l’encontre de l’intérêt même des populations et de leur santé... Depuis le début de cette pandémie, force est de constater que le mensonge est roi et que les fraudes à haut niveau semblent dominer. Et s’il y a manipulation, il est absolument certain que les intentions derrière ne sont pas saines !

    Les chiffres de ce redoutable virus, n’ont-ils donc pas étés scandaleusement et artificiellement gonflés ? Où sont passées les autres pathologies comme la grippe saisonnière influenza qui aurait miraculeusement disparue cette année, avec seulement 72 cas recensés, alors qu’en règle générale, ils sont des milliers ? En effet, chaque année, la France déplore en moyenne par exemple environ 15.000 cas de décès attribués à la grippe saisonnière. En 2020, plus de bronchites, de pneumonies, de cancers, de crises cardiaques, voir aussi de décès naturels causés par le vieillissement. On nous affirme que si ce chiffre de la grippe est si ridiculement bas, c’est grâce aux mesures sanitaires de confinement. Soit, mais alors QUID de la COVID-19 ? Pourquoi ces mesures n’en viendrait-elle alors pas à bout  ?

    «Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme.» Antoine Laurent de Lavoisier

    La pandémie qui nous a frappé n’est-elle pas avant tout une pandémie médiatique, une campagne de peur intensive, savamment orchestrée, alimentée et relayée de manière permanente par les chaînes d’informations continues ? N’est-ce pas là une forme de terrorisme sanitaire ? En tout état de cause, ces journalistes ont une responsabilité écrasante dans cette approche de la communication hautement anxiogène, dans ces attaques psychiques permanentes.
     
    Aussi, comment expliquer les petits bidouillages et arrangements avec la réalité de ces médias, lorsque par exemple, ils se permettent d’utiliser des rushs provenant de la base de données de vidéos de "Shutterstock" en présentant de faux malades, de jeunes figurants maquillés et hospitalisés dans un sale état pour habiller les arrière-plans de leurs journaux d’informations, comme le démontre le documentaire indépendant belge, "Ceci n’est pas un complot", alors même qu’ils ne correspondent pas du tout à la tranche d’âge atteinte en priorité par le virus.

    De même, ces chaînes de désinformation continues comme BFMTV, n’ont pas non plus hésité à recycler des images provenant de Pologne et datant de novembre 2020 pour illustrer la situation en île de France en mars 2021, afin d’entretenir l’illusion d’une situation toujours aussi critique dans les services de Santé. Ce sont ces mêmes journalistes propagandistes qui se livrent à une chasse aux dites "Fake News" des réseaux sociaux. Cela se passe de commentaires...

    D’autre part, des internautes se sont aussi rendus directement sur place dans certains hôpitaux pour constater avec stupéfaction que bien des services n’étaient pas du tout saturés, contrairement au récit apocalyptique rapporté par les médias...

    Encore plus fort, dans une autre vidéo particulièrement surprenante tirée d’un journal télévisé, des internautes ont aussi remarqué que dans une courte séquence filmée, présentant une scène avec des images de cadavres couverts d’une couverture mortuaire et présentés comme morts de la COVID, l’un d’entre-eux n’était visiblement pas encore tout-à-fait refroidis, car dans un ultime spasme, ce pauvre bougre bougeait encore miraculeusement le bras, sans doute dans une tentative désespérée de se raccrocher à la vie !

    Dans un journal télévisé espagnol, on a aussi vu une scène absolument délicieuse présentant un échange surréaliste entre une journaliste, visiblement en service commandé et un médecin de terrain se voulant rassurant sur la situation qu’il vivait au quotidien dans son service. Les propos de ce dernier ne cadrant manifestement pas du tout avec la ligne éditoriale du journal, on a alors vu la journaliste en mode panique reprendre systématiquement les propos du médecin, pour en direct de son plateau lui imposer sa propre réalité, dans un échange digne de Orwell, comme si 2 plus 2 équivalaient à cinq.

     

    Mais ce n’est pas tout : on a aussi vu de la part de Cnews, un titre d’article annoncer que 65% des français étaient favorables à une vaccination obligatoire et forcée du personnel soignant, alors même que les résultats effectifs de ce même sondage était en réalité de 70,4 pourcents d’avis défavorables à cette obligation. Où comment toute honte bue, tordre le réel, pour le redéfinir au gré de la propagande.

     

     
    « Si vous ne lisez pas de journaux, vous n’êtes pas informé. Si vous en lisez, vous êtes désinformé. » Mark Twain
     
    Ces médias sont-ils vraiment là pour rapporter fidèlement et de manière impartiale le réel, ou bien pour le travestir, voir même le fabriquer ? Où est passée la charte de Munich des journalistes, leur intégrité et leur déontologie ? Probablement au même endroit que le Serment d’Hippocrate de bien des médecins en ces temps de pandémie...
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    Le plus insupportable étant encore de constater qu’en fait, certains d’entre eux ne croient même pas un traître mot à toute cette intensive propagande médiatique qu’ils distillent de manière éhontée depuis des mois à longueur de journées sur leurs plateaux. Ainsi, comme le rapporte "Le Canard Enchaîné", on peut en avoir l’éclatante démonstration, avec le rocambolesque épisode d’une vingtaine de journalistes de BFMTV qui le 24 février 2021, furent surpris par des policiers peu avant minuit dans le restaurant clandestin "Les Trois Présidents" appartenant à Patrick Drahi. En plein confinement ils étaient attablés en compagnie de consultants experts santé de la chaîne pour partager un bon petit gueuleton, et plus si affinités. Sans doute, s’agissait-il là d’une réunion informelle de travail pour mieux accorder leurs violons lors des prochaines intoxications médiatiques. Une telle affaire met en lumière le mélange des genres, la complicité et l’endogamie malsaine de ces milieux, qui mangent dans la même gamelle en toute impunité. Adieu donc la pseudo-neutralité journalistique ! Ce sont les mêmes qui du matin au soir n’ont de cesse d’appeler jusqu’à la nausée à des mesures drastiques de restrictions de nos libertés, qui demandent la mise en place de nouveaux confinements, qui insistent en permanence sur le port du masque, qui culpabilisent les Français pour leur relâchement face aux mesures sanitaires, voir qui traitent les incrédules et les sceptiques de complotistes irresponsables... Ces parfaits tartufes se rendent ainsi coupables d’un degré d’hypocrisie proprement sidérant et parfaitement insupportable. Ils incarnent à merveille l’adage populaire du «Fait ce que je te dis, mais pas ce que je fais !» Ils donnent la nausée...

     

     

    Ce sont aussi ces mêmes journalistes moralisateurs, qui se sont vus exemptés de port du masque à l’intérieur de leurs plateaux de tournages, arguant du fait qu’ils avaient un système de climatisation efficace dans leurs studios. Pourtant, cet été, nous avons bien été témoins de la tournée en maisons de retraites du sinistre de la santé, Olivier Véran, interdisant formellement en pleine canicule, l’usage du moindre ventilateur pour éviter tout risque de propagation du virus dans l’air !

    Et au niveau des politiques, on peut faire le même constat : en dehors de leurs discours médiatisés, de par leur comportement, ils n’ont pas l’air de trop croire non plus en la véracité de cette si mortelle pandémie... Ainsi, on aura par exemple surpris un François Bayrou avachi en toute décontraction dans le hall de l'aéroport d'Orly sans masque, alors même que tout le monde autour de lui en portait un, mais aussi Bruno Lemaire lire tranquillement son journal du matin dans le TGV, ou Castaner à l’Elysée parader sans masque devant les caméras des journalistes, ou bien encore Carla Bruni, défier avec arrogance telle une jeune écervelée les gestes barrières, tout en mimant une fausse quinte de toux et en se moquant éperdument des risques encourus avec cette pandémie... Aux États-Unis, on a aussi vu un homme politique filmé hors-champs à son insu, arriver en coulisses démasqué derrière les rideaux avant d’ajuster au dernier moment son masque pour son discours devant un pupitre sous les feux des projecteurs. Quant à Macron, le peu de fois où il a porté le masque, il a manqué de s’étouffer en demandant fébrilement un masque plus léger, dans une scène d’une irrésistible drôlerie.

