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Le fil d'Ariane - Page 34

  • Le patron de l'hôpital de Chemnitz se précipite vers la mort texte traduit audio source

    À PROPOS DU DR. THOMAS JENDGES (55)

    Audio : médecin de Chemnitz.mp3

     

    Le patron de l'hôpital de Chemnitz se précipite vers la mort


    Le Dr Thomas Jendges débute à l'hôpital de Chemnitz mardi matin.

    Photo : Hôpital de Chemnitz

     06:50 hrs

    Chemnitz pleure le décès du Dr Thomas Jendqes

    ... à l'occasion du décès du Dr Thomas Jendges (55 ans). Le patron de la clinique de Chemnitz fait une chute mortelle. Le Dr Thomas Jendges (55 ans) est décédé mardi matin à l'hôpital de Chemnitz.

    Dans les milieux policiers, il a laissé une note de suicide à son employeur, dans laquelle il confirme les mensonges et les tricheries constants aux patients et aux personnes vaccinées, que les vaccinations sont dangereuses, condamne la vaccination avec des vaccins expérimentaux mortels covid19 à la population, qu'il s'agit en fait d'un agent de guerre biologique, et condamne leur utilisation comme vaccins covid19 déguisés.

    C'est un génocide et un crime contre l'humanité qui est perpétré sur la population, et même le maire a menacé de démissionner s'il n'effectuait pas les vaccinations sur les patients de l'hôpital. Et comme il ne pouvait pas supporter un tel crime de la part du gouvernement fédéral et du gouvernement de l'État et de leurs sbires, il a vu dans son suicide ou sa mort le seul moyen de donner l'exemple et a demandé dans sa lettre de suicide que cette lettre soit rendue publique, ce que le maire a appris et a empêché jusqu'à présent.

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    Chemnitz située dans l'ancienne RDA (allemagnede l'Est) Les allemands ont un blocage à la vaccination en RDA

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    Le coup de pression sur le Pr du maire de la veille a-til été la cause ???

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Covid 19 : vaccins et autopsies - Dr. Ryan Cole September 1st, 2021 texte avec audio et lien vidéo

    Covid 19 : vaccins et autopsies - Dr. Ryan Cole

     
    September 1st, 2021

    Bonjour, bonjour. Je suis le Dr. Cole.

    Audio : dr Cole.mp3

    Lien de la vidéo : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/RyanColeAutopsies:f
    C'est un honneur d'être ici avec mes collègues, des esprits brillants comme vous l'avez déjà vu. Je suis donc modestement sur la scène avec eux. Je suis excité d'être ici avec des avocats qui se battent pour la liberté aussi. Et c'est fantastique d'être dans une salle avec des visages souriants qui ne sont pas couverts de tissus inutiles qui ne servent à rien.

    Alors, qui est ce docteur inconnu sur la scène ? Je suis le Dr. Ryan Cole. Je suis un pathologiste anatomique certifié par la Mayo Clinic, pathologiste clinique, dermato pathologiste, j'ai attendu trop d'années d'école, j'ai aussi fait de la recherche doctorale en immunologie. Donc l'immunologie, la virologie, c'est mon domaine. Donc si vous voulez connaître les mécanismes d'action, comment les choses fonctionnent, et tout ça, allez-y, ouvrez mon cerveau.
    Bref. Alors qu'en est-il du vaccin ? Qu'en est-il des décès ? Vous savez, les docteurs ont fait allusion à cela, que nous avons quelques inquiétudes sur ces chiffres élevés. Que se passe-t-il ?
    Vous savez, nous voyons les gros titres, comme le Dr Merritt a mentionné le décès d'un enfant de 13 ans 3 jours après l'injection, un enfant de 15 ans meurt d'une crise cardiaque, 10 enfants jusqu'à présent dans les rapports du VAERS, et probablement plus maintenant, décès après des crises cardiaques, maman de 39 ans de 3 enfants, morte après l'injection etc, etc, etc.
    Nous voyons donc les gros titres. Voici donc la question. On pourrait penser qu'à l'ère d'un nouveau virus, et d'un nouveau.... vaccin expérimental, je n'aime même pas l'appeler un vaccin, un vaccin expérimental, un faux vaccin, ok, une injection de caillot sanguin, un viol par aiguille, peu importe comment vous voulez l'appeler.

