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  • Une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale d’après le Docteur Jean-Gabriel Balique

    Une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale d’après le Docteur Jean-Gabriel Balique

    Audio : catastrophe vaccinale.mp3

    Lien : https://www.sxminfo.fr/128255/11/10/2021/une-catastrophe-sanitaire-est-en-cours-a-cause-des-vaccins-et-de-lobligation-vaccinale/amp/

     

     

    Le Docteur Jean-Gabriel Balique affirme qu’une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale

    Dans une lettre ouverte datée du 2 Octobre 2021 et adressée aux sénateurs et députés, le docteur Jean-Gabriel Balique, membre de l’académie de chirurgie, alerte sur les conséquences désastreuses du vaccin et invite à la remise en cause d’une obligation qui n’a aucun effet sur l’immunité collective escomptée et qui en plus semble exposer les vaccinés à des Covids plus virulents, voire mortels et à une contagiosité plus importante. Il est clair que le vaccin ne répond pas vraiment à son objectif de protection, d’autant plus qu’il faut multiplier les doses !

    Le docteur Balique cite Israël en exemple pour démontrer que désormais ce sont les doublement, voire les triplement vaccinés qui occupent les lits d’hôpitaux, ce qui remet en cause la stratégie sanitaire reposant uniquement sur les vaccins, à l’exclusion de tout traitement curatif ! Le Portugal et l’Islande très vaccinés ont des résultats équivalents à Israël. Il ne comprend pas comment on peut encore continuer à imposer une vaccination qui ne fonctionne pas et qui a le terrible désavantage de provoquer de graves blessures, d’engendrer des maladies invalidantes et même des décès qui ne sont pas suffisamment remontés à la pharmacovigilance.

    Il dénonce » les complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables » et le rejet du serment d’Hippocrate dans toutes ses composantes : « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé…dont le gouvernement se rend responsable et coupable. Le docteur Balique s’appuie sur l’agence européenne du médicament qui au 2 Octobre recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications, dont 1 million graves, et affirme que de nombreux cas ne sont pas du tout répertoriés.

    Il souligne que parallèlement chez les non vaccinés sans co-morbidité, il n’y a aucun décès du Covid, alors pourquoi rendre encore obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques ?

    L’ignorance du principe de précaution ne va-t-il pas conduire à un potentiel scandale à venir ? Comme de nombreux citoyens en France, le Docteur Balique a constaté la censure et le muselage des soignants auxquels on interdit de s’exprimer alors que nous sommes dans le pays des droits de l’homme ! Ces soignants qui redoutent à juste raison un vaccin dont ils observent dans leur pratique les effets néfastes sur les vaccinés accueillis à l’hôpital ou dans leur cabinet.

    Pour toutes ces raisons, le docteur Balique demande la suppression du Pass sanitaire et l’arrêt de la propagande mensongère » tous vaccinés = tous protégés « . La pandémie ne s’accompagne que d’une mortalité de 0, 05 %, uniquement représentée par les personnes à risque et dont la moyenne d’âge des décès est de 83 ans.

    Intervenant au nom des victimes du vaccin et des soignants qui le refusent, le docteur Balique insiste sur le fait que ceux qui auront pris la responsabilité de l’obligation vaccinale conduisant à de graves complications auront été prévenus, et sous entend que le jour où la vérité éclatera, car elle éclatera, ils ne pourront pas se défausser de leurs responsabilités ni des dommages qu’ils auront engendré par leurs décisions.

    Je suis heureuse que ce médecin exprime exactement ce que j’ai pensé, analysé et expérimenté de la situation depuis la mise en place du scandaleux Pass sanitaire et des mesures incroyablement liberticides et attentatoires aux droits humains et citoyens accordés à tous sans aucune discrimination ni conditions. J’en ai porté témoignage et j’ai alerté à maintes reprises dans de nombreux articles dès le lendemain de l’allocution incendiaire du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron, en m’exposant à des critiques très injustes, infondées et peu amènes alors que je ne gagne strictement rien à alerter mes concitoyens des risques graves encourus avec ces injections, qui rapportent beaucoup d’argent aux laboratoires et qui détruisent bien plus de santé et de vies que le virus lui-même !