    Même constat au niveau des forces de l’ordre, que l’on peut tour à tour voir s’échanger en pleine manifestation dans la plus parfaite insouciance une seule et même bouteille d’eau, tandis que d’autres étaient joyeusement regroupés sans masques dans un restaurant, qui bénéficiait visiblement de quelques mystérieux passe-droits... D’autres plus festifs, organisaient en plein couvre-feu une aimable sauterie en l'honneur de la mutation d’un collègue, le tout sans le moindre geste barrière.... D’autres encore, d’une grande cohérence dressent à visage découvert de salées amendes pour non-port du masque... D’ailleurs le fait que le gouvernement leur avait strictement interdit dans un premier temps le port du masque pour lequel ils dressent maintenant des contraventions ne semble pas leur poser plus de questions existensielles  que cela.

     

     

    Quant aux bourgeois bohèmes des quartiers huppés parisiens et au gratin de la République, ministres compris, ils sont bien loin de souffrir des privations et des restrictions sanitaires imposées au reste de la population à coup d'exorbitantes amendes. Les automates des forces de l'ordre sanitaire, allant dans leur misérable soumission aveugle, jusqu'à harceler des SDF dans la rue, qui se voient infligés eux aussi des PV majorés à 645 euros pour non-port du masque. Tandis que ces nantis se retrouvent dans la joie et la bonne humeur, entre gens de bonne compagnie, dans l’intimité feutrée de restaurants clandestins, à l’abri des regards indiscrets. Dans ces cénacles VIP privés, ils peuvent ainsi le plus naturellement du monde et dans la plus grande insouciance, sabrer le champagne entre deux petits-fours à 200 euros la pièce. Le tout aux frais du contribuable, cela va s'en dire. Car il faut bien comprendre que dans ces lieux privilégiés, le virus, qui semble être un virus social très sélectif, n’a plus court ! Sans doute, n’ose-t-il pas franchir le seuil de la porte devant tant d’indécence... En tous les cas, pour braver le danger avec autant d’ardeur et d’enthousiasme, ces braves gens auraient-ils accès à des traitements préventifs adéquats interdits au reste de la vile populace ? À leurs yeux, la peur, c'est exclusivement réservé aux sans-dents, c'est un vrai truc de prolos. C'est parfaitement incompatible avec la jouissance de vivre ! Faut-il croire que ces valeureux représentants du peuple posséderaient quelques informations exclusives que nous ignorons au sujet de ce virus ? Si ces gens, qui sont au plus près des informations n’ont pas peur de cette redoutable maladie, alors pourquoi devrions-nous de notre côté en avoir si peur ?

     

    Le masque, le stigmate de la mascarade

    « Comment un homme s’assure-t-il de son pouvoir sur un autre Winston ?
    Winston réfléchit : en le faisant souffrir, répondit-il
    - Exactement. En le faisant souffrir. L’obéissance ne suffit pas. Comment, s’il ne souffre pas peut-on être certain qu’il obéit, non à sa volonté, mais à la nôtre ? Le pouvoir est d’infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l’esprit humain en morceaux que l’on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l’on a choisies. » Dialogue tiré de "1984" de George Orwell

    Penchons-nous maintenant sur la question du port prolongé du masque en population générale. Si le masque chirurgical est si efficace, alors pourquoi avoir imposé la fermeture de tant de commerces, d’établissements et de restaurateurs pendant des mois ? À contrario, si le masque n’est pas efficace, (comme en réalité tout porte à le croire, études scientifiques récentes à l’appui, avec une étude danoise en population portant sur 6.024 personnes), et bien pourquoi l’avoir imposé à tout le monde, jusqu’aux enfants de six ans ?

    Dans ce dernier cas, ne s’agit-il pas pour ces jeunes générations, de pure maltraitance et d’un profond traumatisme, d’une atteinte à leur intégrité tant physique que psychologique, avec de désastreux effets sur le long terme ? 

    Quel sera leur rapport à la vie et aux autres dans les années à venir ? Les premiers effets commencent déjà à se faire ressentir, avec certains tous petits enfants qui ont déjà peur d’enlever leurs masques, car ils se sentent en danger dès qu’ils ne l’ont plus au bout du nez. D’autres, par la puissance de leur conditionnement précoce, s’éloignent maintenant instinctivement de leurs proches, car ils se perçoivent comme une menace permanente pour leur entourage... Pour ces jeunes esprits en formation, le masque définit une nouvelle réalité, il inscrit durablement une nouvelle norme dans la société, il les reprogramme. Et pour les bébés, il est essentiel dans leur développement psycho-affectif, de pouvoir décoder les émotions sur les visages de leurs parents. 

    Quel type d’humains sommes nous en train de fabriquer ? Chez les moins de 15 ans, on assiste déjà a une hausse de 80 pourcents des hospitalisations psychiatriques. Jusqu’où allons nous encore aller, avant de mettre un terme définitif à cette folie ? Avec toute cette mascarade, on demande paradoxalement aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent comme des enfants ! D’après une grosse étude allemande dirigée par un collectif de 363 médecins et portant sur plus de 25.000 enfants concernant le port des masques à l’école, les effets sont tout simplement désastreux ! Les déficiences causées par ce port prolongé du masque au-delà de 4h30 par jour sont notamment : l’irritabilité, les maux de tête, la difficulté à se concentrer, moins de bonheur, la réticence à aller à l’école, le malaise, les troubles d’apprentissage, ainsi qu’une somnolence et une fatigue accrue. Sans parler des retards de langage avec des visages masqués. Une telle obligation, parfaitement incompréhensible, relève bien d’une volonté criminelle, d’autant plus que les enfants ne tombent même pas malade de ce virus et ne seraient pas du tout contagieux !

    Dans certaines écoles, les instituteurs ont même accepté sans broncher et sans la moindre honte de mettre en place pour leurs élèves, un système hautement pervers à base de jetons pour leur accorder au choix le privilège d’aller respirer, ou faire pipi. Les enfants disposant ainsi de seulement trois jetons triangulaires, valables pour toute la journée d’école ! Ils doivent ainsi choisir entre prendre quelques instants une bouffée d’oxygène à l’air pur et se soulager aux toilettes ! Comment peut-on en être arrivé à un tel degré de bêtise, de manque d’humanité et d’abjection ? Le monde, plongé dans une forme d’hypnose collective, aurait-il définitivement perdu la raison ?

    Signalons au passage qu’en Suède, où les écoliers ne sont pas soumis à un port du masque permanent, on ne déplore strictement aucun mort de la COVID-19 sur un ensemble de deux millions d’enfants allant de 1 à 16 ans. Le gouvernement Suédois a aussi recommandé à sa population de ne pas porter le masque, car c’est nocif pour la Santé. Et pas la moindre hécatombe à déplorer de leur côté, malgré cette absence de mesures.

    Et puis d’ailleurs, comment les masques pourraient-ils bien être efficaces, puisqu’à l’échelle microscopique, leurs fibres sont poreuses et qu’un seul de ses pores de quelques microns (millièmes de millimètre) pourrait laisser traverser l’équivalent de 20.000 virus de quelques nanomètres (millièmes de microns)... Autant chercher à stopper un grain de sable avec un tamis ! Au passage, pour ceux qui savent lire, il est même inscrit en toutes lettres par les fabricants sur leurs boîtes de masques qu’ils ne protègent en rien contre les attaques virales ! Juridiquement, les fabricants de masques ne veulent certainement pas être tenus pour responsables en cas de contamination à de la COVID-19... C’est une garantie pour eux de ne pas être condamnés en justice dans le cas de dépôts de plainte. Dans ce monde, l’argent ne ment pas.