    Ok, donc, en regardant les différentes données, 11 000 décès, 12 000 décès, 45 000 décès, dans la littérature jusqu'à présent, il y a environ un mois, première autopsie post-vaccinale, sur 11 000 décès. Vous vous moquez de moi ? Est-ce que c'est encore de la science ? Non. De la technocratie médicale, peur, souffrance, vaccin, peur, souffrance, vaccin. C'est tout ce que vous êtes censés avoir ? Ecoutez-nous et c'est tout ce que vous obtenez ?
    Non. Alors comment pouvons-nous faire de la science ? Si on ne cherche pas ? On ne peut pas trouver ce qu'on ne cherche pas. Où est le financement ? Et les pathologistes indépendants, un pathologiste, vous savez, je fais beaucoup de biopsies, de diagnostics de cancer, et ainsi de suite, nous ne nous plaignons jamais de recevoir trop de tissus. Eh bien, quand vous faites une autopsie, vous obtenez tous les tissus. Mais devinez quoi, vous trouvez toutes les réponses, mais si nous ne cherchons pas, nous ne les trouverons pas. Et s'ils disent, "Ne faites pas d'autopsie, ce n'était pas le vaccin, ce ne sont pas les droïdes que vous cherchez. Ne regardez pas ici." Alors comment, par quel miracle allons-nous savoir ? Où sont les fonds ? Les autopsies sont chères, oui. Mais si on a des milliards pour faire de la pub pour une injection de caillot sanguin à des enfants qui n'en ont pas besoin, Dr. Fauci, où est le financement de la science ?

    Ok, quand un nouveau vaccin thérapeutique non approuvé est mis sur le marché, nous devons utiliser le système légal français : coupable jusqu'à preuve du contraire. Donc s'il y a un effet indésirable, s'il y a un décès, il est dû à cette thérapie, jusqu'à ce que vous prouviez le contraire. Et nous agissons en disant "regardez de l'autre côté, regardez de l'autre côté".
    Suivez l'argent, qui est derrière tout ça ? Je ne sais pas. Je ne vais pas faire de théorie de la conspiration. Je ne vais pas faire de la politique. Mais je dis que si vous voulez les données, alors vous devez utiliser le système légal français : dites que ceci est coupable jusqu'à ce que nous prouvions que cela n'a pas été causé par autre chose. Et on fait exactement le contraire en ce moment.

    Ok, qu'en est-il de la protéine spike ? Nous donnons une séquence, une séquence de gène, dans le corps des êtres humains, et cette séquence, va dans notre deltoïde, et nous sommes informés qu'elle a une petite protéine d'ancrage, et une fois qu'elle est traduite, elle fait une petite protéine et elle est à la surface de votre cellule, elle y reste. Eh bien, devinez quoi, ce n'est pas le cas. Et il y a des études, bien sûr, les fact checker disent "ce n'est pas vrai, ce n'est pas vrai."
    Je suis un scientifique. Ne demandez pas au journaliste, demandez au scientifique.

    Donc cette protéine spike, ne reste pas que dans le deltoïde, la spike circule dans votre sang, elle atterrit dans plusieurs organes du corps. Et vous savez ce qui se passe ? Cette protéine spike sans le corps du virus présent, on a fait des études sur des animaux de laboratoire, chez les animaux de laboratoire, en leur injectant cette protéine spike sans le corps du virus, elle induit les mêmes maladies qu'induit le COVID-19, la même maladie pulmonaire, la même maladie vasculaire, la même maladie cardiaque, la même maladie cérébrale, la spike est la toxine.
    Donc encore une fois, pourquoi injecter quelque chose dans le corps humain qui est la toxine, c'est la toxine, c'est ce qui cause la maladie. Ce n'est pas un vaccin.

    Ok, donc on sait que le virus dont tout le monde a entendu parler est le recepteur ACE 2, le voici. Voici un exemple. Donc sur la gauche, c'est une des cellules qui tapisse vos vaisseaux sanguins. Je vais vous montrer un tableau dans une minute où nous avons des récepteurs ACE 2. Sur le côté gauche, vous voyez dans le coin de la grille supérieure et de la grille inférieure, ces jolies lignes lisses. Sur la droite, c'est ce que la protéine spike, juste la protéine spike du vaccin, fait aux mitochondries de vos cellules, c'est votre moteur. C'est ce qui vous donne de l'énergie, la puissance de vos cellules.
    Comparez la gauche, lisse, belle, bien assemblée, et la droite, éclatée, fragmentée. C'est dû au vaccin, pas au virus, du vaccin.

