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Le fil d'Ariane - Page 70

  • Un bien sombre futur - Article d'un médecin à la retraite

    45•Un bien sombre futur

    Source : https://marchenry.org/2021/05/20/45un-bien-sombre-futur/?fbclid=IwAR3Et_DjYnkfDBQJXNE-7pVUg1eviuPRvh2BSwbRGkYGmC59td9wDMmwDfs

    Épisode 45 Covid-19, mai 2021

    Audio : avenir sombre.mp3

    Des nouvelles du front…

    Cela fait environ deux mois que j’envisage de faire une chronique sur les vaccins. Hélas, il y a beaucoup de choses urgentes à faire, même pour un retraité. Tout d’abord, sachez que je vais bien. Je ne porte quasiment jamais le masque. Je n’utilise aucun gel hydro-alcoolique afin de ne pas abîmer mes mains. Bien sûr, je ne me suis pas fait vacciner alors que j’ai plus de 60 ans. Ceci alors que j’ai des tas de co-morbidités (comme ils disent). Je vois mes enfants et petits-enfants quand j’en ai envie sans aucun geste barrière.

    Bref, je suis un inconscient (comme ils disent). Il faut dire que depuis le printemps 2020, pas le moindre symptôme de COVID-19 à l’horizon. Aucune grippe et aucun rhume depuis près de deux ans. Pourquoi me sentirais-je concerné et contaminé par la folie ambiante ? Je suis déjà mort à 47 ans. Donc, pas de frayeur particulière à l’idée de partir à nouveau.

    Quand les modèles font la loi

    Petite piqûre de rappel. Il y a moins de deux ans, j’étais un être normal. Aujourd’hui certains me considéreront comme un psychopathe ambulant. Il y a moins de deux ans, il fallait présenter des symptômes pour être déclaré malade. Aujourd’hui, on peut être déclaré malade sans le moindre symptôme. Cherchez l’erreur. Elle est assez facile à trouver. Les porteurs sains (comme ils disent), sont en fait des gens qui ont passé un test foireux. C’est aussi simple que cela. Contrairement à beaucoup d’autres, je suis sûr de ma science. Elle me dit que tout ce qui est répété en boucle sur les médias officiels pue l’embrouille à plein nez.

    Pour des raisons très simples à comprendre on manipule les chiffres et on joue sur les étiquettes. C’est en fait la rançon du progrès et du développement de l’informatique. Car, agiter des chiffres ne signifie en rien que l’on fait de la science. Les modélisations pullulent, Didier Raoult nous le dit sans ambages. On oublie ainsi dans la foulée que ce ne sont après tout que des modèles. Prendre un modèle pour une réalité est le pire péché qu’un scientifique puisse commettre. C’est aussi la source de tous les abus de pouvoirs et toutes les manipulations machiavéliques.

    De la nanotechnologie partout…

    En moins de deux ans, on vous a privé de tout ce qui faisait votre joie de vivre. Il y a de très fortes chances que ces libertés perdues ne soient jamais retrouvées. Car, il y a les fameux variants qui vont vous obliger à accepter vaccination sur vaccination ad vitam æternam. Il faudra toujours se méfier de son voisin et vivre masqué comme des voleurs. Il est clair aujourd’hui que c’est la vaccination de masse qui est responsable de l’apparition de ces variants. C’est Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui le dit. Pour avoir travaillé avec lui, je puis vous assurer qu’il a toute sa tête et sait de quoi il parle.

    Parlons un peu de la vaccination qui est en fait, dans certains cas, une véritable manipulation génétique. Comment être sûr que l’on ne va vous injecter au côté des ARN messagers des nanobots ? Car, les nanotechnologies sont développées depuis au moins 40 ans. Je le sais, car j’ai assisté à leur naissance et à leur essor. Avant de m’intéresser à l’eau, ma spécialité était précisément la fabrication de nanoparticules convenablement fonctionnalisées. J’ai même fait des cours sur ce sujet à des étudiants. Car cela donnait à la médecine du futur des perspectives vraiment intéressantes. Vu la tournure prise par les évènements, je suis bien content de ne plus avoir à enseigner ce genre de choses.