    «Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que se soit en intérieur ou en extérieur. Point final !» Le Pr. Denis Rancourt

     

     

    Portés plusieurs heures durant, les masques se salissent et deviennent de véritables boîte de Pétri ambulantes, des bouillons de culture et des nids à bactéries, des cloaques microbiens, ils nous font respirer nos propres miasmes en circuit fermé et deviennent rapidement un terrain favorable à l’amplification des micro-organismes. De plus, ils appauvrissent la quantité d’oxygène que le sang distribue aux tissus et au cerveau, d’où le risque accru de développer des hypoxies avec de possibles graves séquelles physiologiques ultérieures. Les masques impliquent aussi un risque d’auto-contamination, car ils sont proches des muqueuses des yeux et de la bouche et sont bien souvent mal manipulés par des mains potentiellement contaminées. Ils sont la source de maux de tête et de difficultés respiratoires. Les masques n’ont jamais étés conçus pour êtres portés dans de telles conditions et il s’avère que contrairement aux idées reçues, même en salle d’opération lors d’une intervention chirurgicale, l’utilité du masque n’aurait jamais été démontrée dans la littérature scientifique, comme l’affirme Didier Raoult dans l’un de ses livres de démystification. Les masques de blocs opératoires ne sont efficaces que pour les bactéries, les levures et les micros champignons. La seule catégorie de masque vraiment efficace et assez filtrante est le masque FFP1. Les masques FFP2 et les FFP3, dont on nous impose continuellement le port sont clairement très insuffisants. Ils ont tout au plus une valeur de Grigri pour conjurer la peur. Malgré tout, les pouvoirs publics s’acharnent depuis des mois, à nous les imposer. Pourquoi cet entêtement ?

    Il y a pourtant bien des désagréments particulièment délétères tant physiologiques que psychologique liés à ce port du masque prolongé et répété, dont voici une petite liste non-exhaustive : des bronchites sévères, des conjonctivites graves, des maux de tête, des furoncles, une grande fatigue, de l’herpès labiale, des staphylocoques sur les lèvres et les joues, des impétigos, de l'hypoxie, de l'hypercapnie, de l'essoufflement, de l'augmentation de l'acidité et de la toxicité, de l'immunosuppression, du déclin des performances cognitives, de la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, du stress chronique, de l'anxiété et de la dépression.etc. Et bien sûr, c’est un danger pour les personnes qui ont de l’asthme ou des problèmes respiratoires.

    Pourtant, rappelez-vous, au tout début de l’épidémie, tous les interlocuteurs du gouvernement étaient unanimes sur la question, à commencer par l’inénarrable Sibeth Ndiaye. Ils avaient alors scandé en cœur l’inutilité, voir le caractère parfaitement nuisible et contre-productif du port prolongé de ce masque en population générale. Même Olivier Véran l’avait avoué indirectement en évoquant le sujet de la grippe, contre laquelle le masque serait inutile : «Les études montrent que ça ne marche pas trop là-dessus.» Hors, le virus de la COVID-19 étant encore plus petit que celui de la grippe, dès lors, comment le masque pourrait-il se montrer plus efficace...

    Ne faut-il donc pas voir dans cette volonté d’imposer le port du masque, une intention perverse, précisément après avoir dit que c’était inutile, voire contre-productif, comme une volonté d’affirmer et de manifester sa toute-puissance, en soumettant le peuple aux décisions les plus absurdes ?

     

    «Le Parti recherche le pouvoir pour le pouvoir, exclusivement pour le pouvoir. Le bien des autres ne l’intéresse pas. Il ne recherche ni la richesse, ni le luxe, ni une longue vie, ni le bonheur. Il ne recherche que le pouvoir. Le pur pouvoir.» George Orwell dans"1984"
     

     

    Le gouvernement ayant toujours clamé s’appuyer sur les décisions d’un Conseil scientifique, dès lors comment expliquer de tels revirements à 180 degrés dans le discours officiel ? À la tête de cette commission, on trouve l’immunologue Jean-François Delfraissy, qui avait déjà sévi lors du monumental fiasco de la pseudo-crise du H1N1. Ce dernier ayant d’ailleurs admis s’être plusieurs fois trompé dans les grandes largeurs dans la gestion de ce dossier, qui avait coûté en pure perte beaucoup d’argent public, mais bien enrichi de 1,5 milliards d’euros les labos de Big Pharma... Lors de cette pseudo-crise sanitaire, on aura comptabilisé en France un effroyable bilan de... 450 morts ! Déjà à l’époque, une campagne de propagande intensive avait été déployée avec des chiffres très angoissants.

    Et pourquoi retrouve-t-on les mêmes acteurs qu’à l’époque ? Et bien, il faut comprendre qu’en Macronie, on ne change jamais une équipe qui perd ! C’est aussi sans doute pour cela que l’on retrouve le même Jean Castex, qui lors de la crise sanitaire du H1N1, avait géré l’histoire des masques et participé avec Roselyne Bachelot à l’arnaque de la vaccination de masse au Tamiflu. D’ailleurs, on comprend mieux pourquoi Roselyne Bachelot a été lors de cette actuelle crise propulsée au ministère de la Culture, puisque sa toute première action à ce poste a été d’attaquer et de discréditer aux yeux du public, au prétexte qu’il serait "complotiste", "le Journal France Soir", l’un des seul journal d’opposition militant sérieux à la politique sanitaire gouvernementale actuelle.

    Dans un premier temps, pourquoi avoir mis en place l’interdiction formelle de distribution en pharmacie de ces masques, avant dans un second temps de les rendre obligatoires, sous peine de lourdes sanctions financières ! À en croire le témoignage de certains entrepreneurs, l’État aurait lui-même organisé la pénurie ! Ces derniers furent alors empêchés d’importer ces masques directement de Chine via leurs filières d’approvisionnement ! Entre-temps, le masque est paradoxalement devenu la pierre angulaire pour combattre la propagation de la maladie ! De qui se moque-t-on ?

    Mais la problématique du masque ne s’arrête pas là, puisqu’il faut aussi prendre en compte l’aspect écologique désastreux, car ces masques chirurgicaux n'étant pas en papier, ils vont mettre 450 ans à ce dégrader. Ils constituent donc une source de pollution à très long terme. 

    Il faut aussi évoquer le budget conséquent qu’il fait peser sur les foyers les plus modestes. À l’origine, le gouvernement avait pourtant affirmé à ce sujet, par la voix d’Agnès Buzyn, qu’il serait question de distribuer les masques gratuitement à la population en cas d’obligation... Encore un grossier mensonge éhonté de plus !

     

    J’en veux pour preuve que le gouvernement avait même fait intervenir les forces de l’ordre dans le quartier de la Goutte d’Or pour faire interdire manu militari avec la plus grande fermeté, comme s’il s’agissait d’un acte terroriste, la distribution gratuite de masques en tissus à l’initiative de la boutique de tissus africains Barakatou. Bien au contraire, force est de constater que l’État a permis aux grandes surfaces d’engranger des profits considérables sur la vente des masques, avec des marges monstrueuses et parfaitement indécentes sur les prix pratiqués pour un article relevant pourtant de la santé publique... La moindre des choses aurait été un encadrement très strict de ces prix. Encore une fois, c’est bien la preuve manifeste que la santé n’est pas la priorité dans toute cette affaire !

    Par ailleurs, il est maintenant de plus en plus question de mettre plusieurs couches superposées de masques sur le visage pour s’assurer d’une meilleure protection ! Quant aux masques en tissus qui ont pourtant mobilisés un effort national de la part de tant de couturières bénévoles, ils seraient entre-temps devenus inefficaces et interdits d’usage ! Ne s’agit-il pas là d’une forme d’aveu que le masque unique a en réalité toujours été parfaitement inutile ? Ou bien alors, ne serait-ce pas là plutôt une volonté manifeste d’en faire toujours plus dans la peur et de renchérir dans la psychose collective ? Jusqu’où ira encore toute cette mascarade ?

    La seule utilité véritable de ce masque est donc son impact psychologique, qui lui est indéniable. Le masque permet de faire exister le virus de manière très visuelle, de matérialiser en permanence la menace. Il permet donc de plonger et de maintenir les individus dans une forme de peur latente et de psychose collective, ainsi que d’entretenir le mensonge de l’urgence sanitaire absolue. Ce qui entraîne au passage, un dévastateur effet psychologique nocebo des plus malsain et pervers ! La peur est plus dangereuse et contagieuse que le virus. Elle empêche de raisonner correctement et bloque toute sagesse, elle exacerbe l’émotivité et génère des comportements et des pensées irrationnelles. Le masque implique aussi directement les individus dans la lutte contre le virus, il valide la réalité du récit officiel. Il est aussi un indicateur bien visible de l’acceptation par la population au mensonge, il donne le signal de la soumission aux autorités, comme un sondage continu en temps réel. Il permet aussi de diviser les Français dans d’interminables luttes entre pro-masques et opposants qui sont savamment entretenues dans les médias. Bref, en terme de manipulation mentale, c’est un accessoire parfait.