    Ok, alors voici le corps humain. Vous pouvez voir la pléthore d'endroits où nous avons des récepteurs ACE 2. Maintenant, pensez-y. J'ai mentionné qu'ils nous disent "Oh, mince, la spike reste dans votre deltoïde". Ce n'est pas le cas, elle circule, dans l'étude de Harvard sur 13 infirmières ils ont montré qu'elle circule pendant au moins 2 semaines. Beaucoup de gens manquent de quelque chose appelé ARNm, une enzyme qui décompose cet ARN. Donc elle peut circuler pendant encore plus longtemps.
    Maintenant vous entendez dire, "eh bien, ils sont morts, vous savez, si longtemps après l'injection, donc vous voyez, c'était 2 semaines, 3 semaines, Hank Aaron, peu importe qui" Vous savez quoi ? La spike circule.
    Ils ont essayé de nous berner et de nous dire : "Ce qui n'a pas pu être fait par l'injection, c'était il y a trop longtemps". Pas si les toxines circulent encore. Pas si les toxines circulent encore.

    La spike est la toxine qui cause des dégâts aux poumons comme je l'ai mentionné, sur le côté gauche du tissu pulmonaire sain, un bel espace, en tant que pathologiste on regarde toutes ces cellules toute la journée. C'est plutôt amusant. On est un peu comme des geeks.
    Sur le côté droit, vous voyez comme c'est plus violet et plus bleu. C'est une inflammation, pourquoi ? Les récepteurs ACE 2 dans ce poumon, la spike se lie à lui, réponse inflammatoire, système immunitaire attaquant votre propre corps, maladie venant de la spike, maladie de votre propre... injection de caillot sanguin, vaccin expérimental, ils continuent de mentir au public américain en appelant un vaccin. Ils continuent à enlever le mot "expérimental", c'est ainsi qu'ils l'appellent dans l'autorisation d'urgence. Ils continuent à ne pas l'appeler ce qu'il est : expérimental et une expérience sur l'humanité. Et c'est ce qu'ils font. Et je vous montre pourquoi.
    La spike est une toxine qui traverse la barrière hémato-encéphalique, un peu comme si les cellules de mon cerveau restaient là où elles sont et n'étaient pas détruites. Pas vrai ? Alors pourquoi diable mettrions-nous dans le corps humain une toxine qui va perturber les vaisseaux sanguins de votre cerveau et permettre à la spike d'y pénétrer, de causer une inflammation, le brouillard cérébral dont vous entendez parler par les patients du COVID ? Devinez quoi ? Vous en entendez parler chez les individus post-vaccinés, endommagés aussi.
    Mais non, personne n'est blessé par le vaccin. Il n'y a pas eu un seul décès. Il n'y a pas eu une seule blessure. C'est ce qu'ils vous disent. C'est un mensonge. Et ça, c'est de la science.

    Ok, nous y voilà. Tout le bleu en haut, ce sont les cellules du cerveau. Tout le bleu n'a rien à faire là. C'est une inflammation due à la spike.
    Et pour les enfants ? Inflammation du coeur, ça donne quoi ? Beaucoup de de récepteurs ACE 2 dans le coeur. Ici, vous pouvez voir sur le côté gauche, ces flèches bleues autour du blanc. C'est une inflammation du coeur. Ce n'est pas normal. C'est après une injection. C'est la protéine spike qui atterrit là. C'est votre système immunitaire qui attaque vos propres tissus. Regardez à droite, les flèches rouges. C'est le péricarde, le sac qui entoure votre coeur. C'est une inflammation qui n'a rien à faire là. Une fois que vous avez une lésion cardiaque, le coeur ne se guérit pas tout seul.
    Ok, à gauche, tous les points bleus sont des inflammations, vous voyez le gris au milieu ? C'est une cicatrice précoce. Devinez quoi ? Une fois qu'une cellule cardiaque est endommagée, elle l'est pour toujours. Elle ne se remplace pas par une autre cellule cardiaque, elle se remplace par une cicatrice.
    Donc vous me dites que vous voulez faire une injection à un enfant de 12 ans, de 5 ans, de 13 ans et de 18 ans. Et nous voyons une augmentation de 200 fois de la myocardite dans notre société en ce moment. C'est une bonne idée. Donnons à un enfant une toxine qui ruine son coeur pour la vie.
    Arrêtez et pensez que nous sommes en train de faire. C'est de la folie, nous devons arrêter cette folie immédiatement. C'est fini, le jeu est fini. Ce n'est plus de la bonne science. C'est une attaque toxique sur notre population et ça doit s'arrêter maintenant.