    Un Graal biologique…

    Pour les quelques naïfs qui restent, il faut savoir que notre sang est déjà chargé de nanoparticules. Car on en met partout. Dans les aliments, dans les médicaments, dans la literie, dans le frigo, dans les jouets pour bébés, dans les produits cosmétiques. La contamination est massive. Alors quelques nanoparticules de plus ou de moins, on n’est plus à cela près… Sauf que les « nouvelles » peuvent bénéficier de la miniaturisation à outrance des composants électroniques.

    On atteint là le Graal du délire scientifique. Contrôler les gens à distance et avant leur naissance. Certains bébés ne seront plus comme ceux d’avant. Ils seront plus forts, plus intelligents et surtout plus résistants aux maladies. Pour que cette technologie voit le jour, il faut des cobayes. Humains de préférence. Cela va de soi. Quoi de mieux qu’une vaccination de masse ? Les plus fragiles vont mourir. Le méchant COVID sera là pour expliquer le décès. Car, ils auront évidemment une PCR positive. Certains ne mourront pas, mais développeront plutôt des maladies étranges ou incurables. Certains enfin s’en tireront sans dommages apparents. Mais cela est-il certain ?

    Complotisme ou réalisme ?

    Une chose est sûre cependant. Il y aura un tas de gens en blouses blanches qui feront moult statistiques. Les chiffres rendus publics seront manipulés pour être présentables. Les chiffres bruts seront pour leur part tenus secret. On va enfin pouvoir savoir si l’être humain peut effectivement être manipulé génétiquement avec, on l’espère, une casse minimale. Bien évidemment, un tel scénario fleure bon le complotisme effréné. En tant que scientifique, je ne peux hélas pas affirmer qu’un tel scénario est impossible. Je n’ai aussi aucune idée de sa probabilité de succès. Une chose est cependant sûre. Cette probabilité n’est pas nulle.

    De plus, l’on parle officiellement de « Grand Reset ». Toutes les sociétés qui fabriquent ces « vaccins » (comme ils disent), ont été lourdement condamnées dans le passé pour corruption voir fraude. Seraient-elles subitement devenues honnêtes et vertueuses ? Mon petit doigt me dit que non. Il y a aussi le fait que l’on réagit beaucoup mieux si l’on anticipe les évènements à venir. Ce n’est pas du complotisme, mais simplement du réalisme. Envisager le scénario du pire est un moyen très efficace pour réagir quand il en est encore temps. Il doit quand même bien exister des avocats vertueux aptes à mettre des bâtons juridiques dans les roues de ceux qui clament que la vaccination de masse est la seule porte de sortie.

    Vivre avec une pandémie mondiale…

    Car, revenons à mon modeste cas. Durant toute cette « crise sanitaire » je ne suis pas resté inactif. Si je me moque des gestes barrières et des masques, c’est parce que j’ai agi en préventif. J’ai déjà donné ma recette dans mes chroniques précédentes. Pour ceux qui ont oublié : vitamine C liposomale, bleu de méthylène dosé à 75 mg, mycéliums, zinc en gélules et huile essentielle de ravintsara. Je sais, tout ceci n’a pas été validé par des essais randomisés en double aveugle. Je m’en fiche complètement. Tout ce qui m’intéresse, c’est d’être infecté. Ceci afin de développer des anticorps de manière naturelle. Je parle ici sous l’autorité scientifique du Professeur Didier Raoult.

    Tout ceci, avec le minimum de symptômes. Pas de soucis avec les variants, car mon système immunitaire est là pour évoluer au gré des mutations virales. La combinaison que j’ai testée vient de mes connaissances scientifiques. Pas d’un quelconque laboratoire pharmaceutique. J’ai confiance en ces connaissances acquises en quarante ans de labeur acharné. Jusqu’à présent, cela m’a plutôt bien réussi. Certains prétendront que c’est un coup de chance. Pas si sûr. Car, le bleu de méthylène a été testé avec succès contre la COVID-19. De plus, je ne me suis pas contenté de concocter un traitement ad hoc pour ma petite personne. J’ai fait des chroniques pour le grand public. J’ai aussi publié un article scientifique pour que tous les experts soient au courant. Ceci dès le début de la pandémie.