    Mais le scandale de ces masques ne s'arrête pas là, puisque certains masques chirurgicaux distribués en masse à la population et notamment aux enfants dans les écoles seraient hautement cancérigènes. Certains masques chirurgicaux faciaux jetables bleus et gris en provenance de Chine, sont susceptibles de contenir des matières toxiques semblables à l'amiante. Ils révèlent un potentiel de toxicité pulmonaire précoce, avec le risque de développer des lésions extrêmement graves liées à l'inhalation de microscopiques particules de graphène nanoformé. Ils peuvent engendrer des problèmes de santé à long terme en cas d'inhalation.

    En fait, cette volonté incompréhensible d’imposer ce satané masque n’est-elle pas une inavouable intention d’affaiblir nos systèmes immunitaires, plutôt que de les protéger ? Car, à bien y regarder de près, tout se passe comme si ce gouvernement avait sciemment tout mis en œuvre pour nous couper de toutes les ressources nécessaires pour nous maintenir en forme. Comme par exemple, de faire fermer les salles de sport, nous interdire les baignades, ou en nous privant avec le confinement de sorties au grand air et au soleil et donc de vitamine D, qui est pourtant absolument essentielle. De même, bien que l'OMS définisse le bien-être comme étant basé sur la santé physique, la santé mentale et la sociabilité, ils ont fait d'une pierre trois coups en détruisant sciemment toute sociabilité, ce qui détruit la santé mentale et vient en dernière instance à détruire la santé physique. Notre système immunitaire se renforce par nos interactions avec les autres qui sont coupées...

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    Audio 7 : 1984 au meilleur de l'immonde 7.mp3

    "Stratégie du Choc" et "État de Sidération"

     
     

    Par ailleurs, on pourra remarquer que le déroulement de toute cette pandémie rappelle les techniques de tortures développées à l’échelle individuelle sur les prisonniers dans des camps de détention comme Guantanamo, avec le manuel de torture psychologique "Kubark" et "La Charte de Biderman", mais qui serait cette fois-ci appliqué à grande échelle, celle des sociétés.

    Ainsi, on y retrouve pêle-mêle :

    • "La privation sensorielle", avec le port du masque obligatoire.

    • "Le développement d’un sentiment d’insécurité et de stress permanent", avec un martelage médiatique incessant et quotidien du nombre de morts par le croque-mort en chef, Jérôme Salomon. Quoi de mieux aussi pour rendre les gens malades que de leur parler de maladie à longueur de journée, surtout pour les personnes les plus sensibles et hypocondriaques.

    • "L’isolement", avec le confinement, les gestes barrières et l’éloignement des proches. Dans les prisons, l’isolement a toujours été utilisé pour casser le moral du prisonnier, pour le briser.

    • "Le harcèlement des concitoyens", avec des mesures absurdes, sous peine de se voir infligé des amendes exorbitantes, le port du masque continuel. Tout est fait pour rendre la vie quotidienne pénible.

    • "La monopolisation de la perception et de l’attention", avec le matraquage continuel des chaînes d’informations telles que BFMTV.

    • "Un épuisement induit", tant psychologique et moral que physique, lié à la peur pour sa santé, sa vie et son avenir.

    • "Des indulgences occasionnelles", avec par exemple certains restaurants qui sont autorisés à ouvrir seulement sous certaines capacités.

    • "Des demandes stupides imposées", le port imposé d’un masque inutile, alors que le virus se transmettrait essentiellement de manière manu portée, ou le sens de circulation imposé dans certains magasins, ou bien avec certains rayons fermés car jugés non-essentiels tandis que d’autres restent ouverts, ou encore porter un masque en pleine nature ou à la plage, etc.

    • "Des menaces", avec celle d’être exclu de la société, celle de se voir infliger des amendes, celle du retrait des enfants si on ne respecte pas scrupuleusement les mesures sanitaires décrétées par le gouvernement, etc.

    • "Une démonstration de toute-puissance", avec la fermeture arbitraire du monde entier, des amendes exorbitantes pour imposer des mesures absurdes et le narratif officiel, sans la moindre remise en question des autorités scientifiques.

    • "Des dégradations et des humiliations", comme celle du port du masque, celle d’avoir à justifier du moindre de ses déplacements, ou l’humiliation des tests dans le nez et les fesses.

    • "La désorientation et la perte des repères", avec des discours officiels évolutifs qui changent en permanence de manière contradictoire, des injonctions paradoxales, des mesures à géométrie variable, voir parfaitement incohérentes. La confusion est savamment entretenue à tous les niveaux pour décourager les gens à chercher la vérité cachée derrière un épais rideau de fumée.

     

     
    Comme le disait Hannah Arendt, la philosophe spécialiste du totalitarisme : «Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez !»
     

     

    On dirait donc bien la mise en œuvre de ce que la politologue Naomi Klein décrivait dans son essai sur la montée du capitalisme du désastre, comme la "Stratégie du choc". Une stratégie proprement machiavélique, qui permet de profiter de l’état de sidération généralisé pour passer en force et sans la moindre réaction des mesures absolument inacceptables d’un point de vue éthique et démocratique et qui seraient rejetées avec force et véhémence en temps normal. Depuis ce choc initial, on aura observé que la population a été maintenue dans une forme d’hypnose médiatique continuelle.

    Le schéma manipulateur pour obtenir le consentement de la population à faire quelque chose qu’elle ne voudrait pas, ne procède pas directement, mais indirectement. Il est le suivant : on crée, ou on amplifie une crise qui effraie les gens, puis le gouvernement introduit ses dispositions non désirées, sous l’aspect de mesures nécessaires pour combattre cette crise, afin de préserver la sécurité et le niveau de vie, tout en incriminant quiconque qui y est opposé de "complotiste".

     

    Et que penser des déclarations du ministre de la Santé Belge, Frank Vandenbroucke, qui admet que : «Faire du shopping ne comportait pas vraiment de risque quand tout était bien contrôlé. À un moment, on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non-essentiels.»

     

     

    Les commerçants indépendants qui vont mettre la clé sous la porte pour avoir servi d’épouvantail au reste de la population dans toute cette campagne de peur apprécieront cette déclaration ultra-cynique à sa juste valeur...

     

    Semer et entretenir la confusion

    «Tout résultat est résul­tat politique, et la politique elle-même est une accumula­tion de mensonges, de faux-fuyants, de folie, de haine et de schizophrénie . Une société totalitaire qui est arrivée à se perpétuer instaurerait proba­blement un système de pensée schizophrénique.» Georges Orwell dans "1984"

    Tout a sciemment été fait pour brouiller les cartes et la compréhension des Français qui ont étés soumis à de nombreuses "injonctions paradoxales", également appelées "doubles contraintes" incompatibles. Une notion théorisée dans les années 50 au sein de l'école de "Palo Alto" par l'anthropologue Grégory Bateson, à l’origine de troubles mentaux comme la schizophrénie. Il s'agit d'une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles. Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation, surtout si elle est dans l'incapacité de communiquer à son sujet, cela rend le problème insoluble et engendre à la fois troubles et souffrances mentales. Les exemples sont multiples dans la gestion de cette pandémie : Confinez-vous, mais allez travailler ; ne vous rencontrez pas, mais soyez solidaires ; restez chez vous, mais faites du sport ; le masque est inutile, mais il est pourtant obligatoire. C'est donc bien une insidieuse guerre psychologique qui nous est livrée, un petit jeu bien malsain et hautement pervers.

     

    La "Fabrique du Consentement"

    Ce que nous avons traversé collectivement ces derniers mois, ressemble donc à une gigantesque entreprise de contrôle social et de soumission de la population, à l’instar de la fameuse "Expérience de Milgram". Ainsi, on doit obéir aveuglément aux décisions les plus aberrantes, au nom du respect de l’autorité supérieure, car c’est elle qui serait détentrice de l’expertise scientifique, des compétences et du savoir, malgré des conflits d’intérêts patents qui sautent aux yeux.