    Les reins, c'est pareil. Les reins sont assez importants. 3 choses dans la vie. Le sang tourne et tourne. Il faut respirer, il faut faire pipi. Vous ne faites pas ces 3 choses vous mourez.
    Les reins, vous voulez endommager vos reins avec une injection de caillot sanguin ? Ce n'est pas une bonne idée non plus.
    Le foie ? Vous avez besoin de votre foie pour détoxifier tout ce qui se passe dans votre vie. Même chose. Des dommages au foie, vous voyez tout ce bleu ? C'est une inflammation qui n'a rien à faire là.
    Les testicules ? Importantes pour la prochaine génération, non ? Même si ça ressemble à un joli coeur, vous voyez tout ce bleu dedans ? C'est une inflammation.
    Même chose dans les ovaires. Voilà le problème, essentiellement absent de la littérature. Que nous cachent-ils ?

    L'étude japonaise de biodistribution a pris du temps pour trouver cette étude du Dr. Bridle au Canada et bien sûr, il a été attaqué pour avoir dit la vérité. La nanoparticule lipidique qui entoure le petit ARNm qu'ils injectent dans le corps des gens, oui, une grande partie reste dans le deltoïde, mais elle circule aussi, devinez où elle aime se concentrer ? Un organe vraiment actif biologiquement, l'ovaire.
    Et dans les documents et l'application de Pfizer, il est clairement indiqué que chez les rats, il y avait une diminution de 16% de la fertilité. L'un des petits mammifères les plus fertiles de la planète, et ce ne sont pas les droïdes que vous cherchez... Oubliez ça. Alors qu'est-ce que ça fait à l'humanité ? Devinez quelle est la réponse ? Nous ne savons pas. Parce que nous n'avons pas encore de données de sécurité à long terme. C'est la tragédie, le crime dans tout ça. Ils poussent ça, c'est une expérience, c'est autorisé en urgence, ce n'est pas approuvé. L'humanité est l'essai de phase 3.

    Le COVID est une maladie de la coagulation, certains de mes collègues ont mentionné, qu'après une piqûre, en tant que médecins, les patients se plaignent de symptômes post-vaccinaux. Le D-dimères augmente lorsque nous avons des caillots. On ne peut pas voir ces caillots aux rayons X ou au scanner. Ce sont des micro-caillots, et tous ces schémas inflammatoires que je vous montre, proviennent également de micro-caillots. Si on regarde ça chez les patients, on sait qu'il y a des microcaillots. Donc c'est quelque chose que le Dr Nordhausen, comme le Dr Sue l'a mentionné, les patients qui ont déjà eu le COVID, qui ont récupéré une belle et large immunité, ils vous mentent en disant que ce n'est pas égal à une immunité vaccinale.
    J'adore l'analogie du stylo bleu qu'un autre médecin a donné, avant le vaccin, il y a un risque multiplié par plusieurs fois d'effets indésirables, si vous avez eu le COVID et que vous êtes rétabli, vous vous faites vacciner, votre système immunitaire entre en hyper-réaction, vous pouvez être foutu ou mort.

    D'accord, je vais répéter qu'on ne peut pas trouver ce qu'on ne cherche pas : des milliards de dollars dépensés pour la publicité d'une toxine dans le corps humain, dans des vaccins expérimentaux. Encore une fois, je dirai à nos agences, à notre gouvernement fédéral, où est le financement de la vraie science ?
    Ils ne veulent pas que vous voyiez ce que nous voyons. En laboratoire, j'ai les tissus d'un homme mort à côté de mon bureau. J'en ai 2 de plus qui arrivent la semaine prochaine. Devinez quoi ? Juste quelques jours après la piqûre. Un triathlète de 50 ans en bonne santé. Un de mes chirurgiens préférés en ville avec qui je travaille, deuxième injection. Cycliste de montagne, mort.

    L'autre problème que j'ai déjà soulevé est que nous n'avons pas de données sur la sécurité à long terme. C'est ce que nous devons souligner à la société, et demander aux agences qui font autorité. Quel est le risque de cancer après l'injection ? Nous ne le savons pas. Quel est le risque de maladie auto-immune ? Nous l'ignorons. Quel est le risque d'altération de la fertilité à vie ? Nous l'ignorons. Alors pourquoi diable allons-nous, bon gré mal gré, avancer au rythme et à la cadence où nous allons, sans savoir ces choses ? Une anti-science complète, et une attaque complète, contre nous.
    Plus d'obligation pour les employés, comment diable ces hôpitaux et ces employeurs peuvent-ils dire que vous ne pouvez pas travailler pour moi si vous ne signez pas pour être un sujet dans une expérience sur l'humanité ? Retournez au code de Nuremberg de 1947. Nous sommes absolument en train de le violer en tant que nation et en tant que peuple.
    Où sont les milliards pour faire les autopsies ? Où sont les milliards pour prouver la science ? Où sont les autopsies ? Et personne ne répond à ces questions. Elles ne sont pas là.