    Des nouvelles inquiétantes…

    Je suis intimement persuadé que la « vaccination de masse » (comme ils disent) n’est en rien une porte de sortie. C’est plutôt une prison chimique de laquelle il sera très difficile de ressortir intact. L’avenir est dans une vie normale avec des mesures préventives pour les plus fragiles. Car, je le rappelle, je suis considéré comme une personne à risque avec co-morbidités (comme ils disent). Il y a de la bonne science derrière le bleu de méthylène, l’hydroxychloroquine, les antibiotiques, l’ivermectine et bien d’autres. Ceux qui prétendent le contraire ne font pas de la science, mais du commerce. C’est aussi simple que cela.

    Bon, d’ailleurs cela bouge, scientifiquement parlant, autour de la vaccination contre la COVID-19. Je ne vais pas relayer ici les multiples alertes qui circulent actuellement sur internet. Il faut garder la tête froide. Ne parler que de ce qui est sûr et certain et bien référencé. C’est la seule manière de lutter efficacement contre la propagande qui fait actuellement rage. On a donc appris très récemment que la protéine S du virus SARS-CoV-2 isolée de la capside virale était responsable d’une sous-expression du récepteur ACE2. Concrètement, cela signifie que toutes les cellules des tissus épithéliaux vasculaires sont gravement endommagés.

    Toxicité de la protéine S

    La conséquence est une inhibition de la fonction mitochondriale en raison d’une production massive d’espèces réactives de l’oxygène. Cela entraîne automatiquement un glissement métabolique vers la glycolyse. D’où des cancers et des maladies neurodégénératives qui se profilent à l’horizon. Cela a été clairement expliqué dans l’article disponible ici. Rappelons tout de même le principe de base de la vaccination. Il s’agit de mettre un organisme en contact avec une forme atténuée d’un virus ou d’une bactérie. Ou bien alors de n’utiliser qu’une protéine spécifique de ce même virus ou bactérie. L’inoculation de ce matériel biologique permet de fabriquer des anticorps qui protègent l’organisme vacciné d’une infection ultérieure.

    Le problème que l’on rencontre ici, c’est que c’est la protéine S qui est toxique par elle-même. Via un vaccin AstraZeneca, par exemple, on vous inocule donc un poison, mortel pour vos mitochondries. C’est là une nouveauté tout à fait imprévue. Car, dans un vaccin classique, la protéine injectée n’a aucun effet par elle-même. Elle ne sert que de marqueur pour le système immunitaire. Pour ce qui concerne les « vaccins » par ARN messagers, c’est encore pire. Car là on vous injecte un matériel génétique qui fait que vos propres cellules produisent cette protéine S toxique pour les mitochondries. Plus besoin d’être en contact avec le virus SARS-CoV-2.

    Manipulation du génome humain

    En gros, on s’est « suicidé » (comme ils ne disent pas). D’où aucune poursuite judiciaire possible si vous avez signé un papier où vous acceptez l’injection fatale. Un acte tout à fait diabolique. Qui va bien au-delà de ce qui était couramment pratiqué dans les camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale. Hélas pour ceux qui se sont déjà fait vacciner, cela n’est pas la fin de la saga. Car on a aussi récemment démontré que l’ARN messager injecté était capable de s’insérer dans un génome humain. D’où une production de la protéine S tueuse de cellules épithéliales de manière permanente (et non plus transitoire).

    Pour ceux qui ne comprennent pas, vous êtes simplement devenu une bombe biologique. Car celui qui appuie sur le détonateur à chaque division cellulaire n’est plus un agent extérieur. C’est tout simplement vous-même. Là ce n’est plus diabolique, mais tout simplement pervers. Enfin, l’horreur suprême sera atteinte quand on aura démontré qu’un ARN messager est capable de s’insérer dans les gamètes. Car là, en plus de devenir une bombe biologique ambulante, vous pourrez transmettre cette tare mortelle à toute votre descendance. Ceux qui se permettent de jouer ainsi avec votre corps ne sont plus des pervers diaboliques, mais de dangereux psychopathes.

    Les « vaccins » actuels sont dangereux

    Désolé d’être aussi brutal, mais l’heure est vraiment grave. Un bon conseil pour conclure. Refusez, dès à présent, toute « vaccination » basée sur la protéine S du SARS-CoV-2. Pour ceux qui sont déjà vaccinés, tout n’est heureusement pas perdu. Cela fera l’objet de ma prochaine chronique.

    Par Marc HENRY

  • LE VACCIN : LA SOUPE DU DIABLE

    LE VACCIN : LA SOUPE DU DIABLE

    Audio : la soupe du diable.mp3

    N’attendez pas que cela vous concerne pour être concerné!

