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Le fil d'Ariane - Page 52

  • Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

    Qu’y a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?

    Audio : dr smith comp vaccins.mp3

    Source : https://news.newsletter.drschmitz.com/mirror.php?platform=livedata&env=1&email=abochis%2540gmail.com&sid=160245Mon cœur s’est serré, ma gorge s’est nouée. En me documentant sur l’article qui suit, j’ai pris peur pour beaucoup de gens que j’aime.

    Je me suis dit : ça ne peut pas être vrai ; et encore maintenant, quand je vous l’écris, j’espère, contre toute attente, que ce n’est pas vrai.

    Car il y a une question qu’on devrait tous se poser : qu’est-ce qu’ils ont bien pu mettre dans ces vaccins ?

     

     

     

    Tout va bien, madame la marquise, tout va très bien

    A écouter les autorités, il n’y aurait pas à vous inquiéter, ni pour vous, ni pour vos proches qui se sont fait vacciner.

    Du moins est-ce que les laboratoires nous assurent, notamment Pfizer-BioNTech.

    Avant toute autre chose, les « vaccins » ARN contiennent la désormais célèbre technologie ARN.

    Si nous devons en croire ses créateurs, elle donne aux cellules immunitaires le message de fabriquer des protéines spike grâce auxquelles elles reconnaîtraient les cellules du coronavirus.

    Mais contrairement aux questions que posent d’affreux complotistes, l’impression de ce message ARN n’impliquerait pas de modification définitive des cellules immunitaires.

    De même, la protéine spike, que l’on retrouve dans les vaccins ARN mais aussi dans l’Astra Zeneca ne serait pas une toxine, même si l’inventeur de la technologie ARN, Robert Malone, défend mordicus le contraire(1)…

    Toutefois, une chose sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est le fait que la technologie ARN (ou la partie opérante des autres vaccins) prend une place minuscule dans l’injection qui vous est faite.

    Le reste, ce sont ce que l’on appelle des excipients, des éléments qui aident le « remède » à passer dans le sang.

    Dans un document officiel(2), on trouve la liste de ces éléments neutres, qui accompagnent les molécules agissantes dans le sang.

    Il y a du PEG, un plastique qui sert de solvant, c’est-à-dire de diluant(3).

    On y trouve également d’autres éléments, qui ne sont pas dangereux a priori(4).  

    Alors, comment cela se fait-il que nombre de vaccinés soient devenus « magnétiques » ? Comme vous pouvez le voir sur tant de vidéos sur internet, et peut-être même avec vos proches, chez vous.

    Cela, les laboratoires sont bien en peine de vous l’expliquer. C’est là que nous devons trouver des explications qui gênent BEAUCOUP les médias dominants.

     

     

     

    Un Zorro nommé Delgado ?

    Il se trouve qu’un chercheur de l’université d’Almeida nommé Ricardo Delgado, biostatisticien de son état, a réussi à mettre la main sur un flacon et à l’analyser.

    Le sujet est tellement épineux que l’université espagnole s’est immédiatement désolidarisée de l’étude, même si, ayant été faite avec son matériel, elle n’a pas pu ne pas être citée.

    Vous pouvez retrouver l’étude ici.

    Dans d’une interview pour la télévision espagnole, lors de l’émission El gato al agua(5), Delgado a affirmé que 98 à 99% du contenu du flacon scellé sur lequel il a fait son étude, est de l’oxyde de graphène.

    La chose, bien sûr, a été démentie par tous les « facts checkers » qui ne trouvent rien d’autre à dire que la traçabilité du flacon n’est pas établie.  

    Évidemment, aucun laboratoire n’a laissé « échapper » de fiole ou n’a laissé quiconque faire des analyses. Les flacons ont donc été obtenus sous le manteau, et c’est vrai, sa traçabilité ne peut pas être révélée.