    Le rejet par les médias de connivence de tout événement indésirable ou décès. C'est un problème.

    Et qu'est-il arrivé au concept du mouvement "me too" ? Croire tout le monde, qu'est-il arrivé à "croyez-la", croire l'histoire, qu'est-il arrivé à "croyez tout le monde" ? Pourquoi ne veulent-ils pas croire la science ? Ils ne veulent pas croire la science. Ils ont rejeté la science.
    Qu'est-il arrivé à ce mouvement de croire jusqu'à ce que vous puissiez le réfuter. Disparu, disparu.

    Très bien, quelques notes de bas de page.
    Vraiment critique et je suis presque à court de temps. Ce que l'on voit en laboratoire, c'est que les injections dérégulent votre réponse immunitaire. Nous avons des cellules très importantes qui gardent les autres virus en échec, elles gardent les cancers en échec, il y a un type de cellule lymphocyte T cytotoxique. Une étude menée en Allemagne et aux Pays-Bas, a montré un changement de profil immunitaire. Et à la fin, leur conclusion était : nous voyons un modèle inquiétant, concernant les cellules dont nous avons normalement besoin pour lutter contre ces autres choses. Mais la réponse est, "nous ne savons pas combien de temps ce modèle décalé dure." C'est comme avoir 8 bloqueurs sur la ligne de front, c'est le Texas, on peut parler de football, avoir un bloqueur sur la ligne de front et paralyser trois ou quatre d'entre eux. Mais la réponse est que nous ne savons pas s'ils sont paralysés pour le reste du match ou pour le reste de leur carrière. Et puis ce que nous voyons de cela en laboratoire, c'est une recrudescence des virus de la famille de l'herpès, du molluscum, du papillomavirus humain, de toutes sortes de virus, de la mononucléose, etc. se réactivant, se réactivant à des niveaux... et je suis pathlogiste, donc, on voit ça en laboratoire, et je vois le signal précoce, eh bien devinez ce que font ces lymphocites T ?
    Et certains récepteurs sur certains de ces lymphocytes T appelés récepteurs de type Toll, et il y en a un certain nombre. Ils gardent le cancer sous contrôle. J'ai vu une augmentation de 10 à 20 fois des cancers de l'utérus au cours des 6 derniers mois dans mon laboratoire. Et je garde les données d'année en année. Au cours des 6 derniers mois, quand avons-nous commencé les injections ? En Janvier.
    Quelle est l'augmentation des cancers des tumeurs solides allons-nous voir au cours des prochaines années ? Probablement beaucoup. Quelle est la vraie réponse ? Nous ne savons pas. Et parfois, c'est la réponse la plus honnête en médecine : nous ne savons pas.

    Un médecin qui vous dit qu'il ou elle sait tout, ne le croyez pas. Trouvez un nouveau médecin.

    Augmentation des virus latents, ect, ect. Donc de toute façon, je sais que je n'ai plus de temps pour les questions. Merci beaucoup, et que Dieu vous bénisse.

  • Klaus Schwab : retour vers les heures les plus sombres de notre Histoire

    Klaus Schwab : retour vers les heures les plus sombres de notre Histoire

    audio : klaus schwab 1.mp3

                klaus schwab 2.mp3

    lien : https://nice-provence.info/2021/11/09/klaus-schwab-retour-vers-les-heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire/

    9 novembre 2021 | 5 Commentaires

    Le journaliste indépendant québecois Guy Boulianne publie sur son site un document rigoureusement documenté sur Klaus Schwab. Guy Boulianne écrit sur son site : « Ce qui suit est un long extrait d’un article écrit par le journaliste d’investigation Johnny Vedmore le 20 février 2021, s’intitulant “Schwab Family Values”. J’ai traduit et transcrit ce texte avec l’aimable autorisation de l’auteur : “J’autorise bien une telle entreprise et je vous en remercie”. »

    À notre tour nous souhaitons reprendre cette information car elle est essentielle dans la compréhension des événements qui se déroulent sous nos yeux et surtout qui se préparent en coulisse. Johnny Vedmore commence ainsi son article :

    Le vrai Klaus Schwab est-il ce vieux tonton bienveillant qui ne souhaite que du bien à l’humanité, ou est-il en fait le fils d’un collaborateur nazi qui a fait travailler des esclaves et contribué aux efforts des Nazis pour obtenir la première bombe atomique ?

    Cette enquête très fouillée est synthétisée ci-dessous en plusieurs chapitres que l’on ouvre en cliquant sur le petit signe  à droite.