    Ci-dessous la lettre ouverte du docteur Jean-Gabriel Balique :

    Professeur Jean Gabriel Balique
    Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie
    jgbalique@gmail.com

    À propos du projet d’obligation vaccinale
    Lettre ouverte Le 2 octobre 2021

    Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs,
    Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

    Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle. Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins «classiques » rendus obligatoires dans notre pays).

    Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus « facile » de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale. La première constatation qui s’impose est que le « vaccin » ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre que les hospitalisations et les réanimations sont débordées de personnes vaccinées !
    On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…). Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente).

    Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients. Les médecins « du terrain » croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer. Les principes fondamentaux du serment dont « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été rejetés d’un revers de main.

    Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

    En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire. Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgées, des cancers jusque là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination. L’ANSM indique comme « signaux confirmés » la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exacts de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

    Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge. Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination. Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner car ils sont à faible risque de forme grave et de décès du Covid ?

    Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés. Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ?

    Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale. Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy, Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres… Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population là que le « vaccin » peut avoir une certaine protection.

    Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir. Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entrainé de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du COVID lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du « vaccin » dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

    Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…) mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps. N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ?

    Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information. Vous avez le droit de vous informer car vous êtes nos représentants.

    La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la vaccination généralisée :

    • Au Royaume Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la vaccination obligatoire. Au Texas la vaccination des jeunes est interdite.

    • Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

    • En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on annonçait une catastrophe sanitaire !)

    Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des antivaccins mais redoutent les effets d’un « vaccin » encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

    Ces soignants « du terrain » voient des vrais malades, les médecins des plateaux télé extrapolent à partir de chiffres des probabilités dont la grande majorité se sont avérées erronées.

    Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique mais un consensus pour défendre la santé des français qui vous ont élus.

    Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soit disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.

    • Faites au minimum un moratoire, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale. Il faut aussi réévaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.
    • Supprimer le passe sanitaire et faite arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : « tous vaccinés = tous protégés » slogan complètement faux, on le sait maintenant !
    • Lever les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin. Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.
    La stratégie imposée est déconnectée de la réalité : c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0.05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’ Ebola, d’une méningite ou de la variole…). En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

    Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

    En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

    Professeur Jean Gabriel BALIQUE
    Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

    Article rédigé les 10 et 11 Octobre 2021 par Catherine Medioni

  • Le Health Ranger a averti en 2012 que les vaccins « auto-propagés » « menaceraient la survie de la race humaine »

    Le Health Ranger a averti en 2012 que les vaccins « auto-propagés » « menaceraient la survie de la race humaine »

     
     

    Près d'une décennie avant la sortie des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), le Health Ranger nous mettait tous en garde contre les futures injections « auto-propagées » qui menaçaient d'anéantir l'humanité de la surface de la terre.

    Les vaccins à propagation automatique, au cas où vous ne les connaissez pas, se propagent sans même avoir besoin d'être injectés. Les vaccinés les «déversent» simplement sur les autres par contact étroit, infectant les non vaccinés avec des particules chimiques qui pourraient les stériliser ou les tuer.

    Nous voyons déjà cela se produire avec les injections de virus chinois, qui provoquent des règles irrégulières chez les femmes et des dysfonctions érectiles chez les hommes. En bref, les vaccins contre la grippe de Wuhan sont une condamnation à mort pour ceux qui les prennent, et peut-être même pour ceux qui ne le font pas.

    En 2012, lorsque le Health Ranger mettait en garde contre la «pollution d'auto-réplication», la plupart des gens ne pensaient qu'aux organismes génétiquement modifiés (OGM) et à la nanotechnologie. Aujourd'hui, il est plus largement admis que ces armes biologiques comprennent également des vaccins.