    Toutefois l’oxyde de graphène est un matériau qui jusqu’ici restait extrêmement cher à fabriquer et impossible à élaborer « artisanalement ».

    On peut bien évidemment croire que Delgado a menti effrontément, mais pourquoi, s’il est passé à la télévision espagnole, n’a-t-il pas été attaqué en justice ? Pourquoi, pour toute réfutation, il n’obtient qu’un entrefilet sur Google ?

    Parce que si on traînait cette affaire devant les tribunaux, on se rendrait peut-être compte que Pfizer et d’autres ont menti sur le contenu des vaccins.

    Or le graphène peut expliquer beaucoup des résultats de l’étonnante étude luxembourgeoise sur le magnétisme(6), et surtout pourquoi, plus une personne a été vaccinée il y a longtemps, et plus elle est « magnétique ».

     

     

     

    Le graphène, dangereux pour les poumons, mais pas seulement

    Le graphène a déjà fait parler de lui il y a quelques jours. Or ce n’est pas n’importe quel matériau ; c’est le matériau de l’avenir, et ses usages sont aussi prometteurs qu’effrayants.

    En effet, le graphène ce n’est que du carbone pur (comme le graphite de la roue de votre vélo ou de la mine de votre crayon), mais en feuilles de taille infinitésimale : il n’est pas plus épais que les atomes qui le composent.

    Ce matériau est extrêmement résistant, cent fois plus que l’acier, et peut accumuler l’électricité mieux qu’aucun autre.

    Un des petits inconvénients est qu’il est extrêmement toxique pour les poumons. Or on l’a retrouvé dans des quantités importantes dans les masques obligatoires.

    Le Canada a demandé l’interdiction et le retrait immédiat des masques contenant du graphène(7).

    La DGCCRF a fait la même chose en France en mai, en interdisant au fournisseur mis en cause de vendre ses masques (Shandong Shenquan New Materials Co.) et l’Espagne aussi a pris les mêmes mesures dès le mois d’avril(8).

    Comment se fait-il qu’on trouve un matériau aussi onéreux (100€ le gramme en 2017(9)) dans des objets aussi anodins ? Pour l’instant, seuls les « complotistes » osent avancer des réponses.

     

     

     

    Un matériau libérateur, ou esclavagiste ? 

    Car aujourd’hui, on imagine dans les universités des « pansements au graphène » connectés(10) ou des tests salivaires au graphène développés en France(11).

    Or de nombreux articles scientifiques récents attestent du magnétisme inhérent aux tubes de graphène(12), ce qui serait, jusqu’ici la seule explication plausible au magnétisme post-vaccinal.

    Mais serait-il possible de créer des nano-machines qui s’assembleraient d’elles-mêmes dans le corps où elles ont été injectées ?

    En tout cas, une étude très récente prétend en donner toutes les preuves(13). Elle a été publiée en janvier dernier dans la revue de biotechnologie Aggregate.

    La technologie des machines qui s’assemblent directement dans le corps est une réalité, et non pas de la science-fiction.

    Or ceci pose un léger problème, comme le souligne la déclaration en mars dernier, d’une entreprise de pointe espagnole appelée INBRAIN Technologies.  

    Cette dernière prétend pouvoir agir directement sur le cerveau avec l’aide des feuilles de graphène, créant une interface électronique(14)…

     

     

     

    On a les moyens de pirater votre cerveau 

    Non pas, bien sûr, que l’entreprise INBRAIN ou que les chercheurs qui prétendent créer les nano-robots auto-assembleurs soient liés à l’industrie vaccinale.

    Mais voudrait-on aujourd’hui agir directement sur votre cerveau grâce à des nanomatériaux, il est possible de le faire, techniquement parlant.

    Voilà pourquoi le Chili n’est pas inutilement en pointe du droit international lorsqu’il fait rentrer dans sa constitution l’inviolabilité du cerveau humain.

    Il invoque l’existence de « neuro-droits », notamment la perte de « privauté mentale »(15).  