    Origine ashkénaze

    Selon Ancestry.com, les parents de Klaus Schwab sont Eugen Wilhelm Schwab (né le 27 avril 1899 – décédé en 1982) et la Suisse d’origine juive Emma Gisela Tekelius Schwab (née Kilian), mariés à Karlsruhe en Allemagne le 2 octobre 1926. L’arbre généalogique de Klaus Schwab a été publié dans la “Crimeline & Evidence Library” gérée par les enquêteurs du site “Americans for Innovation”.

    Le quotidien suisse “Berner Zeitung” nous informe que Eugen Wilhelm Schwab dirigeait une usine de la société suisse Escher, Wyss & Cie à Ravensburg, où Klaus Schwab est né le 30 mars 1938, selon son curriculum vitae publié par le FEM. Des détails sur la famille paternelle de Klaus Schwab sont également divulgués dans un arrêt du Tribunal fédéral suisse de 1950, consultable à l’Université de Berne. Klaus Schwab se trouve dans l’exécution de la cour avec son frère cadet Urs Reiner mentionné à la page 376 du document. Toujours selon son curriculum vitae, de 1967 à 1970 Klaus Schwab a été membre du directoire à Zurich pour la même entreprise que son père, Escher, Wyss & Cie, rachetée en 1969 par le groupe industriel Winterthur-Sulzer, qui changea de nom en 1983 pour Sulzer-Escher Wyss AG.

    Toujours selon Ancestry.com, le nom de famille Schwab a une origine allemande et juive, c’est-à-dire ashkénaze. Par exemple, nous retrouvons les Mémoires d’Henri Schwab (né en 1890), un locuteur yiddish du village alsacien de Gerstheim, dans le Bas-Rhin, qui furent publiées dans la revue Yod en 2011. Ou bien encore le rabbin Marvin Schwab qui, en 2013, examinait un rouleau de la Torah qui a survécu à l’extermination nazie des Juifs et de leurs objets religieux dans la Tchécoslovaquie des années 1940. Cette ascendance est confirmée par le site “Jewish Genealogy in Argentina” (Hebrew Surnames) qui écrit à propos du nom Schwab : « La grande majorité des Juifs argentins descendent d’immigrants venus d’Europe. Ces Juifs ashkénazes ont émigré de petites villes ou shtetels de Pologne, de Lituanie, de Russie, d’Allemagne, de Roumanie ou d’Ukraine, laissant derrière eux la plupart de leurs parents juifs. Après deux ou trois générations, ces familles juives ont perdu la trace de leurs proches, ayant été sauvées de la guerre, ont émigré vers d’autres pays comme les États-Unis, l’Angleterre ou l’Australie. »

    La Suisse fournissait des armes aux Nazis

    Au milieu des années 1930, Escher-Wyss s’est à nouveau retrouvé en difficulté financière. Afin de sauver l’entreprise cette fois, un consortium a été mobilisé pour sauver la firme d’ingénierie en difficulté. Le consortium a été en partie formé par la Banque fédérale de Suisse (qui était dirigée par coïncidence par un Max Schwab, qui n’a aucun lien avec Klaus Schwab) et une nouvelle restructuration a eu lieu. En 1938, il a été annoncé qu’un ingénieur de l’entreprise, le colonel Jacob Schmidheiny deviendrait le nouveau président du conseil d’administration d’Escher-Wyss. Peu de temps après le déclenchement de la guerre en 1939, Schmidheiny a été cité en disant : « Le déclenchement de la guerre ne signifie pas nécessairement le chômage pour l’industrie des machines dans un pays neutre, au contraire. »

    Dans les années d’avant-guerre des années 1930 qui ont précédé l’annexion de la Pologne par l’Allemagne, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désormais gérée directement par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab, a continué d’être le plus gros employeur de Ravensburg. Non seulement l’usine était un employeur important dans la ville, mais le propre parti nazi d’Hitler a décerné à la succursale Escher-Wyss de Ravensburg le titre de « Société modèle national-socialiste » alors que Schwab était à la barre. Les nazis courtisaient potentiellement la société suisse pour la coopération dans la guerre à venir, et leurs avances ont finalement été réciproques.