     

    Une soumission qui a culminé jusqu’à l’absurde, avec la nécessité ubuesque et profondément humiliante de se faire signer à soi-même une dérogation d’autorisation de sortie, lors des phases de confinements. Attestations de déplacement dérogatoires officielles, qui n’avaient en réalité aucun caractère obligatoire, comme cela a été ultérieurement avoué par le Conseil d’État. Nous nous sommes ainsi transformé en gardiens de notre propre prison. Quelle idée tordue et quelle perversion ! Une brillante initiative que l’on doit au cabinet-conseil "McKinsey & Company", spécialisé dans le "Nudging", à savoir dans des techniques de marketing incitatif, basées sur l’ingénierie sociale et l’économie comportementale, de façon à induire certaines actions dans la population en la manipulant de manière infra-consciente, comme le rapporte la philosophe Barbara Stiegler. "Nudge" peut se traduire par coup de pouce. Nous sommes là en plein dans la fabrique du consentement. À savoir aussi que ce cabinet de conseil américain, appuyant le gouvernement pour sa stratégie vaccinale contre la COVID-19, a tout récemment défrayé la chronique en étant directement impliqué dans un retentissant scandale des opiacés aux États-Unis.

     

    L’acceptation généralisée aux règles les plus absurdes ne peut fonctionner que grâce au conformisme et à l’instinct grégaire de la plupart des individus. Un facteur très puissant, qui chez la plupart entrave toute forme de discernement et de jugement personnel et qui peut expliquer beaucoup de choses concernant la passivité de la présente situation. Pour en mesurer toute l’importance, il suffit de se référer à la fameuse expérience de 1956 menée par le psychologue Solomon Asch qui portait sur la perception visuelle de lignes tracées de différentes longueurs qu’il fallait comparer... D’après cette stupéfiante expérience en sciences sociales, près de 75 pourcents des individus seraient prêts à suivre n’importe quoi, du moment qu’ils sont sous l’emprise d’une influence extérieure et à plus forte raison s’il s’agit d’une autorité sanitaire légitime en blouse blanche.
     
     

    On a aussi neutralisé tout sentiment de révolte et de colère en jouant sur la culpabilité et en laissant entendre que les gens, par leur manque d’application dans la mise en œuvre des mesures sanitaires étaient directement responsables de la propagation du virus et de l’aggravation de la situation. Un procédé de manipulation classique qui permet de retourner les responsabilités. On a aussi inculqué aux gens leur impuissance et leur résignation alors que chacun de nous devrait faire ce qu’il croit être juste et en accord avec ce que lui dicte sa conscience.

    Dans cette crise, on peut voir la mise en œuvre de ce que le philosophe Naom Chomsky définissait comme la "stratégie du dégradé", afin de faire grandir la "Fenêtre d’Overton". Ainsi, étape par étape, et de manière fort insidieuse, on introduit des mesures de plus en plus liberticides afin de faire accepter l’inacceptable, par paliers. On fait ainsi lentement évoluer l’opinion publique, pour au final entériner dans le droit des mesures parfaitement intolérables et qu’elles deviennent légales, même si dans le fond, elles sont parfaitement immorales. Avec ce procédé, on passe ainsi d’une opinion de rejet catégorique, en considérant la chose comme impensable, à reconsidérer cette même chose comme extrémiste, puis à la juger comme licite, voir acceptable, pour en dernière instance s’en faire l’ardent défenseur.

     

     
    Cela rejoint la fameuse formule de Saint Augustin : «À force de tout voir, l’on finit par tout supporter… À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter… À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver !»
     

     

    On peut voir et c'est assez compréhensible, que tout le monde a aussi peur de perdre ses acquis, sa position sociale, son emploi ou sa maison, de se voir ostracisé par le reste du groupe ou de s’attirer l’hostilité de sa famille et de ses proches. Mais, comme le dirait l’anthropologue et physicien Philippe Bobola : «Chacun en essayant de s’auto-conserver, sous l’action de son cerveau reptilien, finit par cautionner un système qui va finir par balayer tout le monde !» Il faut arrêter de résonner sur la courte durée pour défendre son pré-carré par instinct de survie immédiat, car, à force de tenter de sauvegarder ses petits intérêts, de vouloir conserver ses acquis et ses subventions, nous allons collectivement dans une impasse. Il faut bien avoir conscience que l’assistanat sous perfusion de l’État n’aura qu’un temps et il tombera assurément lors du "Grand Reset". Ce n’est donc que reculer pour mieux sauter...

     

    À croire qu’ils sont aussi en train d’évaluer le degré d’abrutissement et de zombification de la population générale, avant de passer à la vitesse supérieure...

     

    Un Hold-Up sur nos vies ?

     

     

     
    «La crise économique va servir à centraliser la puissance économique mondiale et à faire naître le Nouvel Ordre Mondial.» Gordon Brown en 2009
     
     

     

     

    Le but réel visé par toute cette entreprise, ne serait-il pas l’ubérisation terminale de la société, d’asphyxier et de faire mourir à petit feu, mais définitivement tous les indépendants, de détruire la concurrence des entreprises locales pour concentrer le capital et toutes les richesses dans les mains des grandes multinationales, des grands trusts, qui auront alors dans un futur proche, la mainmise absolue sur tout. Il n'y aura alors plus de concurrence véritable et ils pourront ainsi imposer leurs lois et produire des services toujours plus médiocres, selon leurs propres conditions. Soit, le plus grand transfert et braquage de richesses de tous les temps et un véritable pillage et crime en bande organisée de la part du grand capitalisme de connivence !  Bien souvent, les crises ne touchent que les classes moyennes qui en sont les éternelles grandes perdantes. Tandis qu’elles constituent bien souvent un formidable tremplin, pour les plus riches, qui peuvent en un temps record, engranger de faramineux profits en se nourrissant avec une voracité sans égal sur le malheur et la ruine des plus petits, comme on a déjà pu le voir lors de la crise de 1929. Tout semble se passer comme si nous assistions en réalité à une forme de destruction contrôlée de l’économie où certains secteur sont ciblés avec précision comme les PMI-PME, les industries culturelles et touristiques ou d’équipements sportifs, etc.
     
    La lanceuse d’alerte Catherine Austin Fitts, ancienne banquière d’affaire à Wall Street, dresse le même implacable constat : «La classe capitaliste mondiale a réalisé qu’elle a un sérieux problème. Et la solution à ce problème est de détruire le revenu des indépendants, des petites entreprises et des petits propriétaires. Le confinement est une guerre économique. Depuis avril, nous avons vu les milliardaires du monde entier augmenter leurs richesses de 27 %. Cela montre qu’il s’agit d’une guerre économique très réussie. Nous voyons comment la classe capitaliste mondiale, bien qu’elle ne soit pas capitaliste, mais plutôt une classe totalitaire… a concentré entre ses mains une richesse économique fantastique. Ils y sont parvenus… en détruisant et en absorbant les revenus de la classe moyenne...»
     
    Et ne vous faites surtout pas d'illusion, des fonds d'investissements internationaux vautours se tiennent déjà prêts en embuscade pour racheter à vil prix tous les commerces et les restaurants qui auront étés conduits et acculés par ces politiques criminelles à une ruine certaine... Il s'agit donc bien, sous couvert de santé publique d'un Hold-Up intégral, tant sur nos libertés, mais aussi sur nos biens, via une spoliation à venir de nos économies et de nos propriétés. Ils évoquent déjà sans honte  et de plus en plus ouvertement de venir se servir directement sur nos comptes en banque pour maintenir à flots ce système financier à l'agonie et pour rembourser une dette publique abyssale, mais totalement inique qui s'élève maintenant à 116% du PIB. Le FMI parle déjà de ponctionner au moins dix pourcents de toutes les épargnes pour financer la reprise économique.
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    Pour s’en convaincre, il suffit de voir à quel point cette opération à été une véritable bénédiction pour les géants des GAFAM, les plateformes mondiales telles que UBER, qui à la faveur de cette crise, ont vu leurs chiffres d’affaire et leurs actions s’envoler de manière vertigineuse, tandis que les petits entrepreneurs, victimes de faillites en cascades, commencent littéralement à se suicider de désespoir... On peut donc observer très nettement une concentration de plus en plus grande de pouvoir et d’argent dans de moins en moins de mains, la disparition pure et simple des classes moyennes et la consolidation d’une classe d’hyper-riches ultra-minoritaires. Ainsi, en huit mois seulement, les uns pourcents les plus riches de la planète ont aspiré vingt-sept pourcents de toutes les richesses ! En l’espace d’un an, le géant "Amazon" aurait à lui seul, engrangé plus de 250 milliards de dollars.