    Comme l'a expliqué le Health Ranger, des «machines microscopiques auto-répliquantes» étaient déjà utilisées pour faire avancer le programme de dépeuplement. Également connue sous le nom d' armes microscopiques à auto-réplication , une telle technologie sert un seul objectif : tuer des personnes .

    Les vaccins sont le virus

    L'automne dernier, les médias grand public discutaient de la façon dont la technologie d'auto-réplication était déjà à l'étude pour une utilisation en conjonction avec des injections de virus chinois.

    Reconnaissant qu'une majorité d'Américains rejetterait probablement un vaccin contre un virus présumé présentant des symptômes qui reflètent un simple rhume ou une toux, l'État médical profond a élaboré un plan pour vacciner discrètement toute la société sans avoir à injecter chaque personne.

    Les vaccins auto-réplicables sont ainsi devenus une solution au problème de « l'hésitation » au vaccin car ils ont la capacité de propager les vaccins par infection - ce qui signifie que si vous êtes proche d'une personne qui a récemment été injectée, vous pourriez très bien « attraper » le vaccin d'eux par leur salive ou leur écoulement nasal.

    Cela ressemble beaucoup à ce que les fascistes médicaux ont dit à propos du virus chinois lui-même, sauf qu'il n'y a jamais eu de preuve définitive que le virus pouvait se propager de cette façon. En attendant, nous avons maintenant des preuves solides montrant que les injections, et ceux qui les reçoivent, sont les vecteurs de propagation de la maladie.

    Parce que les personnes injectées sont essentiellement des usines de maladies à pied, les éviter à tout prix pourrait contribuer grandement à vous protéger contre l'infection.

    L'une des choses les plus effrayantes à propos des vaccins auto-propagés contre la grippe de Wuhan est le fait qu'ils ne seront plus jamais contenus maintenant qu'ils ont été libérés. Même l'État médical profond admet que c'est le cas, avertissant qu'une fois libérés, "les scientifiques ne contrôleront plus le virus".

    "Il pourrait muter, comme le font naturellement les virus", prévient Filippa Lentzos, écrivant pour The Bulletin . « Il peut sauter des espèces. Il traversera les frontières. Il y aura des résultats inattendus et des conséquences inattendues. Il y en a toujours.

    "Les vaccins à propagation automatique sont essentiellement des virus génétiquement modifiés conçus pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies infectieuses", révèle en outre Lentzos.

    Puisqu'il n'y a pas grand-chose que nous puissions faire à ce stade, à part essayer d'éviter ceux qui ont été vaccinés, la meilleure chose à faire est de renforcer votre système immunitaire de toutes les manières possibles. Plus important encore, priez pour la protection de vous-même et de votre famille car nous sommes maintenant en territoire complètement inexploré.

    « Nous assistons au déroulement d'un plan transgénérationnel génocidaire. Bill Gates l'exécute au nom d'hommes morts et d'autres qui ont partagé leurs objectifs », prévient Vince Morreno. « C'est diabolique. Satanique. Civilisation face à un danger extrêmement clair et présent.

    Vous trouverez plus d'informations sur les dernières nouvelles sur le génocide de masse du virus chinois sur ChemicalViolence.com .