    Tout est vrai 
    Ces produits sont dans les vaccins et ne sont pas inoffensifs.

    Ce qui suit est tellement gros qu’on a du mal à y croire.
    ALUMINIUM (adjuvant) :
     Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d’être la cause de la maladie d’Alzheimer, de certaines démences, de comas et d’attaques. Responsable également d’allergies cutanées. Lourdement impliqué dans la myofasciite à macrophages.
    SULFATE D’AMMONIUM :
     Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire.
    BÊTA-PROPIOLACTONE :
     Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. Un poison suspecté d’attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens.
    LEVURES GENETIQUEMENT MODIFIEES (OGM),
    ADN BACTERIEN OU VIRAL D’ANIMAUX :

    Substances qui peuvent se combiner à l’ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues.
    LATEX :
     Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital
    GLUTAMATE DE SODIUM:
     Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes- entraînant des malformations et monstruosités- et ses effets sur la descendance. Responsable d’allergies.
    FORMALDEHYDE (formol) :
     Constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d’occasionner des problèmes gastro-intestinaux; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
    MICRO-ORGANISMES
     : Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé ensuite chez les humains dans les os, l’enveloppe des poumons – mésothélium, dans les lymphomes et les tumeurs du cerveau.
    POLYSORBATE 80 :
     Connu pour causer des cancers chez les animaux.
    TRI(N)BUTYLPHOSPHAT E :
     Suspecté d’être un poison pour les reins et les nerfs.
    GLUTARALDEHYDE:
     Poison s’il est ingéré; responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation
    GELATINE:
     Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peau de porcs. Responsable d’allergies.
    GENTAMYCINE ET POLYMYXINE B :
     Antibiotiques toxiques pour les reins et le système nerveux; responsables d’allergies pouvant être mortelles.
    MERCURE (conservateur) :
     Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la mœlle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l’intoxication au mercure sont multiples, et certains sont superposables aux désordres autistiques.
    NEOMYCINE :
     Antibiotique qui perturbe l’absorption de la vitamine B6. Un défaut d’assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d’épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelles. Toxique pour les reins et le système nerveux.
    PHENOL / PHENOXYETHANOL :
     Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire.
    BORATE DE SODIUM (Borax) :
     Utilisé comme insecticide et comme raticide (mort aux rats !) – et contenu dans le très à la mode Gardasil.
    CELLULES HUMAINES ET ANIMALES :
     Des cellules humaines provenant de tissus de foetus; de l’albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton; de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins de chien, du coeur de boeuf, des reins de singe, des embryons de poulets, des oeufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire leucémie des poules, des oeufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc.

    TOUTE LOI MARTIALE ÉCRASE LA CONSTITUTION ET LES DROITS DE L’HOMME

    Notez qu’une loi d’exception ou une loi martiale, suspend «provisoirement» toutes les autres lois, y compris la constitution. .. À noter que la loi française menace déjà de 6 mois d’emprisonnement et de 3.750 € d’amende les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants… Le gouvernement aura-t-il peur d’aller trop loin ? Pas sûr… Voyez plutôt : En novembre 2007 : Le procureur du Maryland a distribué des citations à comparaître à plus de 1600 parents d’enfants qui n’ont pas fourni de certificat de vaccination. Puis il a fait rassembler les enfants comme du bétail dans un palais de «justice», pour des vaccinations forcées, pendant que la police montait la garde avec des fusils d’assaut et des chiens d’attaque. À l’intérieur, les enfants ont été vaccinés de force.

    L’État du Maryland utilise les tactiques de la Gestapo pour imposer sa volonté médicale sur la population, dépouillant ainsi les parents de leurs droits de décider comment ils souhaitent gérer la santé de leurs enfants. Les autorités sanitaires avaient annoncé leur intention d’arrêter les parents, de les jeter en prison, et de leur enlever leurs enfants, s’ils continuaient à refuser de les faire vacciner.

    Comme de plus en plus de parents sont informés des dangers des vaccinations et de leurs liens avec l’autisme et autres maladies neurologiques redoutables, les autorités sanitaires des États se tournent de plus en plus vers la médecine «à la pointe du fusil», afin de forcer les gens à se soumettre. Même l’Association des médecins et des chirurgiens (AAPS) a annoncé en novembre 2007 sa très forte opposition à la campagne de vaccination de la médecine «à la pointe du fusil».

