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Le fil d'Ariane - Page 51

  • PFIZERLEAK - ET SI LES CONTRATS DE PFIZER ÉTAIENT DÉCLARÉS ILLÉGAUX ?

    PFIZERLEAK - ET SI LES CONTRATS DE PFIZER ÉTAIENT DÉCLARÉS ILLÉGAUX ?
    le 07/08/2021 par Ehden Biber
    EHDEN BIBER
    HTTPS://T.ME/EH_DEN
    Les contrats Pfizer que j'ai partagés avec vous comportent peu d'obligations, ce qui m'a demandé du temps pour en saisir l'importance.
     
    Tout d'abord, voici les obligations du contrat brésilien :
     
    "L'acheteur renonce également de manière expresse et irrévocable à l'application de toute loi dans toute juridiction qui pourrait autrement limiter ou plafonner son obligation de payer des dommages découlant de ou en relation avec toute réclamation indemnifiée... et lier l'acheteur et l'État du Brésil à la limitation de responsabilité et aux renonciations de responsabilité énoncées dans les présentes."
     
     
    et
     
    L'"Acheteur (il)... continuera à disposer d'une autorité statutaire ou réglementaire adéquate et d'un financement adéquat... (pour) remplir les obligations d'indentation et fournir une protection adéquate (à Pfizer et) maintiendra ces (lois) et ce financement... une condition préalable à la fourniture... exige que l'Acheteur mette en œuvre et maintienne en vigueur ces exigences statutaires ou réglementaires... suffisantes pour remplir ses obligations dans le contrat... maintiendra ces exigences statutaires et réglementaires... aussi longtemps que nécessaire. ... la suffisance de ces exigences statutaires ou réglementaires ... sera à la seule discrétion des Fournisseurs."
     
     
    Ces clauses soulèvent les questions urgentes suivantes :
     
    1) Un gouvernement, qui est la branche exécutive de la démocratie, a-t-il le droit de s'engager à restreindre la branche législative (le parlement), ainsi que la branche judiciaire de la démocratie (les tribunaux) ?
     
    2) Un gouvernement peut-il obliger des entités étrangères à avoir un droit de regard et de contrôle sur les décisions du pouvoir législatif (le parlement), ainsi qu'à décider si les décisions du pouvoir judiciaire de la démocratie (tribunaux) sont valides ou non ?
     
    3) Ces contrats représentent-ils un danger pour la démocratie, d'autant plus qu'ils ont été conclus dans le secret ?
     
    4) Ces contrats créent-ils un précédent qui vide de son sens la notion même de démocratie ?
     
    5) Comment pouvons-nous savoir quels autres contrats nos gouvernements ont-ils signés ou quels contrats ils prévoient de signer prochainement qui pourraient vider encore plus notre démocratie ?
     
    Je crois que ces contrats pourraient et devraient être contestés dès que possible, je crois que ces contrats représentent une suspension de la démocratie, et SI J'AI DROIT, nous pourrions être en mesure de les faire déclarer comme illégaux.
     
    MISE A JOUR - 9 AOUT 2021
    Suite à la question du Dr Malone sur twitter, j'ajoute quelques précisions à ceux qui sont arrivés directement sur ce post :
     
    Le contrat brésilien est 100% réel. Voir mon post sur le sujet.
    Carlos Murilo, qui est maintenant le PDG de Pfizer pour l'Amérique latine, mais qui était à la tête de Pfizer au Brésil en 2020, a témoigné devant la commission brésilienne que Pfizer exigeait les mêmes conditions pour l'achat de vaccins contre le COVID19 dans tous les pays. Voici une source.
    Le message suivant, adressé à la presse par Pfizer Brésil, a été rédigé par Denilson Oliveira, qui travaille comme coordinateur de la communication ET comme journaliste pour CDN Comunicação au Brésil, que Pfizer utilise comme société de relations publiques Ce communiqué de presse a été publié par CNN Brésil. Voici la traduction en anglais :
    COMMUNICATION
    Concernant les négociations avec le gouvernement brésilien pour une éventuelle fourniture du vaccin COVID-19 de Pfizer et BioNTech, l'entreprise clarifie :
     
    ✓ Sur la base d'un accord de confidentialité signé le 31 juillet 2020 entre Pfizer et le ministère de la Santé, la société ne peut pas commenter les détails de la négociation en cours, mais affirme que les clauses présentées au gouvernement sont conformes aux accords conclus dans d'autres pays du monde, y compris en Amérique latine, plusieurs pays ayant déjà commencé la vaccination, sauvant ainsi des vies.
     
    ✓ Depuis le début de la pandémie, Pfizer est à la recherche d'une réponse thérapeutique permettant de lutter contre le COVID-19. Globalement, l'entreprise a décidé que le vaccin contre le COVID-19 est un bien qui devrait être proposé à la population générale, elle a donc alloué ses efforts aux négociations avec les gouvernements du monde entier en même temps, y compris avec le gouvernement brésilien, par le biais de négociations qui ont commencé en juin 2020.
     
    ✓ Des pays comme les États-Unis, le Japon, Israël, le Canada, le Royaume-Uni, l'Australie, le Mexique, l'Équateur, le Chili, le Costa Rica, la Colombie et le Panama, ainsi que l'Union européenne et d'autres pays, ont garanti une quantité de doses pour commencer à vacciner leurs populations, à travers un accord qui comprend les mêmes clauses présentées au Brésil.
     