  • LETTRE OUVERTE D’UN PSYCHIATRE 

    LETTRE OUVERTE D’UN PSYCHIATRE 

    Audio : Lettre d'un psychiatre.mp3
    N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorité légitime, sauf si 
    cet acte est manifestement illégal. (Article 122-4 du Code Pénal) 
    Par ce texte je souhaiterais apporter à mes collègues et à mes concitoyens mon regard sur les événements qui se 
    déroulent en France et dans le monde depuis début 2020 et qu’il m’est très difficile de qualifier autrement que 
    de  torture et  d’instrumentalisation  psychique  massive  et  soigneusement  orchestrée.  J’estime  de  mon  devoir 
    humain et déontologique d’apporter un éclairage dans ce qui je vois aujourd’hui comme un virage despotique 
    que nos dirigeants tentent de légitimer par un argumentaire de sécurité sanitaire ne supportant aucune critique 
    rationnelle en termes de balance bénéfice-risque. 
    J’observe en effet très clairement d’une part, une violente emprise psychique orchestrée par l’appareil politicomédiatique et, d’autre part, un état de sidération et de soumission qu’elle génère dans la population en la poussant 
    à  faire  des  choix  irrationnels.  L’isolement  et  les  messages  angoissants  passés  en  boucle  activent  un 
    fonctionnement  cognitif  en  mode  défensif  et  dégradé,  couteux  en  énergie,  déstructurant  psychiquement  et 
    incitant,  « pour  revenir  à  la  normale »,  à  accepter  toute  « solution »  proposée,  sans  tenir  compte  ni  de  son 
    fondement rationnel ni des éléments de réalité objective ne figurant pas dans le narratif officiel. 
    Pour  illustrer  les  mécanismes  psychiques  mis  en  jeu  et  apporter  à  la  réflexion  de  tous,  j’expose  très 
    succinctement ci-dessous quelques éléments théoriques et cliniques non exhaustifs. 
    Emprise psychique 
    La  violence infligée  est  définie  comme  un  comportement  délibéré et  instrumentalisé  qui  vise  à  induire  la 
    sidération et à assurer la soumission et le contrôle de la victime pour l’amener à répondre aux exigences de 
    l’auteur.  La  violence  prend  différentes  formes,  elle  peut  être  physique  (coups,  séquestration),  psychique 
    (culpabilisation,  peur), à  connotation  sexuelle  (viol,  défini  par  la  pénétration  imposée  d’un  orifice  naturel), 
    restriction forcée des ressources propres de la victime et sa mise sous la dépendance de l’agresseur. 
    L’exemple classique est la  violence conjugaleoù le contrôle psychologique de la victime est atteint par son 
    isolement et sa désinformation, pour « son bien et pour la protéger ». Les moyens utilisés sont des informations 
    contradictoires,  la  rétention  d’information,  le  mensonge,  notamment  au  sujet  des  droits,  ou  encore 
    l’instrumentalisation des enfants pour espionner et dénoncer la victime. 
    Des  méthodes  similaires  sont  utilisées  dans  l’endoctrinement  de  radicalisation religieuse  ou  sectaire  et 
    consistent là aussi à couper les individus de toutes relations extérieures et à détruire leurs repères identitaires 
    pour en suggérer des nouveaux. La recrue finit progressivement par renoncer à ses souvenirs et à ses valeurs 
    antérieures,  par  céder  à  la  suggestion  et  par  adopter  des  attitudes  et  des  points  de  vue  nouveaux,  perçus 
    finalement comme seuls possibles et surtout comme seuls susceptibles d’apporter vérité et rédemption. 
    On note que ces mécanismes sont connus de longue date et ont par exemple été utilisés par la CIA pour la torture 
    de prisonniersrécalcitrants afin de les soumettre et les amener à collaborer. La technique employée consistait à 
    entretenir chez l’individu un état d’anxiété et de culpabilité susceptible de l’inciter à un comportement de fuite, 
    c’est-à-dire  à  une  collaboration.  Amené  à  un  état  de  régression  psychique,  l’individu  se  voyait  offrir  une 
    « échappatoire »  acceptable,  c’est-à-dire  des  « arguments »  lui  permettant  de  justifier  sa  « décision »  de 
    collaborer, et de transformer ainsi sa soumission en acte délibéré et rationnel, dicté par un engagement noble, 
    nouvellement  adopté.  Les  principales  techniques conseillées  par  les  experts  de  la  CIA  étaient  les  menaces, 
    l’intimidation,  la  suggestion  et  surtout  l'isolement  en  tant  qu’agent  stressant  puissant,  capable  d’altérer  les 
    capacités de l’individu à préserver son identité*.
    09.08.2021 
    Temps de lecture : 5 minutes 