    Eugen Schwab dirigeant d’une société modèle nationale-socialiste…

    De retour dans l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, Eugen Schwab était occupé à faire travailler des travailleurs forcés dans son entreprise nazie modèle. Pendant les années de la Seconde Guerre mondiale, près de 3 600 travailleurs forcés ont travaillé à Ravensburg, y compris à Escher Wyss. Selon l’archiviste de la ville de Ravensburg, Andrea Schmuder, l’usine de machines Escher-Wyss à Ravensburg employait entre 198 et 203 travailleurs civils et prisonniers de guerre pendant la guerre. Karl Schweizer, un historien local de Lindau, déclare qu’Escher-Wyss a maintenu un petit camp spécial pour les travailleurs forcés dans les locaux de l’usine.

    L’utilisation de masses de travailleurs forcés à Ravensburg a rendu nécessaire l’installation de l’un des plus grands camps de travaux forcés nazis enregistrés dans l’atelier d’une ancienne menuiserie de la Ziegelstrasse 16. À une certaine époque, le camp en question abritait 125 prisonniers de guerre français qui ont ensuite été redistribués dans d’autres camps en 1942. Les travailleurs français ont été remplacés par 150 prisonniers de guerre russes qui, selon la rumeur, ont été traités le plus mal de tous les prisonniers de guerre. L’une de ces prisonnières était Zina Jakuschewa, dont la carte de travail et le cahier de travail sont conservés par le United States Holocaust Memorial Museum. Ces documents l’identifient comme une travailleuse forcée non juive affectée à Ravensburg, en Allemagne, en 1943 et 1944.

    Eugen Schwab maintiendrait consciencieusement le statu quo pendant les années de guerre. Après tout, avec le jeune Klaus Martin Schwab né en 1938 et son frère Urs Reiner Schwab né quelques années plus tard, Eugen aurait voulu garder ses enfants à l’abri du danger.

    … qui n’a pas été bombardée par les Alliés

    Ravensburg était une anomalie dans l’Allemagne de guerre, car elle n’a jamais été la cible de frappes aériennes alliées. La présence de la Croix-Rouge et la rumeur d’un accord avec diverses sociétés, dont Escher-Wyss, ont vu les forces alliées accepter publiquement de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne. Elle n’a pas été classée comme cible militaire importante tout au long de la guerre et, pour cette raison, la ville conserve encore bon nombre de ses caractéristiques d’origine. Cependant, des choses beaucoup plus sombres se préparaient à Ravensburg une fois la guerre commencée.

    Eugen Schwab a continué à gérer la « Société modèle national-socialiste » pour Escher-Wyss, et la société suisse aiderait la Wermacht nazie à produire des armes de guerre importantes ainsi que des armements plus basiques. La société Escher-Wyss était un leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, mais elle fabriquait également des pièces pour les avions de chasse allemands. Ils étaient également intimement impliqués dans des projets beaucoup plus sinistres se déroulant dans les coulisses qui, s’ils étaient achevés, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

    Le renseignement militaire occidental était déjà au courant de la complicité et de la collaboration d’Escher-Wyss avec les Nazis. Il existe des documents disponibles auprès du renseignement militaire occidental à l’époque, en particulier le groupe d’enregistrement 226 (RG 226) à partir des données compilées par l’Office of Strategic Services (OSS), qui montrent que les forces alliées étaient au courant de certaines des relations commerciales d’Escher-Wyss avec les Nazis.

    Klaus Schwab sur les traces de son père

    Klaus Schwab est allé travailler pour l’ancienne entreprise de son père, Escher-Wyss, qui deviendra bientôt Sulzer Escher-Wyss AG, Zurich, en tant qu’assistant du président pour aider à la réorganisation des sociétés qui fusionnent.

    C’est ici, à la fin des années 1960, que nous voyons Klaus commencer à émerger en tant que personnage plus public. À cette époque, la société Sulzer Escher-Wyss s’est également plus que jamais intéressée à s’engager avec la presse. En janvier 1969, les géants suisses mettent en place une séance de consultation publique intitulée « Press Day of the Machine Industry », qui porte principalement sur des questions de gestion d’entreprise. Au cours de l’événement, Schwab a déclaré que les entreprises utilisant des styles de gestion d’entreprise autoritaires sont « incapables d’activer pleinement le “capital humain” », un argument qu’il a utilisé à plusieurs reprises à la fin des années 1960.

    En 1967, Klaus Schwab a pris la tête de la fusion entre Sulzer et Escher-Wyss, ainsi que des alliances fructueuses avec Brown Boveri et d’autres. Brown Boveri est un groupe d’entreprises suisses d’ingénierie électrique qui avait également travaillé pour les nazis, fournissant aux Allemands une partie de leur technologie de sous-marin utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale. Brown Boveri a également été décrit comme « entrepreneurs en électricité liés à la défense » et trouverait que les conditions de la course aux armements de la guerre froide étaient bénéfiques pour leur entreprise.