     

    D’ailleurs, on peut observer un même processus de concentration, avec le développement des smartcities, ces mégalopoles futuristes ultra-connectées et en parallèle, le dépeuplement des campagnes qui perdent progressivement leurs services et deviennent des déserts administratifs. Il faut bien comprendre que de manière générale du point de vue des puissants de ce monde, tout ce qui permet une autonomie et une certaine indépendance par rapport au système doit être farouchement combattu et éliminé, pour viser à toujours plus d’uniformité et de contrôle.

     

    En fait, force est de constater que tout se passe plutôt comme si ces «bons dirigeants» qui font mine de prendre tant à cœur notre Santé, nous livraient en réalité une guerre totale, une guerre des plus insidieuse, s’ils mettaient tout en œuvre pour nous affaiblir sur tous les plans : physiologique, affectif, psychologique, et bientôt économique !

    Et puis toutes ces mesures, qui nous sont imposées et qui nous rendent la vie quotidienne infernale, sans véritable raison sanitaire justifiées, ne sont-elles pas elles aussi une guerre de nerfs et d’usure, une vaste entreprise de démoralisation destinée à nous faire accepter l’inacceptable, voire jusqu’à supplier pour une vaccination que l’on présente comme la fin du calvaire, le bout du tunnel, "le Saint Graal" permettant de regagner notre vie antérieure confisquée et volée. C’est du moins leur promesse, bien qu’en réalité, ils n’en pensent pas un traître mot...

    D’ailleurs, le décidément incontournable Klaus Schwab l’avait annoncé dès le début de la pandémie alors même que le virus n’avait encore que quelques semaines : «Un retour complet à la "normale" ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible.» Tandis que de son côté, Melinda Gates nous avait aussi affirmé avec un aplomb inouï qu’il n’y aura «Pas de vie normale tant que le monde entier ne sera pas vacciné  !»

     

     

     

    CHAPITRE 2
    "LE VACCIN À ARN MESSAGER",
    OU LA MISE À JOUR DE L’HUMANITÉ

     
     

     

     
    «Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez !» Pr. Denis Rancourt
     

     

     

    Le refus délibéré de tout traitement

    Pourquoi la vaccination serait-elle devenue l’horizon indépassable de cette épidémie, l’Alpha et l’Oméga de la sortie de cette crise, alors que contrairement à ce qu’avance le gouvernement, de nombreux autres traitements semblent avoir fait leurs preuves à travers le monde, comme l’hydroxychloroquine et l’Azithromycine (avec pas moins de 100 publications internationales qui démontrent son efficacité), l’Ivermectine associée à la Doxycycline, le Zinc, la vitamine C et D, la Fluvoxamine, la Bromhexine, ou encore des plantes naturelles comme l’Artemisia.

    De manière parfaitement incompréhensible, tout au long de cette pandémie, les médecins traitants généralistes ont étés totalement et scandaleusement mis sur la touche, méprisés, court-circuités, entravés dans leur droit de prescription, alors qu’ils auraient dû en toute logique êtres placés en première ligne pour rapporter de précieuses informations du terrain et de très utiles retours sur expérience, afin de lutter efficacement contre ce nouveau virus inconnu du SARS-COV-2. C’est l’exact inverse qui a été fait : leur action a été étroitement encadrée et leur parole a été étouffée, contrairement à celle des médecins cathodiques ultra-médiatisés et bien souvent en conflits d’intérêts pâtant avec l’industrie, comme les Michel Cymes, les Karine Lacombe, les Martin Blachier ou les Gilbert Deray. Les recommandations officielles étaient de ne pas aller directement voir son médecin, ou alors de préférence en consultation à distance, de prendre du Paracétamol, du Doliprane, de rester chez soi et en cas de difficultés respiratoires grave, d’appeler le 15 pour êtres pris en charge à l’hôpital. En somme, c’est ce que l’on pourrait caractériser comme de la non assistance à personne en danger...

     

    Contrairement à ce que se sont évertués à marteler dans l’espace médiatique les Olivier Véran, les Karine Lacombe, ou encore les Jérôme Salomon, il existe donc bel et bien tout un arsenal de traitements efficaces pour lutter contre le virus, à la condition d’agir de manière assez précoce, pendant la phase virale... Des milliers de médecins de ville à travers le monde, rapportent ainsi avoir traité leurs patients avec par exemple, de simples antibiotiques, en relevant des améliorations spectaculaires sur l'état de leurs patients avec une diminution de 50 à 80 pourcents des hospitalisations et des décès, reléguant la gravité de ce virus à celle d’une grippe des plus classique. Pour ce qui est de l’ivermectine, elle serait en traitement précoce, efficace à 85 % pour diminuer le taux de mortalité de ce virus et qui plus est, il s’agit d’une molécule largement connue, sur laquelle on a tout le recul nécessaire. Ce médicament éliminerait le coronavirus à 99 %, comme cela a été confirmé lors d’études de micro-organismes. Que demander de plus?

    Autant dire que si ces traitements précoces avaient étés généralisés, il y aurait eu largement de quoi éviter d’avoir recours à toutes ces mesures au combien dévastatrices de confinement, de couvre-feu, de masques, ou à l’imposition d’une vaccination expérimentale généralisée et hautement hasardeuse sur la population... Manifestement, ces solutions peu onéreuses et faciles à mettre en œuvre sont superbement ignorées, délibérément écartées, car n’étant sans doute pas susceptibles de dégager de substantiels profits financiers pour Big Pharma...

    Aussi, pourquoi ne jamais avoir parlé des moyens efficaces pour renforcer notre immunité et consolider de manière préventive notre santé, au moment même où c’est justement le plus essentiel et décisif ? Le système immunitaire serait-il devenu lui aussi une "Théorie du Complot" ?

    D’ailleurs, pour en revenir sur le sujet de la chloroquine : pourquoi le 13 janvier 2020, soit tout juste avant le début de crise, la ministre de la Santé Agnès Buzyn avait-elle fait sans la moindre explication, passer un arrêté pour la faire classé au tableau C de la pharmacie en tant que substance vénéneuse, désormais uniquement disponible sous ordonnance, alors qu’auparavant, elle était directement accessible en vente libre ? Il faut bien avouer qu’il s’agit là d’un timing extrêmement curieux... Le sort semble d'ailleurs véritablement s'acharner sur l'hydroxychloroquine, puisque le 22 décembre 2020, par un malheureux concours de circonstance, la deuxième usine de production au monde de cette molécule, située tout près de l'aéroport international de Taïwan dans la province de Taoyuan a été ravagé par les flammes. Tandis qu'en France, la seule usine habilitée à fabriquer de la chloroquine près de Lyon a été placée en redressement judiciaire.

     

     

    Qui plus est, d’après le témoignage de l’humoriste Jean-Marie Bigard, qui aurait directement échangé en privé avec Emmanuel Macron, le Président lui aurait fait la confidence et l’aveu que s’il tombait malade, il prendrait immédiatement, le jour même le protocole de Didier Raoult. Cela n’empêche pas ce dernier de complètement nier ce protocole en tant que traitement et d’en limiter la diffusion pour le bas-peuple... Quel spectaculaire degré d’hypocrisie  !

    De son côté, Didier Raoult s’avoue littéralement abasourdi autour de la controverse et du scandale médiatique généré autour de l’hydroxychloroquine et résume ainsi la situation : «Honnêtement, si un jour on se met à réfléchir sur l’histoire de l’hydroxychloroquine qui est quand même l’histoire la plus fantasque que j’ai jamais vue en médecine de ma vie. C’est un médicament qui existe depuis quatre-vingt ans, qui a été prescrit à peut-être un tiers de la population du monde, qui en France est vendu à trente six millions de pilules par an et d’un coup, il y a toutes les autorités qui commencent à dire que c’est un truc épouvantable, criminel, qu’on va tous mourir d’arythmie cardiaque parce qu’on prend ce truc... C’est le truc le plus fantasque que j’ai jamais vu ou entendu... C’est inouï  !»