    ✓ Pfizer attend toujours la décision du gouvernement brésilien d'établir un contrat d'approvisionnement, selon les termes convenus et les conditions requises pour un accord définitif, sur la base des doses encore disponibles pour la distribution.
     
    ✓ La disponibilité et le calendrier de livraison des doses au pays dépendent de la date de clôture de l'accord d'approvisionnement, compte tenu de la forte demande de doses et des contrats en cours avec d'autres pays. Pfizer a soumis trois propositions au gouvernement brésilien pour une éventuelle acquisition de 70 millions de doses de son vaccin. La première proposition a été soumise par l'entreprise le 15 août 2020 et envisageait une quantité pour une livraison à partir de décembre 2020.
     
    ✓ La société pharmaceutique produira environ 1,3 milliard de doses du vaccin d'ici à la fin de 2021, dans cinq usines aux États-Unis et en Europe.
     
    ✓ Pfizer poursuit le processus réglementaire de soumission continue de son vaccin à l'ANVISA et restera à la disposition du gouvernement pour parvenir à un accord qui profite aux Brésiliens.
     
    Janvier 2021
    Pfizer Brésil
     
    -------------
     
    Voici le communiqué de presse original :
     
    SOMMAIRE :
    Puisque nous disposons à la fois du témoignage d'un cadre supérieur de Pfizer (devant une commission du Congrès au Brésil) ET d'une déclaration écrite de Pfizer sur le sujet, nous avons la preuve que Pfizer affirme et admet que ces clauses figurent dans les contrats qu'elle a signés avec d'autres pays, comme les États-Unis.
     
    Encore une fois, le point principal est le suivant : ces clauses spécifiques représentent-elles une violation constitutionnelle ou non ? S'il existe de telles clauses, comme le prétend PRIZER, je pense que nous pourrions avoir un problème constitutionnel ici. Si le pouvoir législatif n'a pas eu la possibilité d'examiner la proposition et de voter sur la question conformément à la transparence requise, ce contrat ne peut pas devenir une nouvelle loi de facto, ce que fait ce contrat. Si ce contrat restreint de quelque manière que ce soit le pouvoir judiciaire, il faut généralement un amendement constitutionnel pour le faire. Ainsi, même si un organe législatif le votait, il pourrait être considéré comme une loi anticonstitutionnelle, ce qui constitue une infraction assez grave dans la plupart des pays du monde.
     
    Je vous prie de le transmettre à tous ceux que vous connaissez, je suis vraiment intéressé par les avis juridiques sur la question.
     
    Je vous remercie.
    Ehden
     
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    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
     

  • A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

    A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

    Par Reza Moghaddassi

    A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.

    Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

    Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
    Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
    Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
    Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
    Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
    Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
    Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

    Pardonnez-moi d’exister.

    Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
    Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

    Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
    Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
    Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
    Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

    C’est pour notre bien.

    Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
    C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
    C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
    C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
    C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
    C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
    C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
    C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
    C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
    C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
    C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
    C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
    C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
    C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
    C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
    C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
    C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
    Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

    Trop bête pour comprendre

    • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
    • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
    • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

    Trop bête pour comprendre

    • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
    • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
    • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
    • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
    • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

    Trop bête pour comprendre

    • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
    • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
    • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

    Trop bête pour comprendre

    • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
    • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
    • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
    • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
    • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
    • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
    • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

    Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
    Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
    Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

    Inversion

    Je dois, en effet, comprendre que :

    • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
    • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
    • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
    • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
    • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
    • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

    Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
    Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
    Merci de nous dispenser de penser.


    Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


    A propos de l’auteur

    Reza Moghaddassi

    Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

    Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.

  • Les injections géniques anticovid 19 ont de nombreux effets délétères méconnus des candidats

    Les injections géniques anticovid 19 ont de nombreux effets délétères méconnus des candidats

    Lien : https://ripostelaique.com/candidat-a-linjection-attention-danger-informez-vous.html

    Audio : delepine article du 11 aout 2021.mp3  

                 delepine article du 11 aout 2021 p2.mp3

    Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

    L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

    Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

    LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.

    L’Etude d’Enzololo de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

    « La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

    Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes

    Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

    Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

    Selon la VAERS :

    La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

    Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.

    Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

    139 millions de doses du vaccin de Moderna

    193 millions de doses de Pfizer

    13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

    Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4]

    Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..).

    Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

    LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

    L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

    « La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

    Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes

    Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

    Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

    Selon la VAERS :

    La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

    Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

    Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

    139 millions de doses du vaccin de Moderna

    193 millions de doses de Pfizer

    13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

    Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.

    Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..).

    Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

    EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

    Les données américaines pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

    • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

    « Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

    • Parmi les autres décès, deux garçons de 13 ans décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna , trois jeunes de 15 ans cinq jeunes de 16 ans et trois jeunes de 17 ans.
    • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

    ont été attribués au vaccin de Pfizer.

    • 406 cas de myocardite et de péricardite avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
    • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

    RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

    Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

    Selon les CDC les chiffres sont comparables 

    Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

    Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

    L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

    Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.

    Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

    Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

    Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

    Selon l’étude des CDC, en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

    Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

    Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

    Réactions les plus courantes liées à la myocardite

    Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine, une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2

    Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

    Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

    RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

    Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

    La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

    ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

    Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

    On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

    Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

    Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832 sur twitter.

    FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

    Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

    Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.

    « Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

    Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

    Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

    Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse“… 

    Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

    LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

    « La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

    L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

    1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
    2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
    3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
    4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

    Les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. ». Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

    Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

    VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

    Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

    En Israël, “85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés” à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !

    En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

    LE REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

    Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

    La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations

    Nicole Delépine