    En décembre 1967, Klaus s’exprimait lors d’un événement à Zurich devant les plus grandes organisations suisses d’ingénierie mécanique ; l’Association patronale des fabricants suisses de machines et de métaux et l’Association des fabricants suisses de machines.

    Klaus Schwab aidait à faire de Sulzer Escher-Wyss quelque chose de plus qu’un simple géant de la construction de machines, il les transformait en une entreprise technologique conduisant à grande vitesse vers un avenir de haute technologie. Il convient également de noter que Sulzer Escher-Wyss a changé d’orientation de son activité pour les aider à « constituer la base des produits de technologie médicale », un domaine qui n’était pas mentionné auparavant comme une industrie cible pour Sulzer et/ou Escher-Wyss.

    L’entreprise de Klaus Schwab impliquée dans la fabrication illicite de l’arme nucléaire

    Escher-Wyss avait participé à la fabrication et à l’installation de la technologie nucléaire au moins dès 1962, comme le montrent ce brevet pour un « dispositif d’échange de chaleur pour une centrale nucléaire » et ce brevet de 1966 pour un « réacteur nucléaire à turbine à gaz. avec refroidissement d’urgence ». Après que Schwab ait quitté Sulzer Escher-Wyss, Sulzer aiderait également à développer des turbocompresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium afin de produire des combustibles pour réacteurs.

    Lorsque Klaus Schwab a rejoint Sulzer Escher-Wyss en 1967 et a commencé la réorganisation de l’entreprise en une société technologique, l’implication de Sulzer Escher-Wyss dans les aspects les plus sombres de la course mondiale aux armements nucléaires est devenue immédiatement plus prononcée. Avant que Klaus ne s’implique, Escher-Wyss s’était souvent concentré sur l’aide à la conception et à la construction de pièces pour les utilisations civiles de la technologie nucléaire, par exemple la production d’énergie nucléaire. Pourtant, avec l’arrivée de l’ardent M. Schwab, l’entreprise a également participé à la prolifération illégale de la technologie des armes nucléaires. En 1969, l’incorporation d’Escher Wyss dans Sulzer était entièrement achevée et ils seraient renommés en Sulzer AG, supprimant le nom historique Escher-Wyss de leur nom.

    Il a finalement été révélé, grâce à un examen et à un rapport réalisé par les autorités suisses et un homme du nom de Peter Hug, que Sulzer Escher-Wyss avait commencé secrètement à se procurer et à fabriquer des pièces clés pour les armes nucléaires au cours des années 1960. La société, alors que Schwab était membre du conseil d’administration, a également commencé à jouer un rôle clé dans le développement du programme d’armes nucléaires illégales de l’Afrique du Sud pendant les années les plus sombres du régime d’apartheid. Klaus Schwab était une figure de proue dans la fondation d’une culture d’entreprise qui a aidé Pretoria à construire six armes nucléaires et à en assembler partiellement une septième.

    Les banques suisses aideraient à financer la course sud-africaine aux armes nucléaires et, en 1986, Sulzer Escher-Wyss produisait avec succès des compresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium.

    La fondation du Forum Économique Mondial

    En 1970, le jeune arriviste Klaus Schwab écrit à la Commission européenne et demande de l’aide pour mettre en place un « think tank non commercial pour les chefs d’entreprise européens ».

     

    Session inaugurale - Forum Économique Mondial - 1971

    Klaus Schwab accueille les participants lors du 1er Forum Économique Mondial de 1971. Otto von Habsburg (à gauche) avait prononcé le discours d’ouverture. [source]

    Ainsi, en 1970, Schwab a quitté Escher Wyss pour organiser une conférence de gestion d’entreprise de deux semaines. En 1971, la première réunion du Forum économique mondial – alors appelé European Management Symposium – s’est tenue à Davos, en Suisse.

    Environ 450 participants de 31 pays prendraient part au premier Symposium européen de gestion de Schwab, principalement composé de dirigeants de diverses entreprises européennes, de politiciens et d’universitaires américains. Le projet a été enregistré comme organisé par Klaus Schwab et sa secrétaire Hilde Stoll qui, plus tard la même année, deviendra l’épouse de Klaus Schwab.

     

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    Henry Kissinger et son ancien élève, Klaus Schwab, accueillent l’ancien Premier ministre britannique Ted Heath lors de la réunion annuelle du FEM en 1980. Source : Forum économique mondial.

    Références

    Rappelons que cette synthèse est issue d’un article de Guy Boulianne qui s’est donné la peine de traduire l’enquête de Johnny Vedmore.