    Reste à savoir si le contenu des vaccins correspond effectivement à cette violation de la privauté physique et cérébrale, à ces nano-robots appelés SPIONS(16) dont on veut nous faire croire qu’ils sont l’avenir de la médecine.

    Rappelons simplement que devant les tribunaux, aucun des laboratoires n’est responsable des dommages que causent ses « vaccins ».

    Même si au moment où je vous écris, une plainte vient d’être déposée suite à la mort d’un trentenaire après la deuxième dose de vaccin(17).

     

     

     

     

     

    Une révolution technologique si odieuse que les médias vous la cachent

    Dès que vous tapez sur votre moteur de recherche préféré : nanoparticules et 5G, vous tombez sur des articles qui dénoncent les fantasmes « complotistes ».

    En revanche, je vous invite à taper sur ces mêmes barres de recherche, « rf nanotechnology graphene », car RF (pour radiofréquence), est le petit nom scientifique des ondes utilisées par la 5G.

    Vous tomberez alors sur plusieurs articles parfaitement scientifiques qui vous expliquent de façon très détaillée à quel point les nanorobots (de l’ordre d’un millionième de mètre) en graphène sont les « transistors » de l’avenir[(18,19).

    Mais en particulier, je vous recommande cet article-ci, intitulé « Graphene Nanomaterials-Based Radio-Frequency/Microwave Biosensors for Biomaterials Detection » qui explique bien le piratage de votre intimité la plus profonde.

    Il détaille la création de biocapteurs en graphène qui fonctionnent grâce aux radiofréquences pour tout savoir de vous. Or les ondes surpuissantes de la 5G sont idéales pour cet usage, et pour arriver à ces fins prétendument médicales.

    Ce dispositif révolutionnaire est vraisemblablement devenu la violation la plus profonde et la plus radicale de l’intimité humaine jamais conçue.

    Les pouvoirs publics devraient en répondre IMMÉDIATEMENT, plutôt que d’insister de façon aussi fanatique que coupable pour l’inoculation généralisée de « vaccins ».

     

     

     

    Micro-ondes : nous ne comprenons pas l’ampleur du risque

    Je ne cesserai de le répéter, nous sommes devant une révolution technologique qui promet, non pas de transformer le monde, mais de détruire l’humain, parce qu’aucun garde-fou n’y est mis.

    Répétons également, comme je l’ai déjà publié(20), que la 5G – le « carburant » de cette nouvelle révolution industrielle – est un désastre biologique et écologique.

    Elle promet de faire augmenter radicalement la stérilité, les cancers infantiles, et d’accélérer l’extinction des insectes pollinisateurs et de la faune sauvage. 

    Car la technologie 5G (les ondes millimétriques), est utilisée depuis la seconde guerre mondiale. Et c’est avec cela que marchent les fours à micro-ondes !

    Simplement, elle est aujourd’hui utilisée pour la télécommunication, elle va très bientôt saturer l’air que vous respirez, et aucune porte de four ne vous en protégera.

    Pourquoi cette révolution technique qui n’a RIEN à nous proposer– hormis une surveillance totale et odieuse – nous est-elle imposée ?

    Les pouvoirs publics laisseraient-ils des acteurs privés, ou même des puissances étrangères, avoir accès à votre intimité la plus profonde, ou même agir sur elle directement ?

    Avec les éléments que je vous ai livrés aujourd’hui, c’est à nos gouvernements d’en répondre, et surtout de vous prouver que les vaccins sont sûrs, plutôt que de vous contraindre à vous les inoculer par tous les moyens disponibles.

     

     

     

    Vous libérer du graphène, c’est possible

    Le 27 janvier dernier a été publiée une étude fort intéressante, dans une revue inconnue du grand public, ACS applied materials and interfaces(21).