    Question subsidiaire, qu’est donc bien devenu l’essai clinique "Discovery" de l’INSERM sous la tutelle de Yazdan Yazdanpanah pour évaluer les différents traitements antiviraux ? Malgré les annonces fracassantes initiales du gouvernement, nous sommes sans nouvelles. Il semblerait bien que le projet ai lamentablement échoué... Dans cet essai, l’hydroxychloroquine a été torpillée en la testant sur des malades en phase avancée gravement atteints, alors que c’est un traitement qui ne fonctionne efficacement qu’en préventif, avant l’apparition des symptômes.  Tout porte donc à croire que cette étude peu concluante a été mise en place seulement pour gagner du temps, ou plutôt en perdre en attendant la sortie des vaccins, tout en bloquant les potentiels traitements... 

     

    Comme le disait Georges Clemenceau : «Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission!» Rappelons-nous aussi des conseils de ce vieux briscard et mafieux de Charles Pasqua«Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien.»

    Et que penser des déclarations du Dr Jean-Paul Hamon, le Président de la fédération des médecins de France, qui sur le plateau de LCI a affirmé qu’il avait eu connaissance d’une entreprise française très sérieuse qui a développé un petit boîtier que l’on peut brancher sur une prise secteur afin de nettoyer et purifier l’air de larges espaces, capable de détruire très facilement le virus. Il a de nombreuses fois essayé d’en faire part à Olivier Véran, mais ce dernier n’a jamais donné suite à cette solution pourtant si simple à mettre en oeuvre et qui permettrait de tout rouvrir très facilement et sans risques. De manière incompréhensible, le gouvernement ne s’est même pas intéressé à cette proposition... Sans doute parce que cette solution technologique n’est pas non plus compatible avec une vaccination de masse, qui semble être, et on se demande bien pourquoi, la priorité absolue depuis le début.
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    De plus, il s’avère que d’après le témoignage du chirurgien et urologue, leDr. Maudrux intervenant sur les ondes de Sud Radio, la France via l’INSERM, par l’entremise de l’épidémiologiste Dominique Costagliola et de Marisol Touraine, serait directement intervenue au niveau de l’OMS pour bloquer toute forme de traitement à base d’Ivermectine. Ils ont ainsi fait pression pour faire modifier les conclusions d’une étude demandée par Andrew Hill qui s’était avérée très concluante démontrant une efficacité spectaculaire de ce médicament, avec une diminution par deux des symptômes et par quatre de la mortalité. De même, le Dr. Tess Lawrie, chercheuse et directrice de "l’Evidence Based Medicine Consultancy", dans un avis lancé aux populations du monde entier, confirme bien que l’Ivermectine fonctionne, mais que tout est fait pour retarder l'approbation de ce traitement.

    En outre, deux médecins généralistes mosellans, les Dr. Erbstein et Dr. Gastaldi ont étés sommés de se taire par le "Conseil de l'Ordre des Médecins", alors qu'ils avaient trouvé un traitement très encourageant basé sur un protocole à base d'azithromycine et de Zinc efficace contre la COVID-19. Comment ne pas voir dans tous ces agissements criminels, une volonté délibérée de bloquer toute forme de traitement thérapeutique et de sortie de crise ? Si on n’enclenche pas la chaîne de soins pour les malades, si on ne diagnostique pas, si on n’examine pas et si on ne traite pas délibérément les patients et bien alors, les situations cliniques ne peuvent qu’empirer et les services de soins ne peuvent être que saturés !

     

    Jamais, on aura vu une telle approche dans toute l’histoire de la médecine, qui a toujours reposé sur le diagnostic du médecin, suivie d’un traitement adapté et rapide ! Cette négation relève d’un refus de soigner et donc d’un véritable crime, avec au 07 mai 2020, une surmortalité estimée à 25.000 morts, comme le rapporte le Dr. Christian Peronne, (l'ancien Président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé publique et ancien membre expert à l’OMS sur la politique vaccinale en Europe) dans son livre réquisitoire explosif "Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?"... Cet aveuglement volontaire est le péché originel de ce gouvernement, celui dont découle toutes les autres fautes et crimes ultérieurs.

    C’est comme si dans sa profonde duplicité, Emmanuel Macron pour répondre à la guerre, à la croisade sanitaire qu’il avait déclaré contre ce virus, avait tout simplement choisi de délibérément désarmer les Français pour y faire face ! Cela relève de la haute trahison du peuple de France et mériterait une destitution et un jugement en bonne et due forme. Mais, il faut bien comprendre que la négation de tout traitement était la condition préalable sine qua non pour l’autorisation de la mise sur le marché des différents vaccins... Et il fallait aussi dans un premier temps déclarer l’épidémie comme une Pandémie pour légitimer leur production.

    Comme le dit l’essayiste Arnaud-Aaron Upinsky : «Il faut refuser le vaccin, parce qu’un chantage au "hors du tout vaccin, point de salut" est contre toute raison, toutes les règles. On vous dit, appliquez les règles, les gestes barrières... Mais eux n’appliquent pas les règles, ils n’ont aucun geste barrières, ni pour la morale, ni pour l’humanité, ni pour les règles scientifiques, ni pour le bon sens, ni même pour la logistique !»

     

    Vacciner, oui mais pourquoi ?

    Par ailleurs, pourquoi développer un vaccin pour un virus de la famille des coronavirus, qui ont pour principale caractéristique d’êtres génétiquement particulièrement instables et hautement mutagènes avec une souche qui évolue aussi souvent... En toute logique, la protection ne peut être durable avec un virus qui génère l’apparition d’autant de variants, comme on peut déjà le voir actuellement, avec l'apparition des variants Brésilien, Anglais, Sud-Africain, ou encore Breton.. De plus, il faut savoir que ces virus mutent sur la protéine "Spike", qui est justement responsable de l’infectivité et qui est celle qui varie le plus. Il se trouve que c’est précisément aussi celle qui est ciblée par ces vaccins à "ARN messager"... Dès lors que la maladie n’est en soit pas immunisante, comment le vaccin pourrait-il alors bien l’être ? Aussi, pourquoi alors prendre le moindre risque avec notre santé, sur de potentiels effets secondaires à très long terme ? Le comble étant encore d'entendre dans un mémoire officiel, le ministre de la Santé Olivier Véran, avouer à demi-mots, en guise de réponse à un retraité vacciné qui avait saisit le "Conseil d'État" pour demander à recouvrer sa liberté : «L'efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente, du fait de l'apparition de nouveaux variants.» mais aussi que «Les personnes qui ont été vaccinées sont celles qui sont les plus exposées au formes graves en cas d'inefficacité.»

     

    D’après le virologue et expert mondial le Dr. Geert Vanden Bossche, ayant travaillé pour la GAVI et Global Alliance, "la Fondation Gates", avant de devenir indépendant, une vaccination de masse réalisée conjointement à une période épidémique, pendant une circulation virale forte est extrêmement dangereuse. Elle est la condition idéale pour entraîner des mutations du SRAS-COV-2 et donc l’apparition de nouveaux variants. Car, le virus cherche naturellement à adopter une stratégie de contournement rapide des anticorps spécifiques qui ont étés générés par la vaccination. Ces derniers devenant alors rapidement caduques, c’est ce phénomène que l’on appelle «l’échappée immunitaire». D’après ce scientifique, cette vaccination de masse en pleine pandémie a donc tout le potentiel pour transformer ce virus, qui somme toute s’est avéré pour le moment plutôt bénin, en une redoutable «bombe biologique de masse». Il pourrait bien devenir super infectieux et capable de dépasser notre système de défense le plus précieux, à savoir notre système immunitaire.

    Comme le virus échappe très rapidement au vaccin, cette stratégie vaccinale n’a donc aucune pertinence ! De ce fait, l’argument culpabilisant et responsabilisant comme quoi celui qui ne serait pas vacciné, ferait courir un risque inconsidéré aux autres peut donc être totalement retourné. En effet, la vaccination induit l’apparition de nouveaux variants du virus. En induisant de nouveaux virus, on pourrait se retrouver face à une nouvelle forme encore plus virulente et pathogène, comme l’a aussi signalé le biologiste Jacques Testart. Chaque nouveau vacciné devenant alors un foyer potentiel pour l’émergence de nouveaux virus. De l'aveu même du gouvernement, lorsque l'on se vaccine, on augmente le risque de développer une forme grave de la maladie ou de mourir, en devenant particulièrement vulnérable aux nouveaux variants et aux réinfections. Les vaccinés abaissent donc leurs défenses immunitaires. Et comble de l'absurdité, les vaccinés seraient même plus contagieux.