    Il est à noter que les experts de la CIA admettent qu’appliquées aux individus « d'une certaine stature morale 
    ou  intellectuelle »,  les  mesures  de  manipulation  psychique  peuvent  se  révéler  contre  productives  et 
    renforcer au contraire la volonté de ces individus de résister. 
    Soumission psychique 
    La violence subie par la victime met en route un mécanisme de défense psychique connu sommairement sous 
    la dénomination de syndrome de Stockholm. Il s’agit d’un phénomène psychique défini par la disposition des 
    victimes à se soumettre « volontairement » et à justifier les actes de leurs agresseurs. Ce phénomène a été décrit 
    après  un  braquage  commis  en  1973  à  Stockholm  où  les  quatre  employés  d’une  banque  pris  en  otage  ont 
    manifesté, à leur libération, un attachement affectif à leurs agresseurs et ont tenté de les protéger des forces de 
    l’ordre. 
    La base théorique qui permet d’expliquer ce comportement est le phénomène d’homéostasie qui implique que 
    l’appareil psychique tend spontanément à sauvegarder ses repères et à s’opposer au chaos. D’après les études 
    courantes sur les défenses psychiques, pour faire face à un stress intense, la victime, lorsqu’elle est totalement 
    dominée par l’agresseur, tend à adopter la perspective de ce dernier et à intérioriser son agressivité pour la 
    rediriger  vers  les  tiers,  transformant  ainsi  son  sentiment  pénible  d’impuissance  en  sentiment  gratifiant  de 
    pouvoir. Il s’en suit un engrenage comportemental où la victime se conforte dans sa soumission à l’agresseur, 
    et l’agresseur se conforte dans son sentiment de puissance et d’emprise sur la victime. Ce lien traumatique crée 
    une sorte d’homéostasie pathologique qui induit une désorganisation cognitive et une vue déformée de la réalité 
    concernant les deux protagonistes. On note cependant que cette évolution reste conditionnée par une relation 
    duelle exclusive et est susceptible d’être déconstruite par l’intervention d’un tiers observateur. 
    Obéissance
    L’expérience de Milgram a formellement démontré, depuis 1963, que l’individu tout-venant préfère infliger les 
    pires supplices à son prochain plutôt que désobéir à une figure d’autorité. Cette expérience, réitérée plusieurs 
    fois par différentes équipes, met systématiquement en évidence un taux de soumission aveugle à l’autorité de 
    80% chez adulte et supérieur à 90% chez le jeune adolescent**. 
    L’obéissance à l’autorité relève certes d’un comportement spontané à valeur adaptative qui permet la survie des 
    groupes  sociaux  grâce  à  l’organisation  autour  d’un  chef.  On  constate  cependant  aujourd’hui  que  ce 
    comportement se révèle aussi capable d’agir comme un mécanisme de destruction du groupe social lorsque les 
    chefs deviennent despotiques. Il apparaît que c’est parmi les 20% des « déviants » de Milgram ou des personnes 
    « d’une certaines stature morale » évoquées par les experts de la CIA, qui n’acceptent pas cette destruction, que 
    peuvent se recruter les personnalités capables de s’opposer au virage despotique des élites mondialistes qui ont 
    manifestement perdu toute bride dans leur illusion d’emprise sur le réel. 
    Dr LEBEDKO Vladislav, psychiatre 
    * Le Principe de Rétrécissement du Monde. 2019. Présentation de Kubark, manuel secret de manipulation mentale et de torture 
    de la CIA édité en 1963. Disponible : https://www.youtube.com/watch?v=YC9TSKuSKYI 
    ** Expérience de Milgram. 2017. Par THIBERT Cécile. Disponible : https://sante.lefigaro.fr/article/experience-de-milgram-letre-humain-prefere-encore-torturer-que-desobeir/