    Elle atteste de l’importance de l’oxyde de graphène dans l’avenir de la médecine, spécialement dans « l’inoculation des médicaments, la photothérapie et la biosensitivité ».

    Le seul problème, reconnu par cette étude internationale, c’est l’endommagement des cellules

    Les auteurs craignent nommément le stress oxydatif (cause de vieillissement et de cancers), l’empoisonnement des cellules (cytotoxicité), et la réduction de la reproduction cellulaire…

    Contre cela, que préconisent-ils ? Le glutathion.

    Et pourquoi, si le glutathion fait tant de bien, nous ne leur laisserions pas leurs technologies d’apprentis-sorciers, pour nous contenter de l’antidote ?

    Car le glutathion, malgré son nom un peu curieux, vous l’utilisez et vous le fabriquez tous les jours.

    En effet, vos cellules s’endommagent sans arrêt : c’est un des principes de la vie. Les antioxydants permettent de parer à cela, notamment la vitamine C, indispensable à notre organisme.

    Mais aucun antioxydant n’est aussi efficace que le premier d’entre eux, celui que fabrique notre foie – et dont l’ibuprofène inhibe la production…

    Cet antioxydant fondamental, c’est le glutathion.

    Je recommande évidemment le glutathion liposomé, c’est-à-dire encapsulé dans la même composition que les parois de vos cellules, pour une absorption parfaite.

    En ce moment, où les craintes d’intoxication au graphène vont bon train, et où l’impression générale de vieillissement accéléré est prégnante, il est très demandé.

    Toutefois, je connais une petite entreprise qui en vend encore quelques flacons de la meilleure qualité. Le glutathion est d’origine naturelle, sans OGM et sans sucre ajouté.

    Portez-vous bien,

    Dr. Thierry Schmitz

  • L'exécutif utilise une méthode comportementale : le nudge : le harcélement incitatif

    L'exécutif utilise une méthode comportementale ? Nathan Devers jette un froid en parlant du passe-sanitaire

    Audio :  nudge stratégie comportementale.mp3

    L'auteur Nathan Devers était l'invité de l'émission «L'Heure des pros» diffusée ce vendredi 6 août 2021 sur CNews.

    «Il n'y a pas eu de consultation des Français»

    Nathan Devers: «C'est tout à fait normal qu'il y ait des gens qui n'aient pas envie de se soumettre à cette logique du passe sanitaire.» Julien Pasquet: «J'ai l'impression qu'il y a une adhésion des gens quand même assez grande et que la voix des réfractaires est plus forte, se fait plus entendre, mais est loin d'être majoritaire. Franchement.» Nathan Devers: «Comme vous l'avez dit, il n'y a pas eu d'élections, il n'y a pas eu de référendum, il n'y a pas eu de consultation des Français. Il y a des sondages, peut-être que les Français sont majoritaires, Je ne remets pas forcément en question ces sondages. Mais qu'il y ait des gens qui soient contre, c'est tout à fait normal. Je pense qu'avec le temps, il y en aura de plus en plus.»

    «C'est la pratique du nudge, c'est-à-dire le harcèlement incitatif»

    Julien Pasquet: «Ah bon ?» Nathan Devers: «Parce que c'est une sorte de cheval de Troie. Ça veut dire que là, on est en train d'ouvrir la porte à une restriction des libertés et ça ouvre une boîte de Pandore vers d'autres situations qui peuvent s'aggraver de plus en plus. Et juste une chose, puisqu'on parlait tout à l'heure de la différence entre incitation et obligation. Quoi qu'en dise le gouvernement, ce passe sanitaire est une incitation à se faire vacciner. Il obéit à une logique néo-libérale, c'est-à-dire d'un Etat très fort qui se comporte comme une entreprise. Avec des méthodes, non pas des méthodes politiques de souveraineté avec une loi, mais des méthodes d'entreprises. Et plus précisément, c'est la pratique du nudge. Le nudge, c'est-à-dire le harcèlement incitatif.»