    Donc en résumé, si on récapitule : vous vous vaccinez, donc vous devenez plus vulnérable aux variants, donc vous devez vous vacciner contre les variants, donc vous propagez davantage le variant autour de vous, ce qui favorise l'apparition de nouveaux variants contre lesquels vous devrez à nouveau vous vacciner, car vous serez davantage vulnérable, et ainsi de suite. On aboutit à une boucle infernale sans fin, au serpent qui se mort la queue.

     

    Assistons-nous donc ici à la naissance d’un nouveau et immense marché mondial, d'une société de la vaccination continuelle, avec l’imposition régulière de nouveaux vaccins toutes les quatre-saisons et l’entretien permanent d’un carnet vaccinal ? C’est bien ce que semble annoncer Stéphane Bancel, le PDG de "Moderna", qui nous assure que le virus serait là pour toujours et que la piqûre devra donc se renouveler tous les ans! Et pourquoi pas à l’apparition de chaque nouveau variant... Pfizer ne parle maintenant même plus de pandémie, mais "d'endémie", c'est-à-dire un business plan et une manne financière assurée pour toujours. Les actionnaires se frottent déjà les mains... La belle affaire ! Il ne faut dont surtout pas consentir à cet engrenage infernal, si l’on ne souhaite pas être transformé en patient chronique captif de ces nouveaux marchés pharmaceutiques simplement sur la vague promesse que ces produits permettraient potentiellement de ne pas contracter de forme grave d’une infection virale qu’ils semblent par ailleurs incapables de prévenir.

    Curieusement, pour ce nouveau vaccin, comme par enchantement, on débloque de faramineuses sommes pour acheter ces millions de doses et les infrastructures de conditionnement qui vont avec. De même, Les médecins sont grassement payés pour vacciner leurs patients, jusqu’à 420 euros de forfait pour une demi-journée de 4 heures. Alors que pourtant, cela fait des années que l’on a rien, strictement rien investi dans l’hôpital public, car il n’y aurait pas, dixit Macron«d’argent magique !» Bien au contraire, ce dernier a durant des décennies été méticuleusement et consciencieusement saboté, de gouvernements en gouvernements... Et là, avec cette crise sanitaire et son confinement inédit, on fait mine de se préoccuper de la santé des gens, en la faisant passer pour la toute première fois avant le calcul froid du profit économique... À d’autres ! N’oublions jamais que ce même gouvernement est allé il y a quelques mois, lors de manifestations de rue jusqu’à martyriser le personnel soignant. Des infirmières furent même traînées sans le moindre ménagement au sol, ou par les cheveux par les forces de l’ordre, alors qu’elles ne faisaient que crier leur profond désarroi et réclamer de manière bien légitime des moyens décents pour les hôpitaux...

     

    Bien entendu, comme on pouvait s’y attendre au niveau de "l’Union européenne", une totale opacité sur les négociations et les contrats passés avec les laboratoires de "Big Pharma" a été de mise. Aucun compte à rendre sur les faramineuses sommes engagées en argent public, sans pour autant que les brevets ne tombent dans le domaine public, comme l’a dénoncé l’eurodéputée Michèle Rivasil.

    Aussi, pourquoi chercher à vacciner à tout prix tout le monde, sans avoir le moindre recul sur les effets secondaires au niveau de la santé pour les mois et années à venir, le tout au mépris du plus élémentaire principe de précaution ? Cela est parfaitement contraire à tous les grands principes éthiques du soin, au "Code de Nuremberg" et à la "Déclaration d’Helsinki" de 1964, qui est le document officiel de l’Association médicale mondiale ! C’est juste insupportable.

     

    Des vaccins sans risques, vraiment ?

    D’ailleurs, ces vaccins semblent êtres tout sauf sans risques, car il semblerait d’après les statistiques du CDC américain, que rien qu’avec le vaccin développé par la firme "Pfizer", on dénombrerait déjà parmi les premiers vaccinés, une proportion d’effets secondaires graves de l’ordre de 2,8 pourcents, ce qui est tout simplement considérable, surtout pour une maladie qui à la base, ne frapperait tout au plus que 0,5 pourcents de la population et presque exclusivement les personnes âgées ! Et ne parlons même pas des potentiels problèmes qui ne manqueront sans doute pas de se déclarer ultérieurement !

    Pire, suite à la campagne de vaccination en cours, les décès mystérieux survenus juste après l’injection commencent à s’accumuler dans différents pays, comme à Miami, au Portugal, en Israël, en Suisse ou en Islande... Au 22 janvier, le CDC rapportait 329 décès aux États-Unis et 285 dans d’autres pays et pas moins de 9.516 incidents. En Israël, qui est très en avance sur cette campagne vaccinale, les premières remontées du terrain sont catastrophiques, avec une explosion spectaculaire de la mortalité pour le moi de janvier sur les populations les plus fragiles. En trois mois, le vaccin de "Pfizer" aurait le triste palmarès de 6.000 morts juste pour l'Union-européenne.

    De même, dans les deux mois suivant l’injection, le nombre de contagions n’a pas du tout été contenu par le vaccin, si bien que les malades ont paradoxalement étés multipliés par trois ! C'est à une explosion épidémique à laquelle nous assistons dans les pays qui ont le plus vacciné. Le ministère de la santé déclare que sur 100.000 personnes vaccinées, 11% de ces personnes seraient devenues COVID positif en seulement deux semaines, soit une probabilité beaucoup plus élevée de devenir COVID positif dans la population générale. Un comble ! On a pu observer le même phénomène en Angleterre, avec un mois de janvier catastrophique, mais également au Émirats Arabes Unis, où les contaminations journalières sont supérieures de quatre fois et le nombre de morts journaliers de deux fois par rapport à la situation d’avant le début de la campagne. Ce constat alarmant peut être attribué à l’effet des "anticorps facilitateurs", qui font que paradoxalement, après la vaccination, le virus se diffuse encore plus vite. C’est un phénomène bien connu lorsque l’on vaccine en pleine épidémie et qui s’était déjà produit dans le cadre du vaccin contre la dengue. De plus, d'après la Généticienne Alexandra Henrion-Caude, une personne vaccinée émettrait jusqu'à six fois plus de particules virales. En somme, sur les trois pays champions de la vaccination concernant les trois premiers mois, les résultats précoces sont déplorables ! En France, le personnel soignant, qui était prioritaire pour la vaccination s’est vu touché par des effets secondaires massifs, certes souvent assez bénins, mais avec jusqu’à 25 pourcents du personnel affecté se trouvant dans l’incapacité momentanée de travailler. À tel point que le service hospitalier a été contraint de stopper en toute urgence la vaccination pour l’échelonner par service et limiter la casse et les arrêts de travail intempestifs !

    Et que penser du fiasco intégral du vaccin "AstraZeneca", qui après plusieurs morts et des centaines d’effets secondaires très graves relevés à travers le monde, avec notamment des risques de thromboses, de formation de caillots sanguins et la disparition massive de plaquettes, a été massivement suspendu dans une vingtaine de pays. Ainsi, le 15 mars 2020, Emmanuel Macron a annoncé l’arrêt de ce vaccin, alors même que tout juste quatre jours avant, le ministre de la Santé Olivier Véran se voulait des plus rassurant en affirmant péremptoirement que d’après l’Agence Nationale de la Santé, il fallait avoir une parfaite confiance dans ce vaccin. Pire que cela, la veille de l’annonce du retrait par MacronJean Castex avait lui aussi maintenu qu’il n’y avait aucun problème avec ce vaccin, alors même qu’il était déjà retiré dans huit pays à ce moment là. Comment placer sa confiance en de tels affabulateurs pathologiques ? Peut-être, faut-il voir dans ce retrait une énième manœuvre, une stratégie visant à imposer les deux autres vaccins à base de thérapie génique et d’"ARN Messager".

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