  • Du Dr Denis Agret cas covid19 sans précision = cas covid confirmé

    Article France soir du 16/04/2021 : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-avec-dr-agret-un-point-important-sur-la-vaccination-avec-436-deces

    diapos : https://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/202100416_fs_docteur_denis_agret.pdf

     

    Lecture audio de l'extrait ci-dessous : cas covid sur évalués.mp3

    Du Dr Denis Agret

    Médecin depuis 15 ans aux urgences et également en santé publique, médecin  pour une fondation de 7 200

     EHPAD en France

    Lien : https://twitter.com/AgretDenis/status/1396844614716383232

    "Les certificats contenant un terme Covid-19 sans précision mais sans terme négatif seront également comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé »."

    Il faut comprendre quoi??

    Un covid sans précision = un covid confirmé...

    Franchement y a pas 1 problème ???

    Article : https://www.cepidc.inserm.fr/causes-medicales-de-deces/identification-automatique-des-cas-de-covid-19

    Identification automatique des cas de Covid-19

    Le CépiDc publie les statistiques de mortalité par Covid-19 en France, pour l'instant fondées uniquement sur la certification électronique des décès, sur un site dédié.

    Le site sera progressivement enrichi par les données issues des certificats médicaux de décès papiers, suivant la dynamique de leur transmission et de leur traitement, soit au minimum deux mois après le décès.

    Les statistiques de mortalité par Covid-19 se fondent sur le texte saisi par le médecin certificateur. Les libellés des causes de décès sont analysées et un algorithme décisionnel a été élaboré pour identifier les cas de covid-19 suspectés ou confirmés pour lesquels une infection à covid-19 est mentionnée sur le certificat.

    Analyse des certificats de décès

    Covid-19 confirmés

    Les certificats contenant un terme Covid-19 et un terme « confirmé » seront comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé ».

    Les certificats contenant un terme Covid-19 sans précision mais sans terme négatif seront également comptabilisés comme décès par « Covid-19 confirmé ».

    Covid-19 suspectés

    Les certificats contenant un terme Covid-19 et un terme « suspecté » seront comptabilisés comme décès par « Covid-19 suspecté ».

    Autre causes

    Les certificats contenant un terme Covid-19 accompagné d’un terme négatif ou sans terme Covid-19 seront comptabilisés comme décès « Autres Causes ».

    Méthode et définitions

    L’identification des cas de mortalité en présence du Covid-19 dans la base de données du CépiDc est faite à partir de l’analyse des libellés présents dans les causes brutes saisies par le médecin sur le certificat de décès. Sont considérés uniquement les décès ayant eu lieu après le 23 Janvier 2020, date d'identification, sur le territoire français, du premier cas de contamination par Covid-19 selon les autorités.

    Au début de la crise sanitaire, les libellés évoquant le terme « Covid-19 » ont été définis à partir d’une expertise médicale et enrichis au fur et à mesure de l’analyse des certificats de décès.

    Les termes évoquant une négativité (non Covid-19) ont été définis grâce à l’analyse quotidienne exhaustive des certificats contenant un terme Covid-19 pendant tout le mois d'avril, puis au fur à mesure de l'analyse des certificats.

    Seul le codage expert des causes médicales de décès permettra d’ajuster l’identification des décès par Covid-19.

    Termes utilisés

    Pour en savoir plus sur les termes utilisés pour identifier les cas de covid-19 et leur statut (confirmé ou suspecté), un fichier a été établi contenant le détail des libellés.

    Le caractère % qui encadre un libellé permet de dire "contient le libellé"

    Si le caractère % est à gauche : "le texte finit par le libellé"

    Si le caractère % est à droite : "le texte commence par le libellé"

    Libellés Covid-19.txt

    Traitement des doublons et des volets médicaux complémentaires

    Les décès pour lesquels la date de décès, la date de naissance, le sexe, et le code postal de décès sont identiques sont identifiés comme doublons (2 certificats pour un décès). Ils sont arbitrés selon la règle suivante : si un des certificats correspond à un volet médical complémentaire, ce sont les données de ce dernier qui sont prises en compte. Sinon, ce sont les données du certificat reçu le plus tard au CépiDc.