    «On n'est pas obligé d'avoir ce passe mais on est incité par le harcèlement»

    Julien Pasquet: «D'où ça vient ça, le nudge ?» Nathan Devers: «C'est une notion qui a été théorisée par l'économie comportementale et qui désigne la manière dont certaines entreprises font en sorte de harceler les individus pour qu'ils se comportent de telle ou telle manière.» Julien Pasquet: «Les français sont harcelés ?» Nathan Devers: «Oui. Je vous donne juste un exemple : dans certaines compagnies de VTC, si un chauffeur refuse deux ou trois fois de suite une course, et bien son application va être bloquée pendant X minutes. Et donc, comme ça, il est harcelé et incité à travailler tout le temps. Et bien là c'est la même chose, c'est-à-dire qu'on n'est pas obligé d'avoir ce passe mais on est incité par le harcèlement. c'est-à-dire que si on ne l'a pas, on a une vie qui va se dégrader de plus en plus.»

    «On ne vous lâche pas tant que vous n'avez pas le comportement que nous désirons que vous ayez»

    Julien Pasquet: «J'ai un peu de mal avec le mot harcelement.» Nathan Devers: «Vous comprenez ce que je veux dire ?» Julien Pasquet: «Oui j'entends mais vous qui êtes un amoureux des mots...» Nathan Devers: «C'est ce que j'ai appelé précisément un harcèlement incitatif. Ça veut dire que l'on ne vous lâche pas tant que vous n'avez pas le comportement que nous désirons que vous ayez. C'est ça, c'est un harcèlement incitatif. Et c'est ça qui est en train de se mettre en place dans le passe sanitaire et c'est en cela que l'incitation est beaucoup plus perverse et dangereuse que l'obligation qui relèverait de la politique ou de la souveraineté.»

  • La stratégie malavisée et mortelle de l'équipe Biden concernant le vaccin COVID-19

    La stratégie malavisée et mortelle de l'équipe Biden concernant le vaccin COVID-19
    La "course aux armements" en matière de vaccination pourrait s'avérer dangereuse pour le public américain.
     
    Par Dr. Robert Malone et Peter Navarro -
    Jeudi 5 août 2021
    Washington Times Insights
    Éclairage du Washington Times

    La stratégie de l'administration Biden, qui consiste à procéder à une vaccination universelle au milieu de la pandémie, n'est pas fondée sur des bases scientifiques solides et doit être repensée.

    Cette stratégie prolongera probablement la phase la plus dangereuse de la pire pandémie depuis 1918 et causera presque certainement plus de mal que de bien - tout en sapant la confiance dans l'ensemble du système de santé publique.

    Quatre hypothèses erronées sous-tendent la stratégie de Biden. La première est que la vaccination universelle peut éradiquer le virus et garantir la reprise économique en assurant une immunité collective dans tout le pays (et dans le monde). Cependant, le virus est désormais si profondément ancré dans la population mondiale que, contrairement à la polio et à la variole, son éradication est irréalisable. Le SRAS-CoV-2 et ses myriades de mutations continueront probablement à circuler, tout comme le rhume et la grippe.

    La deuxième hypothèse est que les vaccins sont (presque) parfaitement efficaces. Or, les vaccins dont nous disposons actuellement sont assez "perméables". S'ils sont efficaces pour prévenir les maladies graves et la mort, ils ne font que réduire, et non éliminer, le risque d'infection, de réplication et de transmission. Comme l'a révélé un jeu de diapositives des Centers for Disease Control, même une acceptation à 100 % des vaccins actuels, combinée à un respect strict des masques, n'empêchera pas la variante Delta, hautement contagieuse, de se propager.

    La troisième hypothèse est que les vaccins sont sûrs. Pourtant, les scientifiques, les médecins et les responsables de la santé publique reconnaissent aujourd'hui que les risques sont rares mais loin d'être négligeables. Parmi les effets secondaires connus figurent des troubles cardiaques et thrombotiques graves, des perturbations du cycle menstruel, la paralysie de Bell, le syndrome de Guillain Barre et l'anaphylaxie.

    Les effets secondaires inconnus que les virologues craignent de voir apparaître comprennent des risques existentiels pour la reproduction, des maladies auto-immunes supplémentaires et diverses formes de renforcement de la maladie, c'est-à-dire que les vaccins peuvent rendre les gens plus vulnérables à une réinfection par le SRAS-CoV-2 ou à la réactivation d'infections virales latentes et de maladies associées telles que le zona. À juste titre, la FDA n'a pas encore approuvé les vaccins actuellement administrés en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence.

    L'échec de la quatrième hypothèse de "durabilité" est le plus alarmant et le plus déroutant. Il apparaît aujourd'hui que nos vaccins actuels n'offriront vraisemblablement qu'une fenêtre de protection de 180 jours - une absence totale de durabilité soulignée par des preuves scientifiques provenant d'Israël et confirmée par Pfizer, le Department of Health and Human Services et d'autres pays.

    Ici, on nous avertit déjà de la nécessité de procéder à des injections de rappel universelles à intervalles de six mois dans un avenir prévisible. Le point plus général évident qui milite en faveur du choix individuel des vaccins est que des vaccinations répétées, chacune présentant un petit risque, peuvent s'ajouter à un gros risque.

    C'est une course aux armements avec le virus.

    La raison la plus importante pour laquelle une stratégie de vaccination universelle est imprudente tient au risque collectif associé à la façon dont le virus réagit lorsqu'il se réplique chez les individus vaccinés. La virologie de base et la génétique de l'évolution nous indiquent que le but de tout virus est d'infecter et de se répliquer chez le plus grand nombre de personnes possible. Un virus ne peut pas se propager efficacement si, comme dans le cas d'Ebola, il tue rapidement ses hôtes.

    La tendance historique claire des virus passant d'une espèce à l'autre est d'évoluer d'une manière qui les rend à la fois plus infectieux et moins pathogènes au fil du temps. Cependant, une politique de vaccination universelle déployée au milieu d'une pandémie peut transformer ce processus normal d'apprivoisement darwinien en une dangereuse course aux armements vaccinaux.

    L'essence de cette course aux armements est la suivante : Plus vous vaccinez de personnes, plus le nombre de mutations résistantes aux vaccins risque d'être élevé, moins les vaccins seront durables, des vaccins toujours plus puissants devront être développés et les individus seront exposés à des risques de plus en plus importants.

    La science nous apprend ici que les vaccins actuels, qui utilisent les nouvelles technologies de thérapie génique, génèrent de puissants antigènes qui dirigent le système immunitaire vers l'attaque de composants spécifiques du virus. Ainsi, lorsque le virus infecte une personne avec une vaccination "fuyante", la descendance virale sera sélectionnée pour échapper ou résister aux effets du vaccin.

    Si toute la population a été entraînée par une stratégie de vaccination universelle à avoir la même réponse immunitaire de base, une fois qu'un mutant d'échappement viral est sélectionné, il se répandra rapidement dans toute la population, qu'elle soit vaccinée ou non.

    Une stratégie bien plus optimale consiste à ne vacciner que les personnes les plus vulnérables. Cela permettra de limiter le nombre de mutations résistantes au vaccin et donc de ralentir, voire d'arrêter, la course actuelle aux vaccins.

    Heureusement, les personnes les plus vulnérables sont relativement peu nombreuses, et ces cohortes ont déjà atteint des niveaux élevés d'acceptation du vaccin. Il s'agit notamment des personnes âgées, pour lesquelles le risque de maladie grave ou de décès augmente de façon exponentielle avec l'âge, et des personnes souffrant de comorbidités importantes telles que l'obésité, les maladies pulmonaires et cardiaques.